papgueno Reviews

La scène parisienne manquait singulièrement de renouvellement ces derniers temps. Mais voilà qu’une nouvelle Grande GFE est en train d’y apparaitre : elle s’appelle Sasha. René nous compte régulièrement ses hauts et surtout ses bas avec les filles de l’agence Amour-Russe qui ont le même profil que Sacha : très jeunes, très fraiches, très nature, bref, des filles 100 % écologiques. A la lecture de ses compte rendus, le moins qu’on puisse dire c’est que la satisfaction n’est pas toujours à la hauteur du fantasme (pédophile ?). Ce n’est pas seulement une question d’expérience, c’est surtout une question d’attitude. Sasha n’est pas de cet acabit. Pour moi, elle fut une superbe découverte. Comme d’habitude, les photos sont ratées. En fait, elle a un très beau visage, des yeux bleus rieurs au regard pétillant, et un sourire craquant et permanent de contentement voire parfois, de ravissement. Sinon, c’est une grande liane mince et souple au format classique : petits seins très sensibles, petit cul bien rebondi, longues cannes. D’entrée de jeu, elle me roule une pelle de bienvenue. Ensuite nos bouches ne se détacheront plus sauf pour parler et pour sucer. Inutile de dire que nous avons allégrement zapé les formalités administratives, la cérémonie de la douche et, je me suis désapé en urgence comme j’ai pu. C’est parfois un peu ridicule de s’affairer avec le pantalon sur les chevilles mais dans une chambre à coucher, cela fait longtemps que le ridicule ne tue plus. C’est qu’il y avait urgence, le feu couvait sous la cendre et nous avons rallumé nos braises en nous frottant l’un à l’autre. Sasha aime les hommes et adore le sexe. Elle a joui et s’en est régalé. Je ne dirai pas combien de fois pour ne pas énerver Patounet, et d’ailleurs je ne suis sûr de rien. Ce dont je suis persuadé en revanche, c’est que cette petite là est une grande.

Mon dieu que ses photos son ratées, dans le style gnangnan et cucul la praline difficile de faire pire alors que nous sommes là face à une grande bringue adorable. Bella fait beaucoup plus jeune que son âge, et semble à peine pubère. Mais l’ultra-jeunisme est à la mode, du coup, l’agence Russian Girls For Me dont ce n’est pas la spécialité s’y est mise à son tour. Pour un coup d’essai, c’est plutôt bien. Bella a des atouts : le visage est très beau, très russe avec ses yeux bleu-gris, son menton et ses pommettes saillantes, ses mâchoires triangulaires. Elle me fait penser à l’actrice Tatiana Samoïlova dans le film « Quand passent les Cigognes ». Le corps est une liane, bien long, bien blanc et très doux, aux hanches étroites, avec ses petits seins, son petit cul rebondi, son pubis gourmand et quasi imberbe et ses très longues cannes. Elle a le comportement qui va avec, timide et peu sure d’elle au début, telle une jeune biche frémissante. Il faut dire que voici une débutante dont c’est le premier tour à l’étranger. J’ai tout fait pour la rassurer et pour briser la glace, comme le dit René, une seule recette : la pratique des langues étrangères. Rien de tel qu’un cuni bien appliqué. Au début, rien ne se passe, puis, petit à petit son bassin se soulève de plus en plus haut, j’ai eu peur qu’elle me fasse un pont retourné mais j’ai suivi le mouvement jusqu’au spasme salvateur. A partir de là, c’était gagné. Ensuite, il faut mentionner un rodéo en Cow-Girl endiablé. Il faut dire Bella est une cavalière émérite et ne ménage pas sa monture c’est dans cette position qu’elle m’a achevé dans le premier round. Dans le second, elle gagna la rencontre par KO grâce à un CIM de bonne facture.

J’avais Lea dans mon collimateur depuis un certain temps déjà. Elle a fait 2 longs passages en France, en novembre et en février, surtout en province. Aussi, lorsque j’ai vu qu’elle terminait par Paris et que c’était son dernier jour, je me suis fait ce petit cadeau qui se révéla comme un très beau cadeau. Il y avait en effet pour moi un mystère : en presque 2 mois de tournée, pas une seule revue, qu’est-ce que ça cachait ? J’avais également une autre appréhension : qu’elle soit complètement épuisée, usée par l’enchainement de ces deux tournées. Eh bien j’ai obtenu mes réponses : le silence radio sur Lea n’était dû qu’à l’immense, l’incommensurable panurgisme des punters, mes semblables, mes frères… Bien sûr ses photos sont nulles. Mais enfin, on arrive quand même à se rendre compte que cette fille est un vrai canon, vu qu’avec les tchèques et les slovaques il n’y a pas beaucoup de risques de fausses photos ! Bref, Lea est sans doute l’escorte la plus sous-estimée de la place de Paris. Cette fille a une plastique proche de la perfection : elle est très grande (1m80), très élancée avec notamment de longues jambes, ses seins (naturels comme tout le reste) sont sublimes, de belle taille, très fermes et surmontés de gros tétons pointant vers le ciel. Son cul est un défi à la gravitation universelle par sa rotondité superlative et bondissante. Et ses genoux (mon marqueur fétiche) sont exceptionnels. Elle a également un très beau visage, un regard craquant et un sourire ultrabrite à la denture éclatante. Moi qui craignait sa fatigue après ses tournées exténuantes, j’ai été sidéré de constater dès le cuni de bienvenue qu’elle était toujours d’une incroyable fraîcheur. Il n’a pas fallu plus de 5 minutes avant qu’elle fasse de véritables sauts de carpes sur ma langue affairée. Tout le reste de notre rencontre me prouva que Lea est une véritable baiseuse de fond, disposant d’une haute technicité. Lea parle très bien l’allemand et l’anglais. Elle sera sans doute bientôt de retour dans la mesure où elle est tombée amoureuse de notre pays.

Une escorte qui dort avec son nounours ne saurait être entièrement mauvaise. Encore qu’elle devrait faire attention : petit nounours trop embrassé peut devenir gros… Mais cela ne saurait effrayer l’intrépide Katrin. Elle tient pourtant plus de la petite fille que de l’aventurière. La délicieuse enfant se nourrit toujours de bonbons, se conduit de manière totalement spontanée, non-convenue, avec une fraîcheur et un naturel désarmants. Cela ne l’empêche pas de se transformer en diablesse le moment venu. Dans l’action, Katrin est chaude bouillante pour peu qu’on l’ait bien préparée avec des préliminaires « linguistiques », si l’on peut ranger le cuni dans cette catégorie. Ensuite tout s’enchaîne et se déchaîne librement. Je l’ai ainsi labourée profond dans tous les sens en ne recueillant que des signes de contentement, exprimés de façon parfois bruyante. Mais je ne crois pas qu’elle simule. En tout cas pas tout le temps, surtout lorsque ses petits cris se transforment en grognements rauques. Elle a ainsi validé de son approbation le papa-maman du missionnaire, puis m’a chevauché comme une walkyrie en furie, enfin s’est transformée en chienne en doggy. Le tout avec une belle endurance, privilège de la jeunesse. Le deuxième round a été plus calme, avec finition en CIM. J’ai passé une heure délicieuse avec Katrin dans sa belle chambre donnant sur les Champs-Élysées. Elle m’a même pris en photo sur le balcon sur fond d’arc-de-triomphe. Décidément, l’agence ne se moque pas de ses clients avec des adresses aussi prestigieuses que les Champs Élysées ou l’avenue Foch pour Selena. Et cela pour un tarif raisonnable. J’ai profité de la promotion du weekend qui a été exceptionnellement prolongée pour les récipiendaires du listing mail. Cerise sur le gâteau Katrin se débrouille comme une chef en français. J’ai dit !

Merilyn n’est pas Marilyne. ça ne l’empêche pas d’être bien gaulée. C’est une belle blonde de taille moyenne, svelte et harmonieusement structurée. Elle a un visage très délicat et très russe de princesse de conte de fées. Dommage que les lèvres aient été gonflées. Une mention spéciale pour les seins, gonflés mais aux superbes tétines : une vraie gourmandise dont on ne se repait pas. Une belle fille mais qui ce jour là n’était pas très en forme : le temps pourri et la morosité ambiante sans doute. J’ai quand même réussi à la dérider en fin de rencontre. Pour ce qui est de notre partie de jambes en l’air, RAS. Du classique donc avec une interprête docile qui suit la mesure.

Tout ses paramètres sont au top : - elle est jeune mais ce n’est plus une débutante puisque c’est son 2e tour ; - elle est grande ; - elle est bien gaulée avec un corps athlétique, notamment au niveau des cuissots ; - elle dispose de beaux appâts - elle est saine : visiblement c’est une sportive en pleine forme vue l’endurance qu’elle déploie dans les positions les plus dévoreuse d’énergie de la pénétration ; - elle est agréable, sympathique, délicieuse : c’est sœur sourire et ne rate pas une occasion de s’amuser en éclatant de rire. - elle est positive, serviable et altruiste envers son partenaire. Un très gros potentiel, donc. Mais elle ne se lâche pas encore totalement. Cela ne m’a pas empêché de passer un très bon moment avec elle.

Aline est un paradoxe : une superbe fille mais qui ne se lâche pas assez dans l’action. Les photos sont bien d’elle mais anciennes. La surprise c’est qu’aujourd’hui, elle est encore plus belle. Beaux yeux bleus au regard profond, sourire éclatant, expression parfois un peu ironique, mais surtout, quel corps ! C’est un corps qui lance un message sans équivoque : "Je suis fait pour l’amour !" Un corps lascif qui est à lui seul une offense aux bonnes mœurs. Des seins de folie (naturels of course) et un cul de folie, le reste à l’avenant, une peau de velours, le tout moelleux, onctueux et suave à souhait. A consommer sans modération donc. Mais c’est à la consommation qu’on sent un peu de timidité. Bisous à peine esquissés, fellation peu appuyée, pas de CIM et bien sûr pas de sodo. Heureusement, le cuni est apparemment très apprécié. Mais surtout, la belle se rattrape à la pénétration. Sa chatte est une merveille : une vraie motte de beurre, étroite et humide (pas de gel), qui donne d’emblée envie de jouir à n’en plus finir. Je ne m’en suis pas privé. J’ai dit !

Une belle fille à prix raisonnable, ça n’a pas de prix ! Même si ses photos sont un peu flatteuses, elle n’en reste pas moins un beau brin de nana. Une blonde décolorée avec de très beaux yeux et un côté juvénile (d’ailleurs elle est jeune). Un corps avec des formes : petits seins (naturels) à gros tétons et un popotin girond, ça le fait ! Le cuni et son doigtage sont appréciés comme en témoigne l’humidité vaginale. La pénétration est enthousiaste. C’est vrai qu’elle lance des encouragement vocaux assez stimulants mais parfois surjoués. Le doggy est sa position préférée. J’ai eu l’impression qu’elle avait joui mais pas la certitude, car je me méfie de la simulation. Finition en cim de bonne facture. Deuxième round plus tranquille et pour tout dire plus familial avec petite discussion sympathique et quelques fous rires.

C’est son premier tour, autant dire qu’Annaïs est une débutante. Avec peu de maquillage, elle fait beaucoup plus jeune que sur les photos, plus naturelle, surtout. C’est une grande, et même une très grande fille avec un visage coquin, d’interminables gambettes, de belles hanches et un très beau derrière, enfin des seins plutôt petits mais extrêmement sensibles. L’ensemble est svelte, gracile, superbe. Dans son attitude générale, la grande est spontanée : c’est encore une toute jeune femme qui, comme le dit René, a les défauts de ses qualités. Elle est assez mal dégrossie. Elle ne sait pas par exemple ce qu’est un FK. Mais comme elle a lu que c’était avec la langue, elle m’a badigeonné les muqueuses avec de grands mouvements de langue rotatifs. C’est dire qu’elle est pleine de bonne volonté et qu’elle dispose d’une bonne marge de progression. Cela dit, je ne suis pas bégueule, car dans les postures classiques, Annaïs est très satisfaisante. Au cours des préliminaires, chez elle, tout part des seins, pour citer Senior. Elle ne dédaigne pas les amuse-gueules tels le gobage d’orteils et ramasse sa mise avec volupté en cuni. La pénétration lui arrache de grandes manifestations d’approbation. Finition en COB car elle ne pratique pas le CIM. Au final, rencontre agréable. Cette pouliche là a du potentiel à condition d’être drivée rênes courtes.

Avec les soldes, après Noel, c’est encore Noel ! Eh oui, j’ai fait comme tout le monde en ces temps de crise, je me suis converti aux promos, discounts et autres prix cassés. Ne pas croire pour autant que je sois devenu moins exigeant sur la qualité. Et avec Melisa, je suis justement tombé sur une occase en or. Elle n’est ni roumaine, ni bulgare, ni moldave. Non, elle est russe, tout simplement. Elle est jeune : 21 ans m’a-t-elle assuré et non pas les 23 ans annoncés. C’est une blonde naturelle aux yeux bleu-vert et à la peau très blanche. Elle est grande. Et surtout, c’est vraiment une belle fille. Sur les photos elle a un air dur et fermé. Dans la réalité, c’est évidemment différent. Son beau visage présente un vrai profil aristocratique. Et puis quel corps sculptural avec ses hanches larges, ses belles mamelles, et surtout son cul à la rotondité parfaite (un vrai référentiel bondissant) ! Comme c’est son premier tour à l’étranger, Melissa n’est pas forcément très à l’aise. Au début, elle apparait un peu réservée, mais un cuni expert précédé de son gobage d’orteils et dont l’épilogue fut extrêmement positif eût tôt fait d’installer une compréhension entre les peuples et une coopération mutuellement bénéfique. Ensuite, il a juste suffi de laisser les corps parler. Missionnaire très inspiré, levrette avec grandes claques sur son référentiel bondisssant qui lui ont tiré des sanglots, tels furent mes meilleurs souvenirs. J’ai eu beau me retenir, la diablesse était tellement excitante que j’ai joui à la pénétration, ce qui ne m’arrive pratiquement jamais. Pour le deuxième round (ce qui m’arrive de moins en moins souvent), elle a réussi à me faire jouir par des léchouilles sur tout le corps. Mon seul regret : elle a refusé la finition en CIM. Mais cela n’est pas rédhibitoire et dans l’ensemble cette rencontre me laisse un excellent souvenir. J’ai dit !

J’ai eu la chance incroyable de cueillir Sasha à son arrivée. tout simplement parce qu’elle était affamée et qu’elle avait une faim de louve. Et alors là, je suis tombé sur une pile électrique. La rencontre fut absolument unique. Je n’avais jamais connu ça. Mystère des peaux ? Affinité élective ? En tout cas, la toucher à n’importe quel endroit de son corps provoquait immédiatement des tressaillements. J’ai attaqué par un cuni tout en douceur : il a suffi que je pose ma langue sur la vulve pour provoquer un début d’orgasme. Ce ne fut que le premier d’une longue série que j’ai rapidement arrêté de compter. Puis elle m’a dit d’autorité : "Baise moi, je veux jouir par ta queue, pas par ta langue ou par tes doigts" ! La pénétration en missionnaire fut un véritable feu d’artifesse. Elle spasmodiait même lorsque je ne bougeais pas, me contentant de contracter mon penis dans sa chatte. Elle a invoqué sa maman puis le Très Haut un certain nombre de fois. C’est ainsi que l’heure est passée très vite avec une intensité folle et constamment renouvelée. Franchement, pour rien au monde, je n’aurais voulu rater ça. J’ai dit !

Amateurs de minettes post pubères s’abstenir ! Beata est exclusivement réservée à un public averti de connaisseurs et d’esthètes. C’est une vraie femme russe, superbe et généreuse, dans la plénitude de sa beauté, épanouie et radieuse. Une masseuse qui donne et qui prend. A chaque fois qu’elle nous revient, je lui rends visite : une intimité s’est donc installée entre nous, ce qui rend toutes choses encore plus savoureuses. Et chaque fois, elle m’émeut plus encore. Car il y a en elle une vibration unique.

Incroyable mais vrai, j’ai couché avec Sandrine Kiberlain..., ou du moins son sosie. Même physique : grande, mince, très blanche, très blonde, très belle. Même attitude que l’actrice française : distinguée et délicate, sourire énigmatique, et une certaine réserve. Ne pas croire pour autant que la belle doive être manipulée comme une porcelaine. Elle a encaissé, parfois avec plaisir, une heure de pilonnage intensif dans toutes les positions. La prestation reste assez classique, mais c’est du cousu main et réalisé de main de maitresse femme. Pour moi, satisfaction assurée en CIM d’excellente manière. Roxanne a choisi elle-même son nom de scène en référence à la chanson de Sting et de Police : Roxanne, you don’t have to put on the red light. Those days are over You don’t have to sell your body to the night Roxanne, you don’t have to wear that dress tonight. Walk the streets for money You don’t care if it’s wrong or if it’s right. Réservé à une élite d’amateurs éclairés.

Tatiana est injustement sous-estimée : une seule revue malgré des photos qui éveillent la concupiscence. J’ai voulu en avoir le cœur net, eh bien cette femme est somptueuse et plus lascive encore dans la réalité. Cette brune aux yeux bleus qui ne compte pas pour des prunes est un moyen format mais avec des courbes de brésilienne en folie : des seins magnifiquement veloutés (probablement améliorés mais ça ne se sent pas), très réactifs avec leurs tetons qui durcissent à l’excitation jusqu’à devenir de gros clitos ; des hanches larges à l’italienne, des cuisses voluptueusement galbée, et surtout sa majesté le cul, impudiquement rebondi. Et quand elle me lance son regard profond, avec une expression à la fois tendre et lubrique, je me sens devenir libidineux. Comme Tatiana n’avait pas dû voir grand monde avant moi, elle était au début sur la réserve. J’ai dû l’apprivoiser en lui administrant d’emblée un cuni appuyé avec deux doigts dans la chatte. Cela s’est terminé, comme il le fallait par un joli tremblement, des yeux révulsés et ma tête serrée entre ses cuisses puissantes. J’en suis ressorti avec les oreilles écarlates, et elle avec une gratitude qui s’est exprimée par un lent déploiement de son énorme potentiel érotique. Première finition en CIM accompagné de léchage de boules et de massage de la prostate. Puis un deuxième round plus classique avec une tournée des différentes positions. La levrette est somptueuse par sa vue. Nous avons terminé par une deuxième secousse partagée en missionnaire. J’en suis sorti exultant et lessivé en me disant la prochaine fois je la bookerai pour 2 heures.

Chloé est fille de joie, au sens propre comme au figuré. En l’occurrence la joie fut largement partagée. Cette toute jeune, toute belle et adorable escorte a reçu un don : elle est multi orgasmique et peut jouir 3 à 4 fois dans l’heure, si mon décompte est bon avec moult manifestations, palpitations, fureur et gémissements. Je n’ai pas la prétention de croire que j’en suis la cause, tout au plus l’agent. C’est une prédisposition exceptionnelle et je ne connais que quelques escortes qui la possèdent, comme Catherine (sur un autre site), Valerie ou encore Sky… Evidemment, quand votre partenaire de jeu est un volcan capable d’entrer en éruption à tout moment, ça rend les choses assez palpitantes et même sportives, outre le bien que ça fait du bien à l’ego (qu’on le veuille ou non). Ce fut donc le cas. Chloé est une grande fille, svelte dotée de jolies formes et de petits seins extrêmement réactifs. Chez elle, tout part de là… Elle est spontanée, joyeuse, rieuse et quand elle me regarde avec ses yeux bleus et malicieux, je fonds. Car je suis tombé sur une débutante, ce que j’aime par-dessus tout.