papgueno Reviews

A mon prédécesseur qui s’interroge laborieusement dans sa revue : « Que dire de plus ... Ah si ! Ongles des pieds vernis… », je répondrai comme Cyrano : « Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire... Oh! Dieu!... bien des choses en somme... » Sardonique : une fille qui ose se déguiser en Mère Noëlle ne saurait être entièrement mauvaise. Bucolique : je l’ai cueillie au saut du lit car c’est à la rosée du matin que les biches de nos bois sont le plus fraîches. Coquin : je lui avais demandé de m’accueillir dans le plus simple appareil juchée sur des escarpins. Poétique : comme dirait Baudelaire, la très chère était nue et avait pour me plaire gardé tout ses bijoux. Descriptif : elle a l’air conquérant et le sourire aux lèvres qui ne la quittera pas. Inquisiteur : chaleureuse embrassade de bienvenue accompagnée d’un discret sondage de mon majeur dans son intimité qui révèle une présence de cyprine, nous n’aurons pas besoin de gel. Je découvre donc Paula, tout en jambes longues et fines D’ailleurs tout est fin chez elle, élancé, étroit. Jolis seins naturels, mention spéciale pour un cul à la rotondité très attirante, enfin vulve proéminente aux grandes lèvres charnues auxquelles je m’empresse de goûter à la satisfaction générale. Passage à la salle de bains, Paula me rejoins devant le lavabo et se colle derrière moi, contre tout contre, puis me prend la queue et la lave comme le faisaient les dames de ma jeunesse (souvenirs, souvenirs…). Ensuite je passe à mon tour derrière elle, enfile un caoutchouc et la prend debout par derrière avec une vue kaléidoscopique grâce au jeu de miroirs. Bonne pioche, donc, je n’ai qu’un regret : pas de CIM alors que c’est au menu. J’ai dit !

Alena m’a reçu dans la petite chambre d’un hôtel au nom d’oiseau proche de Bastille. En résumé : Alena a la forme et les formes. Je ne qualifierai pas son physique de plantureux, comme mon prédécesseur, car aucune trace de laisser de laisser-aller. C’est une belle femme comme on dit dans nos campagnes. Elle est ferme, tonique mais avec une morphologie bien charpentée. Ses armes de combat sont prêtes à l’emploi, pointées sur moi. Elle a deux beaux obus, un peu durs à mon goût. Mais elle sait s’en servir notamment pendant son délicieux body-body. Mais ce qu’elle a de mieux se trouve sur le côté pile : un cul, mamma mia, un cul magistral, que dis-je, un cul souverain, impérial et impérieux. Après avoir pétri, humé, léché un cul pareil, on peut partir heureux. Ce fut mon cas. Dans le corps à corps, Alena a la forme olympique, elle est infatigable. Sa pipe est savoureuse, avec deep throat, s’il vous plait. Elle a réussi à me faire jouir pendant la pénétration ce qui ne m’arrive qu’avec celles que j’aime. Rien à dire sur le social time sinon que la conversation n’a pas dépassé le stade des banalités. Mais après on n’est pas là pour causer…

Mère nature fait parfois bien les choses. Elle a créé Jess pour nous plaire à nous autres pauvres adorateur du cul féminin jamais totalement rassasiés, à la langue pendante et à la queue dressée. Miss ultrabrite qu’on voit bien ripolinée sur les photos fait en live un tout autre effet. Cette fille est totalement nature : chez elle tout est vrai, depuis la couleur des cheveux jusqu’aux seins. Le grain de peau surtout est un velours et le maquillage minimal. Jess est une adepte du sex ecolo. Cela ne l’empêche Jess ne l’empêche pas d’etre terriblement sexy : grande et superbement carossée : toute en jambes avec un fessier à la brésilienne et des seins en poire, tétons dressés à têter. Elle m’a accueilli à la russe, comme le soldat revenant du combat dans « Quand passent les Cigognes », c’est- à dire avec un baiser goulu. Question sex, Jess a de l’expérience comme on peut en juger par ses nombreuses revues. Mais elle aime ce qu’elle fait. C’est pourquoi elle se comporte toujours avec la fraicheur, la spontanéité et la bonne humeur d’une débutante. Elle est gentille, positive, joyeuse, inventive, bref adorable.

Valérie est ultra excitante : cette femme-enfant porte à la fois l’innocence et la luxure sur son visage. C’est ce que l’on voit sur l’image. Lorsque l’image s’anime, c’est le corps qui s’exprime, normal pour une danseuse. Elle bouge magnifiquement, m’effleure comme une chatte. en un rien de temps, sans même m’en apercevoir, j’étais nu, bien dressé, et en de bonnes mains. Ses baisers pleine langue étaient d’une douceur infinie. Lorsqu’elle a pris ma queue en bouche, je me suis dit : c’est la ouate que je préfère. Sa peau, elle aussi était d’une douceur irréelle. Et j’ai pensé : "Là tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté." Ce corps à la Baudelaire est un véritable affront à la nature : il n’est tout entier qu’une zone érogène. Partout où on le touche, on le met en émoi. Jamais un gobage d’orteil n’a provoqué une telle émotion. et que dire du cuni : une souveraine réaction orgasmique, intense, rapide. Je ne laisse pas valérie reprendre ses esprits et j’enchaîne sur un missionnaire langoureux. Il n’a pas fallu plus de cinq minutes, pour que mon sismographe n’enregiste une nouvelle secousse tellurique. Nous passons quelques positions en revue. La belle est aussi brillante dans toutes les figures imposées. Je termine mon premier round en CIM, et à ma grande surprise elle avalé. Au total, elle a eu 3 orgasmes en une heure. Le deuxième round fut plus calme et très langoureux. Je suis tout de même sorti sur les rotules alors que cette jeunesse n’aurait rien demandé de mieux que de continuer. Ce fut une rencontre d’exception. J’ai dit

Elle ouvre la porte et tout s’illumine ! Enfin une femme, une vraie ! Cela fait deja plusieurs fois que je la rencontre et je ne m’en lasse pas. Chaque fois c’est plus intense. Chaque fois, je suis époustouflé par cette splendeur russe. Chaque fois j’en ressort ne me disant : "Mais c’est pas vrai ! C’est vraiment moi qui ai rencontré cette beauté ?" Elle n’est pas simplement belle, elle est radieuse, lumineuse, éclatante. Elle a une beauté charismatique. On ne peut pas être belle autant que cela si l’on n’est pas belle aussi de l’intérieur. Elle a une belle âme. Comme d’habitude, cette rencontre fut un véritable cadeau. Merci Milady...

C’est Noel avant l’heure : j’ai fait l’amour à une star de la profession, une légende vivante. Longtemps j’ai contemplé les photos de Lana en me demandant si cette déesse au sourire mystérieux, au regard profond comme un lagon était bien réelle. Elle m’intimidait tellement que je n’osais pas la contacter. Hier, enfin, la rencontre s’est faite. Je n’en menais pas large. La porte s’ouvre et elle me lance son célèbre regard bleu azur en me souhaitant adorablement la bienvenue, et là j’ai fondu comme un glaçon qu’on aurait jeté dans l’eau chaude de ce lagon où l’on peut délicieusement se noyer. Alors, la vérité, c’est que cette femme à la beauté époustouflante est tout sauf une pétasse hautaine et méprisante : c’est une vraie gentille et même un tendron. Finalement, cette déesse lointaine, sous sa forme humaine n’est rien d’autre qu’une Matriochka, une poupée russe qui ne dit jamais non. D’ailleurs, mon état s’en est ressenti car je suis ressorti, de ces 2 rounds sur les rotules. Quelle énergie, quelle envie, quel engagement ! Cette poupée là sait se montrer Geisha lorsqu’elle installe une ambiance tamisée, aux chandelles. Mais la Geisha peut aussi se transformer en Kamikaze et exploser en plein vol avec fureur et tremblements… Bref, une rencontre d’exception.

Elle voulait voir la Tour Eiffel et elle a vu ma queue… qu’elle a d’ailleurs trouvée très à son goût. Laura est plus belle que sur les photos : on dirait une italienne, elle est polonaise. Lorsqu’elle vous jette son regard de star, œil noir mais enjoué, vous avez l’impression d’être à Cinecitta en train de tourner un porno avec une starlette délurée. D’ailleurs, elle a travaillé en Italie, et tenez-vous bien, comme cuisinière dans un restaurant. Cette fille là, elle est terrible ! A Paris, elle se livre à une tout autre cuisine, fort agréable ma foi. Laura est grande et structurée comme une transalpine : fine mais avec de belles hanches. Beaux seins, très beau cul, longues jambes, peau douce et bronzée, et surtout un très joli visage, avec un sourire et des yeux qui vous affolent, des lèvres goulues qui vous bisent partout avant que vous la baisiez. Laura est très gamine, mutine, taquine, caline. Elle a une chatte succulente qu’on doit goûter, déguster longuement et qu’on peut aussi doigter à loisir et à plaisir. Elle apprécie également beaucoup la pénétration : le missionnaire accélère sa respiration et la levrette lui arrache des soupirs. Enfin, sa finition en CIM avec léchage de boules, c’est comme la poire belle Hélène : un grand dessert.

On dit souvent que les hommes préfèrent les méchantes aux tendrons, qu’ils privilégient un regard de peste, dur et hautain par rapport à un sourire radieux de nymphette. Bref, qu’ils sont plus attirés par Cruella que par Bécassine. Eh bien, Ariel est la preuve vivante qu’une gentille peut également être sexy. Et encore, gentille est-il un doux euphémisme : en fait, elle est charmante et ravissante, jolie comme un cœur, adorable, craquante et, et, et en même temps hyper bandante ! On peut donc avoir un visage d’ange, le sourire de Mona Lisa et être une vraie petite salope. Oh là là Ouiii, c’est possible ! Elle a un cul soyeux, somptueux, gouleyant, des seins divins avec leurs tétons érectiles. Au lit, elle fait tout, bien et même très bien : très réceptive au cuni elle est surtout très engagée dans la pénétration et donne de sa personne sans compter. Sa chatte est fraîche, serrée, frémissante, vibrante sous la queue. Sa bouche est goulue et prend le CIM avec gourmandise Ariel est bonne, très bonne. Est-elle la meilleure ? Je ne sais pas. Mais ce que je sais, c’est qu’elle a une qualité que les meilleurs coups n’ont pas. Elle fait bien plus que vous faire lever la queue, en extraire jusqu’à la dernière goutte de suc et tirer de vous quelques sanglots longs. En plus de tout cela, elle m’a chaviré le cœur. Je luis décerne donc la meilleure note et mes remerciements.

Véra est une rousse russe... ou l’inverse. Très rousse, très russe, très douce, très adorable et absolument magnifique ! Elle a la forme et les formes, une peau bien blanche légèrement dorée, un regard pétillant et un sourire craquant. En amour, Véra est une pure GFE. Elle embrasse sans retenue, adore qu’on lui broute le minou, qu’on lui lèche ses petits petons, ses gros tétons, ses lobes d’oreille, etc. Elle suce avec une grande délicatesse avec mention spéciale pour le gobage de roubignolles. Elle prend la pénétration avec entrain dans toutes les figures imposées. Enfin, elle pratique un CIM d’excellente facture. Mais surtout, Véra aime jouir, jouir à n’en plus finir. Avec moi Madame a été servie : elle a tressailli à deux reprises en une heure. Lorsque je l’ai quittée, j’ai repensé a cette vieille pub où l’on voyait une somptueuse vamp lancer en roulant les rrrr "Je suis rrriousse, et alors !". C’était Véra !

Gaby Oh Gaby, la chanson d’Alain Bashung n’a pas arrêté de me trotter dans la tête en allant voir la belle dans son grand hotel du côté de la gare Saint Lazare. La porte s’ouvre sur un grande et très charmante jeune femme. Pas déçu, d’autant qu’elle m’accueille avec un baiser mouillé. Bien roulée, moulée à la louche, la peau douce et de très beaux genoux, que demander de plus comme dirait le regretté Bernardin. Un matin, comme ça, quand elle n’a goûté son café que dans ma bouche, elle aime qu’on s’occupe d’elle. Sensible au gobage d’orteils, elle adore le cuni mais n’aime pas de doigtage. Après son premier tressaillement du jour, elle est prête pour une pénétration bien tempéré, en missionnaire, suivi de quelque chose de plus enlevé, en levrette. Gaby participe à la fête, et comment. Finition en CIM mais manifestement, elle n’aime pas trop. Fille intéressante voire pétillante lorsqu’on discute. Je suis reparti en fredonnant Gaby Oh Gaby

Olivia est bien connue sur ce site sous le nom de Maya et d’autres alias. Ce qui étonne chez elle c’est qu’avec son expérience, elle ait conservé une telle fraicheur, autant de spontanéité et un air aussi juvénile. Elle n’a que 22 ans mais ressemble à une ado avec ses joues bien pleines, son regard coquin et… son appareil dentaire (très discret et qui ne la gêne ni pour embrasser savoureusement et généreusement, ni pour sucer divinement). Olivia est de taille moyenne, mince avec une jolie poitrine et un superbe petit cul. Signes particulier : un gros grain de beauté sur le flanc droit et un piercing au nombril. Et puis, sa peau est extrêmement douce. Enfin et surtout, elle a une grâce et une délicatesse naturelle qui la font ressembler à une porcelaine. Mais cette porcelaine-là n’est pas du genre fragile. Elle n’a pas peur de recevoir une bonne sodo bien profonde, un cuni qui la fait grimper aux rideaux (veiller à fermer la double porte à cause du bruit), une pénétration énergique qui la laisse sur le flanc et un CIM qui lui gonfle les joues. En un mot, cette poupée russe est absolument délicieuse. A déguster sans modération. J’ai dit !

Ses incroyables photos sont à la fois réelles et mensongères. Il n’y a aucun doute, c’est bien elle, à 100 %. Et en même temps, ces images suggèrent une autre femme que je n’ai pas rencontrée : une femme proche de la trentaine, alors que Sofie est toute jeune ; une femme d’expérience, alors que Sofie est la fraîcheur incarnée ; une femme à l’expression méchante alors que Sofie est délicieusement enjouée. La fille que j’ai rencontrée est certes une novice, mais une novice téméraire qui n’a pas froid aux yeux. Elle a à peu près tout accepté, le doigtage en cuni, le doigt dans le cul en levrette, mais en CIM elle n’ pas avalé et après un court essai en sodo, elle a calé devant la taille de l’engin. Ce n’est pas grave car Sofie a largement compensé par son enthousiasme, son implication sa volonté de bien faire, son incroyable gaité, et sa joie qu’elle n’a pas caché à plusieurs reprises. Voilà une petite qui appelle sa maman pendant l’orgasme et qui ensuite a besoin de tendresse au point qu’elle a failli s’endormir dans mes bras. La petite Sofie qui fait maman quand on la touche reçoit dans un hôtel proche de la Tour Eifel.

Valérie est ultra excitante : cette femme-enfant porte à la fois l’innocence et la luxure sur son visage. C’est ce que l’on voit sur l’image. Lorsque l’image s’anime, c’est le corps qui s’exprime, normal pour une danseuse. Elle bouge magnifiquement, m’effleure comme une chatte. en un rien de temps, sans même m’en apercevoir, j’étais nu, bien dressé, et en de bonnes mains. Ses baisers pleine langue étaient d’une douceur infinie. Lorsqu’elle a pris ma queue en bouche, je me suis dit : c’est la ouate que je préfère. Sa peau, elle aussi était d’une douceur irréelle. Et j’ai pensé : "Là tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté." Ce corps à la Baudelaire est un véritable affront à la nature : il n’est tout entier qu’une zone érogène. Partout où on le touche, on le met en émoi. Jamais un gobage d’orteil n’a provoqué une telle émotion. et que dire du cuni : une souveraine réaction orgasmique, intense, rapide. Je ne laisse pas valérie reprendre ses esprits et j’enchaîne sur un missionnaire langoureux. Il n’a pas fallu plus de cinq minutes, pour que mon sismographe n’enregiste une nouvelle secousse tellurique. Nous passons quelques positions en revue. La belle est aussi brillante dans toutes les figures imposées. Je termine mon premier round en CIM, et à ma grande surprise elle avalé. Au total, elle a eu 3 orgasmes en une demi heure. Le deuxième round fut plus calme et très langoureux. Je suis tout de même sorti sur les rotules alors que cette jeunesse n’aurait rien demandé de mieux que de continuer. Ce fut une rencontre d’exception. Valérie reçoit dans un hôtel proche de la Tour Eifel. Avant de la quitter j’ai rencontré Sofie, sa superbe amie avec laquelle je pris aussitôt rendez-vous pour le lendemain. A suivre.

C’est la 2e fois que je voyais Vika, pour son 2e tour à Paris. Ca va devenir une habitude. La porte s’ouvre : elle est nue ! Nue et sans aucune trace de maquillage, car cette fille là se déguste au naturel et ne cache rien, même si elle a encore quelques traces d’une allergie au soleil. La porte est ouverte, elle est nue, me sourit radieuse et me tend les bras en signe de bienvenue. Nous nous embrassons fougueusement. Elle s’accroche à mon cou, saute et m’enserre la taille entre ses jambes. C’est ainsi que je la porte jusqu’au lit et la dépose délicatement. Elle rit et ne cache pas sa joie. Je la retrouve toujours aussi enjouée. Toujours fine aussi mais plus aussi anorexique qu’elle a pu l’être dans le passé. Elle me met sous le nez son argument choc : ses deux superbes obus qu’elle donne à sucer et à malaxer. C’est une particularité physique assez rare que de voir sur une longue liane à taille fine deux beaux seins moelleux, crémeux, soyeux. Le cul n’est pas en reste , bien rebondi, elle le donne à lécher. Quand je lui indique le mien , elle commence par se pourlécher les babines et prendre un air ultra coquin tout en me regardant droit dans les yeux. . Puis elle descend vers mon postérieur qu’elle gratifie d’un nettoyage de la raie à grands coups de langue. Le petit trou n’est pas oublié : il a droit à une langue intrusive à laquelle succède l’index de la belle qui vient me titiller la prostate. Voilà, pour l’entrée en matière de nos retrouvailles. Le reste fut tout simplement diabolique... J’ai dit !

Sur les photos, elle a l’air d’une méchante, dans la vraie vie, c’est un tendron. Elle a l’air d’une PSE, c’est une GFE. Elle a l’air d’une femme fatale, c’est une femme fatale. Fatale, au sens où vous êtes emporté par un tourbillon de baisers. D’embrassades en étreintes, vous voilà le pantalon sur les chevilles, le slip aux genoux et la queue dans sa bouche. Puis, sans même passer par la douche, la queue dans sa chatte. Elle miaule, se tortille, serre les draps et mord l’oreiller. Monica est en ce moment même à Paris et reçoit dans un hôtel proche de la Tour Eiffel.