KATERIN_

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½H
250€
1H
350€
2H
600€
3H
800€
6H
1,200€
12H
1,800€

Description

Created on: June 22, 2008
Gender: Female
City: moscow
Birth year: 38
Type: White
Hair color: Blond
Hair length: Long
Bust size: Medium (B), Natural
Height: 175
Build: Regular, Ultra sexy
Smoking: Non smoker
Languages:
  • Russian (Fluent)
  • Eng. (Fluent)

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Availability: Incall:, Outcall:
Services:
Accept Trios: No

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Phone: +33 6 16 16 26 45

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  • Kiss: With tongue
  • Sex: Enthusiastic
  • Real pics? Yes
  • CIM: N/A
  • Anal sex: No
  • Blowjob: Bareback
  • Extraball: Multiple times allowed
  • Hygiene: raw.
  • Dress code: raw.
  • Social time: raw.
2 hours - 600 + 300€
Looks - 9/10
Service - 9/10
J’étais passé prendre Katerine au bar du Meurice, Hôtel ou elle résidait. Je lui parlai de mon ami Vujadin, allias Dany, allias Coppula, il nous attendait au bar du Plaza. Nous avions pris un peu de retard, sa main était sur ma cuisse. Je prenais ce premier échange d’intimité comme un préambule à la nuit que nous allions passer. Même si on y est habitué, j’aime bien rentrer au Plaza, passer ce tourniquet pour accéder à l’entrée de cet entre des happy few fortunés. Nous étions tous les trois, j’avais pas eu besoin de commander, Jean Philippe le maitre de cérémonie nous avait servi nos boissons préférées. Nous rejoignîmes Amber. Elle avait posé son dévolu sur la suite pourpre. J’étais heureux de rencontrer Amber, un malencontreux problème de secrétariat aurait pu nous fâcher, j’en étais tout esbobi de la retrouver là dans une robe Léonard de toute beauté. J’avais tout de suite vu qu’entre elle et moi le courant était passé. Malheureusement mais pour quelques temps seulement, nous devions nous séparer. Mon ami Vujadin, par la taille l’avait saisie, moi de mon coté la main de Katrine j’avais pris. Katerine est sublime, c’est d’une banalité de le dire. J’avais envie de discuter avec cette Russe alphabétisée, mais visiblement elle avait d’autre dessein. Et la tout a basculé, Et la je me dis Niceman, t’es quand même doué pour dégoter des poulettes de qualité. Je l’aurai bien rapidement oblitéré; label rouge, mais entre temps le mur de Berlin était tombé, et plus que cette couleur aux réminissances communistes, capitalisé je l’aurait bien gratifié. Nous étions nu l’un contre l’autre, seul nous enveloppait sont parfum Chanel "Mademoielle", et mon traditionnel "Habit Rouge" de Guerlain. Rapidement nos bouches se sont parlées, un dialogue sourd remplis d’onomathopés. hmmm, ahhh, entrecoupé de mots clairs, yes! yes ! yes! . Katerine et moi, ce fut rapidement deux corps en parfaite harmonie, rapidement elle rendait hommage au fruit qui orne mon cocktail préféré. ce fruit a cela de remarquable qu’il a une si longue queue pour un si petit corps. moi de mon coté je m’occupais de Katrine et la aussi cette expérience me rappelai plus la coupe de champagne à la rose que nous avions prise au bar du Plaza qu’aux oursins, un plat que j’adore que j’avais encore dégusté récemment. Des petits cris s’échappaient de la bouche de Katerine. Et puis ce qui devait arriver arriva. Nos deux corps ne répondaient plus de rien. Katrine était souple que des Skwals redoutables, aussi froide qu’eux dans sa détermination à atteindre le plaisir suprême et aussi chaude que les eaux des caraibes dans lesquelles j’adore m’y baigner assez souvent. Et tout d’un coup, c’est l’explosion. tel le Kilolea en éruption, ma sève se répand, Katerine doit ressentir malgré le filtre qui nous sépare, la chaleur de se liquide libéré, elle trésaille de son coté, je sens ses ongles pourtant manucurés se saisir de mon dos ou la sueur a perlé, je sens l’ensemble de son corps se tordre, se disloquer, ses seins pointés, et son sexe se refermer. Katerine ne peut contenir plus longtemps toute l’énergie emmagasinée, elle hurle, elle crie, elle sourit. Elle laissie tomber sa tête sur l’oreiller, la blondeur de ses cheveux me rappelle la publicité Elisabeth Shwaskof, ses yeux sont fermés, maître René serait la, il dirait elle est dans le coltard pendant 5 minutes, mais elle est avec moi : Niceman, elle n’est pas dans le coltard, elle est en apesanteur, son corps pourtant matière, se veut léger, sa main cherche la mienne, elle a besoin de se rassurer, elle est la allongée sur ce lit qui ressemble maintenant plus à la campagne américaine dans le Wisconcin après une tornade qu’au lac Léman en plein été. Le temps restera suspendu, il lui paraitra une éternité. Moi je ne peux m’empécher de la regarder. Son maquillage léger à laisser place à des joues rosées, il va leur falloir quelques minutes avant de reprendre leur couleur initiales en attendant un raccord de Blush Dior "Pro - Cheeks" circonstanciés. Elle émerge lentement de cet état comateu, et revient progressivement à la vie, tel le petit chimpanzé qui vient de naître et cherche les bras de sa mère, elle cherche mes bras pour s’y reposer. C’est un instant de délice, que seul la voix de Vujardin vient perturber. Visiblement leurs étreintes avaient été plus pressées. Ils nous sommaient de les rejoindre pour une coupe de champagne à la fraicheur glacée. Amber avait eu la délicatesse de prévoir une nuisette de soie mauve pour Katrine. Elle l’enfila rapidement, elle était faite pour elle, une beauté irréelle s’en dégageait. Nous rejoignîmes nôtre hôte. Elle arborait une tenue de soie du même effet. Quel chance nous avions Vujadin et moi, d’avoir encore tiré les bons numéros. Décidément dans l’escorting il y a 2 mondes. Et les revues s’en ressentent. Il y a les passes dans les hôtels de rue Berthier et les rencontres dans des hôtels de luxe à la clientèle dorée. Da,s le salon, les fauteuils étaient àa, bien disposés, autour cette table basse de laque noire ou un seau à champagne acceuillait une bouteille de champagne Cristal Roederer 1983 que Amber avait judicieusement commandée. Il y avait pourtant suffisement de fauteuils pour que chacun est le sien, mais Amber était dans les bras de Vujadin et Katrine m’avait rejoint cette fois son bras droit derrière mon cou, sa tête posée contre mon épaule, et la coupe de champagne dans sa main gauche. Une fenêtre était ouverte, et de temps en temps j’entendais passer dans cette avenue Montaigne, le bruit de ce V8, que les yeux fermés je reconnaissais. Une fois les coupes finies nous repartimes dans nos alcoves respectives pour finir ce que nous avions commencé. Une nuit de folie. J’étais avec Katerine et tout pouvait s’arréter. Son corps est ce qui se fait de mieux, sa peau est douce, son corps est divinement sculpté, je repensais à la célèbre phrase de YSL : « Rien n’est plus beau qu’un corps nu. Le plus beau vêtement qui puisse habiller une femme ce sont les bras de l’homme qu’elle aime. Mais, pour celles qui n’ont pas eu la chance de trouver ce bonheur, je suis là. » Katrine s’inscrivait dans cette pensée, à cette instant précis elle n’avait alors pas besoin de s’habiller chez Yves. Yves avait dit aussi "L’élégance ne serait-elle pas l’oubli total de ce que l’on porte?", Katrine ne portait rien, hormis un reste de son parfum "Mademoiselle de Chanel", quelles gouttes de mon parfum, "Habit Rouge de Guerlain", quelques gouttes de la sueur que nous avions échangées au déliactes nuances du gout de Cristal Roederer 1983 que nous avions degusté précedemment. Amber de son coté avait su apprécier la rencontre avec mon ami vujadin, elle était encore plus radieuse que lorsque que nous l’avions saluée en arrivant. Je retrouvai dans ses yeux cette pétillance qu’ont les femmes intelligentes. Nos regards s’étaient de nouveau croisés, et de nouveaux jaugés. Je ressentais instantanément que cela prédestinait à d’autres joutes, celles ci beaucoup plus physiques. Avec regret je quittais la présence d’Amber, je l’embrassais et en profitais discrétement pour lui glisser à l’oreille qui’l ne faudrait pas longtemps avant que l’on se revoit. Elle me serra dans ses bras, et nous accompagnat de son regard jusque qu’à notre départ de ses appartrements. Nous étions tous les trois enjoués, Vujadin, Katrine et moi. Un moment l’idée nous effleura de descendre sur la rambarde de l’escalier, nous sommes joueurs, mais Katrine préférait prendre le lift, et en gentleman nous ne pouvions que l’accompagner. Nous descidames de prendre ma voiture pour raccompagner katrin a son Hôtel, faut dire que la Super Legera hors mis pour balader des Bombes taille 36, c’est pas vrament fait pour le co-voiturage. Les rues de Paris etaient plus clairsemée de ces badeaux un peu éméchés, nous fillions sur les quais, à une vistesse peu autorisée, La Concorde était à notre gauche, il nous fallait continuer par les quais puis Le louvre et enfin tourner à gauche pour arriver Rue de Rivoli où Katrine avait décidé de s’installer le temps de son passage sur Paris. On s’arréta devant le Meurice, Le portier, était la comme si il nous attendait. Katerine nous proposa un dernier verre dans sa suite. Nous déclînames l’invitation. Nous étions deux garcons, la nuit était étoilée et chaque lumiere ainsi disposées me rappelait la bague de Victoire de Catellane pour Dior que katerine portait avec élégance mais aussi de toutes les étoiles que j’avais pu laisser dans ses yeux.. Heureusement nos deux beautés étaient encore là pour quelques jours, et j’avais furieusement envie d’hurler. Quel pied !. Quel bonheur de vivre cette vie, de toujours tirer les bons numéros. Faut dire qu’avec mon ami Vujadin, on fait la paire, les dames ca nous connait, nous sommes un peu les rois en leurs compagnies, les AS de la rencontre estampillée VIP. On avait le full service par les dames, et la suite royale. Que demander de plus. Je raccompagnais mon ami Vujadin à sa Super Legera. Nous allions nous quitter, mais nous savions que c’était pour mieux nous retrouver. Nous avions un bout de chemin à faire ensemble encore, oui nous abitons tous les 2 dans l’ouest de Paris. Puis j’ai tourné à gauche et lui à droite, on s’est salué de la main, on aurait pu se dire à demain. Si vous voyez une Super Légera blanche devant le Plaza le soir, ou une DB9 décapotée, vous saurez qu’on est sans doute là au bar du palza en charmante compagnie. Si vous pouvez rentrer, et que vous voyez un grand type déguster son cocktail préféré, vous saurez que c’est moi. si vous voyez un encore plus grand gaillard que moi avec une Richard Mille au poignet droit, c’est surement mon ami Vujadin. Mais attention ce n’est pas que la seule montre qu’il arbore. Si tu as les mêmes valeurs que nous et le même style vie, tu es le bienvenue, sinon, je crains malheureusement que nous ne puissions rien pour toi. 1 000 Kisses to Katrin & Amber. Amber see you soon.

Hopgrave

  • Kiss: With tongue
  • Sex: Enthusiastic
  • Real pics? Yes
  • CIM: N/A
  • Anal sex: No
  • Blowjob: Bareback
  • Extraball: Multiple times allowed
  • Hygiene: raw.
  • Dress code: raw.
  • Social time: raw.
2 hours - 600€
Looks - 10/10
Service - 10/10
Katrin elle est :lol: Son corps est vraiment :D , Ses services je n’en parle même pas c’est du :D et du :wink: , que du :) pour cet été 8) :shock A 600 € les 2 heures Katrin c’est :D :D :) , plus c’est cher plus c’est :D et :) Mais ça on le savait déjà

vujadin

  • Kiss: With tongue
  • Sex: Enthusiastic
  • Real pics? Yes
  • CIM: N/A
  • Anal sex: No
  • Blowjob: Bareback
  • Extraball: Multiple times allowed
  • Hygiene: raw.
  • Dress code: raw.
  • Social time: raw.
1 hour - 350€
Looks - 9/10
Service - 9/10
Ahh..Katerin..! quel souvenir!... J’étais dans une attente importante vu les 350e demandés... c’est pas mon habitude... Je voulais savoir..curieux de decouvrir le haut de gamme... Katerin est independante...donc elle pose beaucoup de question avant d’accepter le meeting... puis elle avoue être ds un appart à coté de notre dame. why not... j’arrive donc sur les lieux...sms de dernier moment pour les indications pratiques (un peu rallye) et une porte s’ouvre à droite..!! ça y est, je l’a vois enfin. elle belle derriere sa porte, elancée, maquillée avec gout, bien sur dans une tenue sexy... ouhahh j’comprend les 350, c’est une belle plante...! son appart est du style du quartier, non pas le modernisme des hotels modernes vus et revus, mais assez chaud, aux dimensions propices pour être cool, relax. Katerin etait là, dispo à mes première envies, mais un peu par habitude et deconcertés par ces lieux intimistes, je lui propose de prendre une douche. Katerin était là à mon retour, chaude, sympa, comme si on se connaissait depuis 1an... Elle m’a embarqué sur le lit et là..et là...ça a été super chaud...)) Tout est possible en pos..et....j’ai senti un petit plus par rapport aux autres escorts... quelque chose qui venait de son interieur, réel, sincere quand elle partait... touchant..memorable! Cette ambiance d’appart et cette chose d’elle même... ça m’a troublé .... on perd un peu le nord... Katerin, c’est une maturité d’esprit, un accueil top, de la conversation, un p’tit verre...et du sexe des qu’on en veut...!

parisman