MUST4NG Reviews

Booking Rien à signaler. L’appartement ce situe à Passy et donne sur la tour Eiffel. Il est très confortable, les volumes aérés, des paravents dissimulent un très douillet lit deux places. Social-time Son anglais est correct et qu’importe, Katherine a le contact facile. Souriante, rieuse, décomplexée, « pas prise de tête », je vois mal comment on pourrait ne pas apprécier cette petite. Physiquement Je sais pertinemment que le visage de Katherine ne fait pas l’unanimité, voire pire. Et je peux le comprendre puisque sur les clichés on remarque son grand front, ses yeux écartés, la base du nez large, et tout cela dans une apparence générale sévère et dure, proche du gothique. Pour autant, j’y ai trouvé dès le début un je-ne-sais-quoi d’irrésistible à mon goût. Une sorte de force d’attraction obscure et indéfinissable. Bon, la gravité de ses deux magnifiques globes y est pour beaucoup c’est sûr , mais pas que. Alors qu’en est-il en réalité ? La surprise fût bonne. A peine avais-je aperçu Katherine descendue me chercher au pied de l’immeuble que j’étais rassuré. Le visage est plus doux, il est illuminé en permanence par un beau et généreux sourire, qui laisse entrevoir ses dents du bonheur. Katherine correspond à l’un de ces morphotypes qui m’est cher : des formes fermes, un ventre plat, et un buste sur lequel est greffée une superbe poitrine. Sinon c’est vrai qu’elle est large des hanches et qu’elle a quelques petits boutons en haut du dos, mais rien de gênant. Sexuellement D’emblée elle me propose un massage du dos : ALTERTE ROUGE ! Sur 30 minutes, soit elle me prenait pour le pigeon du jour, soit c’était une grande feignasse. Dans tous les cas, rien de bon. Seule autre à avoir ouvert un meeting par cette proposition en bois : Olia, pour des services tout aussi en bois. Plutôt que de m’insurger verbalement, je choisi plutôt de la mettre au diapason de mes envies en lui sautant brutalement dessus. Les french kiss infernaux s’enchaînent, elle se change en succube ivre de vice. Je déroule ma panoplie complète de jeux mammaires ; soldes d’hiver : elle a droit à une deuxième fournée gratuite. Je dois bien que ses seins me rendent hystérique. S’en suit une grande Olympiade de pipe vs. Cunni où l’on fera du tort à De Coubertin puisque "l’important n’était pas de participer" mais d’avoir le dernier mot. On a bien dû faire 4 fois le tour du lit. Mais attention mademoiselle est une tricheuse : elle a profité d’une seconde d’inattention alors que j’ouvrais la capote pour me resucer ! L’adversaire fait mine de ne pas avoir vu et ne réclame pas le hors-jeu Je me dresse désormais au-dessus de sa féminité, elle bombe bien le torse ce qui fait ressortir sa poitrine. Petite inspiration, je m’élance et vient fendre d’un coup d’un seul dans cette petite chatte gorgée de mouille. Quelle sensation de glisse charnelle, j’avais l’impression de taper un tube parfait ! Dieu merci nous étions seuls et les cloisons épaisses car Katherine hurle comme une petite sauvageonne ! Elle surjoue certes, mais je lui ai donné une bonne raison : je l’ai secoué comme un cocotier ! De haut en bas façon shaker, je lui appuyais dessus pour la faire rebondir comme un ballon de basket. Du sport de haut niveau, je vous le dis. COBoobs de rigueur. Je m’invite sous la douche pour lui savonner une partie de son anatomie que je n’ai pas besoin de préciser. J’aurais pu faire trainer le meeting et ma présence, elle était loin de me chasser, mais pas mon genre et post-coïtum, animal affamé, je devais me remplir la panse dare-dare. Conclusion Excellente surprise dominicale avec cette petite Katherine. Elle est adorable, fraîche, nature : un bain de jouvence à elle seule. Elle n’est pas là pour faire la précieuse, pas de chichi chez cette Ukrainienne qui plaisante non-stop. Ces filles-là, de ma génération, portaient de salopettes et des Kickers. C’était les filles rigolotes de la classe, les bonnes potes, celle à qui on peut faire des blagues de « garçon », pas moches mais qu’on ne regardait pas vraiment. Jusqu’au jour où elles laissent s’échapper une touche de féminité, et là tout bascule. On se met à y trouver un attrait insoupçonné et grandissant. On saute le pas, c’est en fin de compte géniale, et on se demande bien ce qu’on a pu se faire chier à courir après des chieuses pimbêches pendant tout ce temps-là. C’est donc comme ça que ça a commencé, un peu par dépit, avec beaucoup d’interrogations, pour finalement se sentir un peu bête et honteux d’avoir mésestimer cette fille talentueuse et généreuse. Moi je fais le pari que beaucoup de ses clients sont devenus accros !

Booking : Spread the word: Amour Russe it’s “take the money and run”. Despite dozens of bookings in the most minimalistic way (Hi, [name], [time], [duration], ok?), I committed the unforgivable sin of asking innocently about an option. Disgrace. “Dear, I’ve no time to talk, sorry! You’re a regular customer and should know and understand everything.” WHAT.THE.HELL. Quality of service? Customer relationship management? Amour Russe has no clue about it. Amour Russe is successful and growing, centerpiece of Parisian escorting, making it the agency people love to hate. Too bad Amour Russe never misses a chance to feed that hate with patronizing and arrogant answers. Dresscode: “as she was going out clubbing”. L’idée était pour moi d’avoir une fille sexy et bien apprêtée. Elle m’a reçu en sous-vêtements, non respecté donc. A moins qu’on sorte comme ça à Moscou ?? Ça sent le bortsch dans cet appartement partagé avec Rihanna : une marmite boue dans la cuisine. Lit de merde : une banquette déroulée, gondolée au niveau des pieds en forme de « W », grinçante et branlante, lattes à replacer à la main, matelas de mousse épais comme une feuille de cigarette. Social time Ne parle strictement pas anglais. Peu perspicace et communicative : aucun échange. Physique Elle me rappelait Ulyana la ballerine hardeuse au corps miniature 10/10. Malena est aussi épaisse qu’un sandwich SNCF, de profil elle disparaîtrait presque. Mais je l’ai trouvé un peu trop gringalette et frêle. Par contre de très jolis petits seins, symétrie parfaite. Peau douce. Visage peu expressif. Jolie fille, mais il y a comme un léger malaise dans son regard, dans son attitude. Elle évite du regard. Pas de strabisme. Une incisive du haut abimée. Sexe Mademoiselle avait picolé ! Elle m’embrassait avec la plus grande retenue, la bouche dure en cul de poule, désagréable. Gêne par rapport à son haleine fortement alcoolisée ? En tout cas je ne n’avais pas envie d’insister. Fellation très timide. Elle passe plus de temps à branler et pas assez deep à mon goût. Drôle de technique, j’avais plein de bave autour de la queue. S’enduit de gel. Ne percute pas rapidement, ses réactions sont à retardement lors des changements de positions, elle n’a pas « l’intelligence du jeu ». Elle est assez expressive. Elle ne fait pas l’étoile de merde, se laisse manipuler sans sourciller. Câline, elle pose ses mains, mais fuit du regard. En levrette il fallait y aller mollo car aller loin la faisait grimacer. Mais très étonnamment elle était devenue toute mouillée. Je lui titillais le petit avec le pouce. En cowgirl elle se trémousse sur ma queue, c’est un peu trop gentillet à mon goût, alors je m’active, tout en lui suçant un sein. Je jouis, elle aussi fait comme si elle avait eu un orgasme. Conclusion Malena est ce qu’on pourrait qualifier de « brindille débutante ». Ce n’est pas une grande experte, et elle n’est pas non plus habitée par le diable, elle ne déborde pas de pulsions charnelles. Plutôt GFE parce que douce, mais avec des limites car elle n’est pas fusionnelle. Une rencontre somme toute standard, peu de choses à déplorer mais peu également sur lesquelles s’extasier. Il m’a manqué l’étincelle. Feeling moyen de la belle avec moi, peut-être m’a-t-elle trouvé laid comme un pou ?

Social-time Agréable retrouvaille avec cet appartement du 15ème, puisque c’est en ces lieux qu’officiait Zhanna, petit démon slave dont je ne me suis toujours pas remis. Milana Nice, elle, est une Kiévienne (si si ça se dit) de 22 ans. Une jeune motarde avec un niveau d’anglais qui explose les standards d’Amour Russe, et qu’elle utilise à bon escient. Elle parvient en effet à surmonter sa nervosité pour se montrer affable, curieuse, prévenante. Elle relativise même l’escorting « no job is easy ». En tout cas elle fait le sien de job avec application : la présentation, les compliments, la serviette… tout est là ! Physique Ce qui m’avait séduit chez Milana Nice c’est son look de Suicide Girl. Et puis, je dois bien le dire, dans mon aveuglement euphorique d’être le prem’s je n’avais pas pris le temps d’étudier ses photos. Même pas remarqué qu’il y avait en réalité deux photosets dont un, celui en corset à fleurs, pas mal retouché. Sans doute aurais-je dû étudier davantage tout cela car à la vérité j’ai été un peu déçu par le physique. Un fessier enveloppé, large d’épaules, quelques vergetures sur les côtés, des mollets épais, de l’acné dans le dos, une dentition irrégulière, bref pas mal d’imperfections. C’est une jolie fille, c’est sûr, mais si on en revient aux standards d’Amour Russe, on est bien en-dessous. Sexe Elle me prend les mains et m’attire vers le lit. Elle vient au contact et je sens que la partie va être bonne. Des DFK qui m’ont d’abord semblé un peu sur la retenue, une impression que je ne retrouverai plus par la suite du meeting. Sa fellation n’est pas spécialement aguerrie, mais elle est marquée comme tout le reste par le souci de bien faire. Lors du cunnilingus elle s’est faite plus qu’expressive. Mais je dirais que son pêché mignon c’est la pénétration. Le volume sonore a monté d’un cran, et sa chatte s’était changée en fontaine de mouille. Des sensations qui se font plus légères, mais largement compensées par le bruit des floc, floc, floc et le parfum de ce nectar concupiscent que suinte le fruit défendu et qui embaume la pièce. J’ai eu la sensation que Milana est parvenue à fendre l’armure et s’est lâchée totalement. On s’est bien compris. Les positions se sont enchaînées à toute allure sans répit en James Deen style, et sans jamais qu’il ne soit besoin question de préciser quoi que ce soit. Idem pour le COB qu’elle a reçu très volontiers, sans coup de gueule ni de demande de supplément cette fois ! Conclusion Elle m’a dit être très satisfaite de sa grande première. Moi également. Une mise à l’eau réussie, et pour laquelle je me félicite d’avoir été aux avant-postes. Milana Nice était consciencieuse comme une enfant à la rentrée de classe, bien décidée à démarrer son année d’un bon pied. De l’autre côté, son inexpérience de l’escorting l’empêchait de mettre à distance son partenaire en gérant la rencontre avec des automatismes et des routines professionnalisées. Au final, je n’ai eu à aucun moment l’impression d’être dans une relation tarifée. Mon petit doigt me dit aussi qu’elle va se bonifier avec les rencontres. En tout cas, comme je lui ai dit avant de partir, je lui souhaite un bon tour.

Intro Alors que certains rendaient hommage ce jour-là aux héros de la Grande guerre, un élan de patriotisme me gagna, avec comme l’envie pressante de célébrer l’alliance franco-russe à ma manière. Plus de plan en vue, pas de pièce de monnaie dans ma poche pour un pile ou face, je laisse à l’opérateur « 309 » le soin de trancher en me disant qui de Deni ou Luisa est disponible immédiatement. C’est Luisa, dans 20 minutes. Physique Comme d’autres ses photos étaient peu avantageuses, sauf qu’elle n’est pas aussi photogénique que sa comparse Michele. L’orientation de la lumière ne l’aide pas puisqu’elle crée des zones d’ombres façon « face cachée de la lune » qui lui durcissent les traits du visage. A la vérité, j’ai trouvé Luisa très belle. C’est aussi visage « vivant », qui enchaîne une bonne demi-douzaine d’expressions faciales à la minute. Là où elle mériterait les honneurs de la nation c’est pour son cul, à un damner un Poilu. Elle est cambrée, il est minuscule, charnu, doux, frais. Juste parfait à mon goût. A chaque fois que je passais devant je me permettais un pelotage en règle ce qui la faisait ricaner comme une bossue. Les seins, ça sera rapide, y’en a pas :D. Ah si, des tétons très longs, épais et durs. Curieux, je les ai titillés, et puis.. et puis.. j’y ai pris goût. Comme quoi. Social-time Bon ben elle ne parle pas du tout anglais. Elle dit venir de Saint-Pétersbourg alors que sa meilleure amie est de Kiev. C’est beau la modernité, des amitiés par-delà les frontières. Je lui fais remarquer, elle était gênée. Libre à chacun de croire à cette fable, en fait on s’en fout, non ? Sexe A peine me suis-je retourné qu’elle je la trouve plantée sous mon nez, sa langue dans ma bouche. De délicieux French kisses qui méritent une nouvelle médaille, ils sont lents et bien pervers. Au fur et à mesure de ce petit jeu le meeting s’empare d’un brin de folie. Je me mets à la peloter et la lécher dans tous les sens, elle fait de même. Doigtage sans concession avec en prime un jeu de grattage en haut du vagin. Je suis déjà surexcité, mais elle continuait à me pousser dans mes retranchements. 69, elle s’arrêtait régulièrement, comme pour mieux apprécié mon travail. Mais je pense que c’était aussi une opportunité car la pipe ne semble pas être son truc, sa technique se résume à gober le gland et bien branler. Pénétration sans gel, elle opte pour le reverse cow-girl, qui s’avère être un must absolu. Pour le coup elle entre tout droit dans mon Panthéon. Buste immobile, elle parvient à détacher complétement son arrière-train du reste de son corps, le déhanchant pour une partie de booty shake endiablé sur ma bite. Hallucinant. Sa cambrure est maximale. Elle arque les épaules vers l’arrière. Elle est très souple, je la contorsionne et lui fait prendre tout un tas de postures « sex ». J’aurais presque dû rester que dans cette position. Mais elle est aussi entreprenante et décide des changements de positions. Levrette à fond les balloches, qui vire en missionnaire pour repartir sur le flan. C’est là, au terme d’une guerre des tranchées sans concession que je me répands sur le côté de sa fesse. Que n’avais-je pas fait. J’ai eu droit à une récitation du dictionnaire russe. Son agacement n’était pas amusément pas crédible, je l’ai pris à la légère. Et puis c’était sur sa fiche. Après le meeting j’ai dit ironiquement à « 309 » de lui expliquer le COB, il m’a répondu qu’il l’avait déjà fait, lol imaginez le truc. Alors que je me rhabille : « You a very interesting ». C’est sorti de nulle part, ça tranche par rapport à sa non maitrise de l’anglais : je donne en 1000 que c’est la phrase préparée qu’elle adresse consciencieusement à tous ses clients :). Conclusion Alors que l’Amour est hissé en paradigme sacré de toute relation à deux, condition péremptoire du mariage comme de la sexualité, j’aime d’autant plus ces rendez-vous qu’ils en deviennent anachroniques. Cinq minutes auparavant je ne connaissais pas Luisa, j’avais dû échanger un maximum de deux phrases avec elle. Une enveloppe, quelques sourires et regards, et nous voilà sans autre convention au centre d’échanges aussi primaires qu’universels, et qui plus est pour des ébats intenses et sauvages. Un naturel, une facilité, une spontanéité qui je le reconnais en sont presque troublants et qui me font demander ce qui peut bien la pousser à se donner ainsi. Luisa est en fait l’antithèse de la prostituée aliénée et dépressive que l’on dépeint partout en ce moment. Foncièrement joyeuse, elle est d’un tempérament dynamique et enthousiaste. L’insouciance et la naïveté du Bon Sauvage débarquées à Paris parmi la grisaille et des grimaces et qui a soufflé un petit vent d’air frais et salvateur sur mon monde. On me rétorquera qu’elle s’en fiche et que c’est pour mieux me prendre mon pognon, oui, mais reconnaissons-lui qu’elle ne saurait mieux s’y prendre autrement.

Intro Comme d’autres petites nouvelles, Michele n’a pas été aussi bien lotie que Sabina pour les photos : pose devant mur blanc, lumière mauvaise, composition photographique monotone, aspect jauni (ou rouge ?). Toujours est-il que je préfère ça aux photos glamour-kitsch bourrées de photoshop des autres agences. D’autant plus que cela ne saurait rendre la beauté de Michele anecdotique. Elle est à l’aise avec son corps, le met en torsion, sait faire varier sa pose… Autant dire qu’elle m’a tapé dans l’œil vite fait bien fait et que je me suis rué sur un 313 coopératif, espérant bénéficier de la primeur. Social time Reçoit en appartement derrière les champs au niveau de Franklin Roosevelt. Je monte à l’heure, sonne, des bruits de serrures en tout genre : elle n’arrive pas à ouvrir la porte lol. Lorsqu’elle y parvient, je suis stupéfait par cette belle silhouette élancée qui dégage un je-ne-sais-quoi auquel je n’étais pas préparé. Je m’écris « YES ! » pour sa victoire sur la serrure, elle rit et sollicite mon indulgence puisqu’elle est nouvellement arrivée. J’en profite pour obtenir ma réponse, qui va faire des jaloux car oui : prem’s ! Et pour moi être le premier c’était aussi une première . Bon, en fait elle n’est pas complétement débutante. Elle a déjà bossé à Saint Trop’ et Dubaï, principalement avec des arabes donc, qu’elle a trouvé très « polite and loyal ». Elle s’interroge d’ailleurs beaucoup et cherche à être rassurée concernant le profil du client Parisien. La durée de son tour en dépendra. Elle partage ce bel appartement avec sa meilleure amie. Bon anglais, même excellent par rapport au niveau moyen d’une Amoure Russe. C’est une interlocutrice de choix car elle est ouverte, alerte, percute rapidement, tête sur les épaules et aimable. Physique Michele est d’une beauté toute slave. Son visage est très typé russe : pommettes saillantes, nez à la Poutine, yeux aquilins. De beaux cheveux teints qu’elle gagnerait à laisser pousser. Michele a un « petite body type » comme on dit outre-Atlantique. Fine, légère, délicate, harmonieuse, ventre plat, pas un pet de graisse, des courbes impeccables : quel corps ! Si tant est que certains se posent la question, la poitrine est opérée. Cicatrice autour de l’aréole et un peu dur au touché. Mon unique regret car malgré l’aspect peu naturel je les trouve beaux et bien bandants. Sexe Embrasse très bien, à pleine bouche, et sans discontinuer. Je l’allonge, afin de contempler sous un angle différent ce petit bijou sorti dans son écrin. Loin d’être prude, elle est très caressante et me dévore déjà du regard. Moi je déciderai d’aller lui dévorer la chatte. Elle ondule, gémit, complimente (« this is so good »). Pendant que je la broute elle me suce les doigts. Je me sers de la main libre pour la doigter. Elle me rend ensuite la pareille avec une pipe bien engagée, donne de bons coups de tête, je suis aux anges. Teasing : « you want me ? ». Quelle question, je n’en pouvais plus. Quel que soit la position, elle est venue chercher de sa bouche les embrassades. Elle caresse, se blottit, c’est donc une GFE mais tout à la fois très active et énergique, qui s’agrippe aux draps. Levrette de délire devant ce micro cul. Elle m’a laissé lui titiller l’anus de mon pouce. Sa petite chatte mouillait bien sous les coups de ma bite. Ils se sont fait de plus en plus vigoureux, elle s’est faite de plus en plus expressive, j’ai fini en COBoobs. Conclusion Ukrainienne et même pas 20 ans, et bien « Aux âmes bien nées la valeur n’attend point le nombre des années ». Michele offre tout ce qu’on est en droit d’attendre d’une escorte : une prestation bien exécutée, sans restriction, impliquée et servie par un corps sculptural de sylphide. Le véritable plus de Michele c’est son sex-appeal. Elle n’est pas de ces « Marie-couche-toi-là » un peu cruche qu’on nous a si souvent servie. Elle se fait séductrice et subtile, excite de ses regards ravageurs, et enivre de sa voix suave. Amante passionnée sans le côté « mante religieuse » et too much de certaines, elle s’évapore ensuite se faisant plus mystérieuse. Qu’importe son lignage, c’est une jeune fille bien éduquée, avec de la conversation, qu’elle alterne avec des embrassades jusqu’à la porte. Bref, une superbe courtisane vraiment dévouée et complète.

Booking Teens + big boobs : un mix aussi rare que précieux à me yeux. Apparemment je ne suis pas le seul, puisque de mémoire je n’ai jamais eu autant de difficultés pour obtenir un rendez-vous qu’avec Kira. Mais à force d’écoper de la réponse « fully booked » et las de l’imaginer se faire mettre par tout Paris, j’en avais fini par perdre mon enthousiasme. Et puis, malgré cette intuition, un sursaut de motivation alors qu’elle termine son tour. Social-time Reçoit proche Georges V, parties communes en travaux. La porte est ouverte et donne directement sur la cuisine où Veva se grille une clope. J’entre dans l’indifférence généralisée. Salutations très sommaires, je suis dirigé vers une chambre sans style, lumière crue, où le lit occupe tout l’espace. Je me dessape, alors Kira poursuit sa conversation avec Veva. Elle est blanche de peau, moi j’ai l’impression d’être transparent. Physique Elle m’a reçu dans un peignoir léopard mal ajusté qui fait très « pute ». Je l’ai trouvé d’une étrange banalité, j’en étais surpris. Pas de fond de teint, peu maquillée. Je ne retrouve pas la fille des photos au charme auréolé d’un halo lumineux et qui me rappelle Emily Ratajkowski, mais celle de la vidéo à la grande simplicité et qui m’évoque une backpackeuse québécoise. Elle a pourtant un ravissant visage, des yeux pétillants, un sourire chaleureux et candide. Mais pour le corps je n’ai pas été sensible à sa beauté. Sans doute d’un trop grand format, c’est un sacré morceau en réalité. Il m’a manqué de la finesse, et je l’ai trouvé drôlement foutue, épaisse, et pas forcément harmonieuse du ventre aux genoux. Une balafre sur la cuisse, mais pas gênant, moins que son teint blafard. Les seins sont gros mais déception. De larges aréoles, une tenue médiocre, quelques vergetures sur les côtés. Bandant au touché mais pas à l’œil. Sexe Elle m’offre son petit minois tendre, regarde sans discontinuer. Elle joue sans complexe dans ce registre de la teen adorable avec des yeux de petit chat. Elle embrasse beaucoup, trop violemment et mécaniquement à mon goût au début. Elle saura s’accorder. Pipe vigoureuse mais monotone. Je décroche, je suis ailleurs. Elle s’arrête rapidement et semble dire « à ton tour », mais sans façon, je lui demande de prendre une capote. Pénétration difficile car taux d’humidité proche de zéro. Je décide de me ressaisir et de mettre un peu du miens. Mais je ne décèle aucune vibration dans ce grand corps malade (elle renifle), il n’en fallait pas plus pour que mon entrain retombe aussi sec. J’ai l’impression d’être l’acteur éphémère d’une pièce de théâtre jouée mille fois en dix jours, une triste mascarade. Elle-même usée de feindre s’arrête pour me donner la réplique. On converse. J’aimerais quand même honorer ce pourquoi je suis venu, prise de bonnes résolutions. Je la pénètre sans âme. La sauce ne prend pas mieux chez Kira. C’est étonnant, si beaucoup de filles préfèrent se faire ramoner salement qu’avoir à embrasser, c’est l’inverse pour elle. Elle n’est pas avare de bisous et de câlins, mais lorsqu’il s’agit de sauter sur mon zizi, son volontarisme disparaît. Je repense à celle avec qui j’étais la veille, la comparaison ne tient pas. Je n’ose plus la regarder car elle me fait ses yeux doux, ce qui m’embarrasse plus qu’autre chose, car sans effet et ça la rend cucul. « It’s time ». Je n’ai pas joui, mais quelque part je me réjouis. En fait non, je vois qu’il reste 5 minutes, je le lui dis. Elle constate. Nouvelle relance. Sa lentille de contact se barre, on s’arrête. Je me finis donc à la main. Et puis à quoi bon jouir au terme d’un meeting sans saveur. Je me rhabille. Je suis déçu, mais pas plus que ça. Quelque chose me rassure au fond sans que je ne sache quoi. Conclusion Elle avait tout pour me plaire sur le papier, mais ça n’a pas été le cas. J’étais déjà sorti de meetings sur un nuage ou enragé, jamais désabusé. J’ai vu dans les yeux l’absurdité nue d’une relation tarifée. Tout ce qui est vide de sens est malheureux, j’aimerais donc m’émouvoir mais ce n’est même pas le cas. Un resto bien arrosé après, je me suis demandé ce que j’étais allé foutre. Quel est donc ce spleen qui me rempli alors mon appétence se fait vague ? Peut-être est-il temps que je fasse une pause avec les putes.

* Booking Rendez-vous dans un hôtel proche Gare du Nord, et non pas en Scandinavie. Pas si « libre » que ça puisqu’on me demande un numéro de chambre et un nom. L’agence avait anticipé en me fournissant ces infos (4 minutes avant), je les donne au réceptionniste qui est tout content, et me laisse prendre l’ascenseur. Dresscode casual wear: OK/ * Physique L’écho des punters rapporte un laisser-aller concernant l’authenticité des photos chez RG4M. Je me tenais donc en retrait de la porte, prêt à faire demi-tour. Il n’en fût rien, car si j’ai trouvé Ariadna méconnaissable par rapport aux clichés, son joli visage doux et bienveillant m’a instantanément rassuré. Plus charpentée et enveloppée, et pas aussi athlétique que sur les photos. Ses kilos sont néanmoins bien placés. Un petit ventre mais pas d’infâme bout de gras qui traine, sa silhouette est harmonieuse et proportionnée. Autre bonne surprise sa généreuse poitrine, un bon C/D, et qui présente une tenue tout à fait estimable pour un tel volume. A la fois souple et ferme, j’ai pris beaucoup de plaisir à jouer avec. Par contre elle m’a semblé insensible. Son clitoris est bien enfoui. Ses cheveux noirs et raides ainsi que les traits de son visage lui donnent des airs arabisants. Etonnant pour une ukrainienne, qui plus est qui vit à Dubaï… Ma foi, ça ne m’a pas déplu, j’y ai vu un charme supplémentaire. * Social time On ne lui a visiblement pas fait lire sa fiche : aucune des infos qu’elle donne ne correspond à ce qui est écrit (âge, nationalité, pseudo, etc.). Son anglais permet d’échanger avec fluidité. Elle se montre avenante et curieuse. Ce qui a d’ailleurs trahit le fait que visiblement je ne correspondais pas à sa définition du gars qui va aux putes, puisqu’avec ses questions elle essayait de me faire rentrer à tout prix dans une case. Les activités d’Ariadna sont modestes dans son pays de résidence. Mais elle aspire à faire partie de cette jeunesse cosmopolite et festive, qui ne se refuse aucune sortie, voyage, I-gadget, etc., et qu’il faut financer de manière ou d’une autre… Un peu d’argent facile pour croquer des diamants. * Sexe Avant la douche, je m’avance vers elle et je l’a sens évacuer la pression. Elle se penche légèrement vers moi et m’embrasse. Sourire intérieur, je saisis que la partie va être bonne. Elle a pas mal ergoté avant de me prendre en bouche « you are wet ». « I don’t like this liquid ». « It’s specific » (??). Ce n’est pas la première qui est perturbée par mon abondant liquide séminal, je ne lui en tiens pas rigueur. Mais sa prestation en souffre lourdement, je lui montre donc la capote. Dans cette configuration plus à son goût, elle libérera son talent de fellatrice. Merci à la glace de l’armoire qui me permet de faire des changements de caméras. Pénétration en cuillère, sans gel, où je l’ai trouvé très serrée. Elle se laisse faire, mais elle cherche tout de même à imprimer sa marque, c’est elle qui décide des changements de positions, assez rapides et fréquents au demeurant. DFK timides en introduction. Elle aime bien les petits bisous discrets, ils l’émoustillent, et ne sont pas sans faire monter son excitation. Mais surtout quelle satisfaction lorsque l’allure se fait plus vive et qu’elle envoie au diable sa retenue pour me présenter d’elle-même une bouche approbatrice. Elle est caressante. Des bras tentaculaires qui se saisissent d’à peu près tout ce qu’ils rencontrent. Bémol car pendant l’acte (je déteste ce mot), elle est très fuyante du regard. Seulement voilà, n’ayant pas tiré à blanc la veille et tout ceci étant fort plaisant, je me sens rapidement gagné par une fébrilité… Elle veut me chevaucher, un moment d’hésitation car je savais que ça me serait fatal. Cela dit je ne résiste plus au plaisir de voir ses gros seins se balader au-dessus de ma gueule. Elle se les attrape, les presse, c’est pour moi l’opulence et le désir incarné. C’était trop. Je lâche la purée. Ben ouai il reste 10 minutes. J’ai été gratifié « Shame on you » (genre… elle va me faire croire que c’est à regret et qu’elle aurait bien poursuivi !) * Conclusion Ariadna est une belle nymphe plantureuse à la beauté antique. Des courbes voluptueuses et charnelles. Sa prestation est en adéquation : lente, sensuelle, avec retenue et dans la maîtrise de soi. Malgré son jeune âge une maturité sexuelle émane de son corps. Elle est en tout cas très à l’aise avec les hommes. Elle ne bâcle pas le travail, fait en sorte de jouer le jeu. Elle semble avoir une certaine confiance en son talent, je pense qu’elle a raison. Elle est parfaitement recommandable. Je compte d’ailleurs la revoir pour une durée supérieure histoire de vérifier tout ce que je viens de dire, et impatient de connaître la remarque de fin à laquelle j’aurais droit cette fois !

* Booking Une première pour moi cette agence, King Satisfaction, normal puisque nouvellement venue. Temps de réponses cours, anglais correct, courtoisie de mise, et intérêt pour les retours-client, les 3 derniers points sont suffisamment rares pour être soulignés. J’avais même émis le souhait de recevoir les détails 5 minutes avant pour accéder à l’appartement, chose scrupuleusement respectée. Que les autres en prennent de la graine ! * Social-time Le premier contact fût sec et “pragmatique” : « Hello, my name is Leoni. » - « Hi, I’m Hippolyte. » « You stay 30 minutes? » – « Yes. » – « OK so give me the money. Here is the towel, go to the shower. » Je ne m’imaginais pas avoir une tête de poupon au point qu’on trouve bon de m’expliquer aussi doctement quoi faire en allant voir une escorte. Remarquez, il aurait été très drôle que le meeting s’eût poursuivi ainsi, à base de : « now get off your dick and fill my mouth with it.» Après le meeting, je l’ai trouvé plutôt gentille, elle cause sans retenue. * Physique C’est bien elle, sans que toutefois je ne m’écrie « waoouu » en la voyant. Beaucoup moins glamour que sur les clichés. Normal me direz-vous, il s’agit du traditionnel et incompressible décalage issu du combo “photos pro + retouches”. Sauf que Leoni pourrait aisément le réduire en soignant davantage sa présentation. Elle m’a reçu avec les cheveux coiffés à l’arrache en un chignon ébouriffé vissé sur la tête. Elle court sans arrêt à droite et à gauche, en se mouvant dans un emballement assez disgracieux. Bien dommage qu’elle ne se fasse pas plus coquète, car elle a du reste un fort joli minois et de beaux yeux clairs. Sa poitrine n’est pas naturelle et assez dure. Tétons longs et réactifs. Sa chute de rein n’est pas harmonieuse puisque une sorte de bourrelet se forme au niveau des hanches. Enfin elle a deux tatouages dans le dos qui occupent pas mal de place, et que, pour ma part, j’ai trouvé moches. * Sexe Elle commence par aller prendre une douche, mauvais début, elle ne pouvait pas le faire avant mon arrivée ! Fort heureusement elle ne s’attarde pas. Tout ce que fait Leoni est « speed », même lorsqu’il s’agit de passer à l’action. Elle se jette dans la bataille comme une lionne, me pourvoyant de gros DFK bien baveux. S’en suit une pipe très vigoureuse, tout à mon goût, et bien sûr avec son style « dans l’urgence ». Je bascule de côté pour lui rendre la pareille, mais elle s’arrête là. Dommage ça me plaisait, je continue donc seul, et non sans mal car elle gesticule pas mal pendant le cunni. N’étant pas vraiment tombé sous le charme de Leoni, j’ai cherché à orienter le meeting façon PSE et c’était parfait car Leoni s’est montée bonne candidate. Allure sportive, facile à manier et avec pas mal de répondant en face : elle a tout bon. J’avais de bonnes sensations, véritable coq en jambe, je me suis bien fait plaisir, changements de cadences, en profondeur, en surface, je l’ai bien « raclé »… Malgré cette débauche d’effets, de prouesses, et de contorsions, impossible de la faire mouiller. Plusieurs fois elle s’est saisit du gel pour y pallier. Elle en a d’ailleurs profité pour me parler de l’heure qui tourne. Pile-poile à la moitié du meeting, j’ai trouvé sa remarque totalement prématurée. Je l’ai renvoyé dans ses 22, lui demandant de me laisser gérer mon temps. Cowgirl, excellente maitrise, rythme syncopé comme j’aime, elle bouge bien, s’achoppe puis relance de nouveau. Vu qu’elle m’avait quand même gonflé avec sa remarque et que j’aimais beaucoup ce qu’elle faisait, je décide d’apporter le clou au spectacle. Finish sur le visage… « no! ». J’avais pourtant une double confirmation !! Elle négocie le CIM, pas difficile, je m’exécute. Elle écrasera bien ma bite de toute sa poigne pour qu’il en sorte le moins possible… grrrr… * Conclusion Bon meeting, qui ne rejoindra pas le concert d’éloges qu’on peut lire. Outre le non-respect d’un service confirmé et pourtant condition sine qua non à mon booking, je me suis paradoxalement heurté à une certaine forme professionnalisme (rappel des principes, chrono) qui revient épisodiquement mais sèchement. Leoni est une belle plante, personne ne dira le contraire mais ses formes ne sont pas celle d’une beauté sculpturale. Des petits défauts et une simplicité qui j’en suis sûr en raviront d’autres. Tout comme son côté « down the earth » et « easy going » (yeah!) qui plairont à beaucoup, mais qui m’ont fait regretter un peu plus de soin.

Booking : Après un malentendu la veille avec RG4M, nous avons finalement réussi à trouver un terrain d’entente. 2 digicodes, une cour, et 4 étages sans ascenseur à grimper, tout de même. Physique : J’ai déjà raillé et dénoncé l’abus de photoshop chez russian-girl-for-me. Et j’avais bien vu que le visage de Rita avait abondamment été passé sur les bistouris digitaux. Qui rira bien rira le dernier. Je n’imaginais pas que l’airbrush dissimule autant d’imperfections cutanées. Elle n’a pas une belle peau, des rougeurs. Je n’ai pas envie de m’étaler sur le sujet, s’en est gênant pour elle comme pour moi. Je me contenterai de dire que ça m’a perturbé durant tout le meeting. Les seins, c’était la raison de ma visite (certains ne seront pas surpris ;)). Là je me contenterai de dire qu’ils entrent dans mon top-5 des plus esthétiques ! Impeccables ! L’esthète mammaire que je suis s’en est trouvé ravi ! J’en chanterais des louanges et écrirais des alexandrins. A défaut de la regarder dans les globes oculaires j’ai donc choisi de la fixer dans les globes mammaires. Le reste du corps est tout aussi impressionnant, Rita a un corps sculptural de Venus. Social-time: Elle dit qu’elle ne parle pas du tout anglais, pourtant elle se débrouille mieux que tant d’autres jeunes filles russes. Fait des compliments, étonnamment les mêmes que Mary la sorcière, sans pour autant qu’ils sonnent bidons comme les siens. Elle est avenante, me saute dans les bras après une blague… J’en étais embarrassé. Elle s’essaye elle-même à quelques plaisanteries. Bref, son attitude est adorable. Sexe : Elle réagit bien aux caresses, elle embrasse avec la langue mais timidement. Sans être vraiment GFE, je comprends ainsi que la partie va se faire avec beaucoup de sensualité. Pipe très douce, dans style chaud mais posé. Lors de la pénétration elle se montre assez expressive, peu importe si elle simule, ça permet de bien faire monter la sauce. Pas très active en cowgirl. C’est pourtant dans cette position que je me résous à lâcher la purée, tête dans ses seins, délire parfait. Conclusion : Noble quête que celle qui mènera à la poitrine parfaite, mais ambitieux dessein. Relique charnelle aux pouvoirs légendaires contés par les anciens, Sans relâche et en provenance de contrées lointaines, j’examinerai le précieux butin. Au-devant des simulacres et artifices, cœur vaillant et esprit fin je devrai faire miens. Hélas, trop peu de Dames Guenièvre je rencontre en chemin, Serait-ce l’impureté de mon âme qui me restreint ? Reste que j’ai quand même écrit un verset pour une paire de beaux seins.

* Booking Compte tenu des pluies diluviennes qui s’abattaient sur Paris, je me présente devant l’immeuble comme un rat mouillé. Heureusement Amour Russe ne se fait pas désirer et m’a envoyé le SMS d’accès 3 minutes avant. Chambre correcte. * Social-time C’est la première fois qu’elle fait ce job, et alors qu’elle bouclait sa 2ème semaine elle avait l’air de bien le vivre. Boyfriend ? « no » ; girlfriend ? Hésitations… serait-elle bi ? Elle est étudiante en « History of culture » ou un truc du genre. Deliah s’exprime sans l’accent russe à couper au couteau de ses collègues. L’ennui c’est qu’on a ainsi tendance à lui prêter un niveau supérieur qui n’est pas le sien, car sa compréhension est laborieuse, ce qui l’indispose au demeurant. Mieux vaut ne pas insister… * Physique La porte s’entrouvrant, une impressionnante touffe frisée se dévoile. Stupéfaction. Moi qui ne jure que par les cheveux raides, cela s’assortit d’une déception. En tout cas cela explique pourquoi elle avait le cheveu sec et hirsute sur les photos. Je m’amuse régulièrement en privé de ce que la dénomination « blonde vénitienne » serve d’échappatoire à celle « rouquine ». Mais si tant est qu’on l’accepte, Deliah en fait partie, et sa peau a la pigmentation qui va avec. Plus blanche que blanche, et sa chevelure tombant à hauteur de la nuque, elle découvre des épaules parcourues de tâches de rousseurs. Comme je m’y attendais après coup d’œil aux clichés, sa poitrine n’est pas d’une tenue ni d’une fermeté irréprochable. Mais cette couleur virginale de tétons rose/mauve pale me rend à chaque fois hystérique ! Sans être grosse ni même épaisse, Deliah a des formes et les hanches plutôt larges. * Sexe La partie débute avec des DFK parfaitement à mon goût. Très relâchés, elle peut faire preuve de subtilité. Une main sur le sein lui fait pousser un cri de jouissance…. Je me suis dit que j’avais à faire à une grande simulatrice ! Et bien fausse alerte, il n’en fût rien, quelques emballements, mais ça s’arrête là. Vu comme il pleuvait dehors et comme Deliah est rousse, j’ai eu un temps d’hésitation avant d’aller la broutter... mais non j’ai pas eu à me pincer le nez Sa position préférée est la levrette, bien qu’elle ne se place pas correctement. Mais très excitant, elle se retourne, tête écrasée contre le matelas, et humecte ses lèvres. Puisque je savais qu’elle pratiquait l’anal et à la vue de ce petit trou rose qui se dandine au dessus de ma queue, je lui ai gentiment introduit une phalange, en tout bien tout honneur, histoire de prendre la température. 37°C : c’est parfait, je n’insiste pas :D Cowgirl, elle ne bouge pas trop, j’ai du faire l’essentiel du travail, chose pardonnée grâce à sa petite chatte qui lubrifie ! C’est d’ailleurs suite à cette agréable constatation que me vint l’envie de lâcher la purée en lui roulant une grosse pelle. * Conclusion Dans la famille des Amour Russe à la docilité confondante, j’appelle Deliah, la rouquine. A des années-lumière de l’engeance d’une Angelina, Deliah c’est l’amabilité et la serviabilité incarnés. Attentive, très présente, souriante du début à la fin, elle se met en quatre pour faire plaisir. Je retiens avec tout son ravissant petit minois. La bouille d’une adolescente, la moue d’une douce rêveuse, un regard évanescent, un sourire tendre… Beaucoup beaucoup de charme chez cette jeune fille à l’allure candide. Et une irrésistible tension entre la perversité de ses postures et ses airs angéliques. Deliah était délicieusement GFE avec moi. Mais très ouverte et réactive, elle m’a laissé quelques indices qu’elle pouvait se faire plus sauvage pour peu qu’on veuille bien la guider, ce qui n’a pas été mon cas. Car malgré cet élogieux portrait, il y a ce je ne sais quoi qui me chiffonne un peu. Peut-être ma méforme (j’avais d’abord annulé), mais je ne suis pas sorti sur un petit nuage. Je m’en voudrais presque. Il faut aussi dire que Vika avait mis la barre très haute. En tout cas impliquée comme elle l’était, je n’ai objectivement rien à lui reprocher.

* Booking : C’était le « bon » opérateur du numéro aux manettes, aucun soucis donc. J’ai même dû décaler mon booking à deux reprises, de 30 puis 10 minutes, chose que je redoutais connaissant le peu de souplesse qui caractérise la maison, mais aucun problème. J’avais également demandé à ce que la lumière soit suffisante, au final c’est moi qui l’ai trouvé trop crue, j’ai préféré allumer les deux lampes de part et d’autre du lit pour un éclairage plus tamisé et intimiste. * Social-time : Anglais inexistant, communication verbale impossible. Pourtant elle aimerait clairement échanger, elle part post-meeting s’en aller chercher avec hâte son iPad pour traduire ses pensées. Cela dit la gaieté de Vika se suffit à elle-même. Une bonne humeur étourdissante, un sourire coquin et un regard malicieux qu’elle arbore en permanence. Elle pratique à cet égard un teasing dans le registre ludique : démarche chaloupée, remue du popotin en ramassant quelque chose, regards lubriques, etc. J’ai participé volontiers à ce petit jeu en y répondant par la gestuelle du loup de Tex Avery ! Qu’il s’agisse du physique ou du tempérament, Vika fait davantage « gamine » que « femme fatale ». Elle observe l’altérité de l’anatomie masculine avec une grande curiosité : elle semble fascinée par la dureté de mon sexe auquel elle fait passer une surprenante batterie de tests improvisée (tapes, contorsions, etc.). Puis elle s’en empare poussant toute une série de cris guerriers, comme excitée par la force virile que symbolise le phallus dans la culture collective. * Physique : Le potentiel de Vika ne ressort pas sur les photos. La lumière est mauvaise, leur donnant un aspect grisé et saumâtre. Les tons chair sont faussés. Autre chose, on ressent une certaine gêne devant l’objectif alors qu’en réalité elle est très à l’aise avec son corps. Je trouve plus utile donc de se référer à la vidéo, qui donne un meilleur aperçu de Vika. La surprise fut donc positive. Vika a un magnifique visage. Les yeux clairs en amande et la forme de ses pommettes pourraient laisser qu’elle a quelques ancêtres du côté des plateaux de Sibérie orientale. Le fond de teint des photos dissimule ses tâches de rousseurs et c’est bien dommage car elle n’est que plus craquante en réalité. Pour le reste de son corps, sa peau est très blanche et laiteuse, ses tétons et sa chatte sont rose pale. Son corps est au format XS ! D’aspect très juvénile, elle a des courbes : son petit bonnet « B » est aussi joli que ferme ; son fessier aussi petit que rebondi. Proportions admirables et tout en délicatesse. Voyant Vika nue, le même frisson m’a parcouru qu’en me dressant au sommet de versants Alpins fraichement vêtus d’un beau manteau neigeux uniforme, et surtout impatient d’y laisser la trace ! :cool: * Sexe : Dès la première minute, j’ai su que la glisse se ferait comme sur des roulettes. Vika vient au contact de manière très sensuelle. Beaucoup de caresses mutuelles, des bisous dans le cou qui l’électrisent. Aucun de problème pour la pratique du DFK, très doux, parfaitement à mon goût. Elle aime qu’on la plotte à pleines mains. Évidemment je ne fais pas prier en ce qui concerne ses seins ! Ses tétons réagissent bien à la langue. Sa chatte étant particulièrement mouillée dès la première approche, j’ai pensé qu’elle s’était badigeonnée de gel, mais non. J’en ai profité pour un massage vaginal qui ne la laissera pas totalement indifférente non plus. Sa fellation nature manque un peu de technique. Elle joue bien avec le sexe, sa bouche, sa langue, et son regard, mais le trombone à coulisse n’est pas l’instrument le plus présent de sa partition. Pour la pénétration, sans faire une multitude de positions j’ai vraiment savouré chaque instant. Il y a un véritable échange qui se créé avec Vika. Elle suit son partenaire, s’adaptant avec beaucoup de complicité, puis elle reprend le lead. J’ai constaté qu’elle laissait trainer ses doigts vers mon anus… On ralentit, quelques DFK, ça l’excite et elle repart de plus belle. Elle ouvre les jambes au maximum et positionne son bassin de manière à me recevoir avec le plus d’efficacité. Elle laisse échapper quelques « da! » discrets. A ce moment nous n’étions plus du tout dans le registre « GFE ». Moi j’ai vraiment savouré jusqu’à la dernière minute, faisant mon possible pour retarder le moment où j’ai terminerai en COB, pour une peau encore plus laiteuse ! :lol: A la douche, en m’habillant, devant la porte d’entrée, elle a dû revenir 6/7 fois pour venir m’embrasser. Elle me faisait des signes du pouce, répétait « super »... je mentirai si je disais que ça ne fait pas plaisir. Attention : alarme assourdissante qui retentit 5 minutes avant, sans arrêt, impossible de faire abstraction. Je le signale car personnellement c’est le truc parfait pour que je ne parvienne à terminer. Là, tellement excité, ce n’a pas été un problème. * Conclusion : La rentrée fût venue, avec elle Vika, que d’aucuns diront qu’elle manque de féminité et maturité, et s’en trouveront fort dépourvus. Un avis qui se respecte mais qui n’est pas le miens. Pour moi Vika est l’ambassadrice parfaite de ce que je cherche chez les Amour Russe : une fille jeune, mince, belle, joyeuse et qui s’implique. Vika fait mieux que cela puisqu’elle offre sa tendresse, une complicité qu’elle a cœur d’installer au plus tôt dans la relation avec du teasing, et surtout un investissement sans faille et de tout instant. Peu de choses l’indiffère, elle est présente derrière chaque coup de rein, se laisse emporter par toutes les caresses, s’abandonne au moindre des baisers. Jamais elle ne circonscrit son partenaire à une quelconque distance, elle s’offre à lui entièrement et cherche à profiter en retour. Ce n’est pas celle qui m’a fait le plus craquer physiquement mais son attitude a été de bout en bout irréprochable. Vika, l’impression d’un superbe moment de plaisir partagé.

Vu juste avant mes vacances, je tente de réunir tous mes souvenirs pour une revue : * Booking/rencontre: Réservation facile. C’est sa copine qui est venu me chercher mal fagotée et avec une tête d’enterrement. Diana reçoit dans une mansarde poussiéreuse et un peu sombre, en haut d’un labyrinthe plein de portes dérobées. * Social-time : Nul. Elle n’a fait strictement aucun effort pour échanger ou ne serait-ce que se montrer agréable. Aucune question et des réponses minimalistes au possible. Elle me dit bosser à Sofia dans un hôtel. Je savais bien qu’elle était roumaine. Je lui ai donc lancé 2/3 trucs en roumain, elle m’a regardé avec un œil bovin et sans réaction. Bref, j’abandonne tout effort. * Physique : Diana annonce 27, mais elle m’a paru plus, en tout cas davantage que sur les photos c’est sûr. D’ailleurs, elle, elle me donnait 10 ans de moins ! Jamais je n’avais eu droit à un tel coup de jeune ! Les seins sont moins beaux qu’en photos. Sans pour autant pendre, ils tiennent moins bien. C’était le seul et unique critère qui avait emporté la décision finale de mon choix, ce fût donc une déception. Diana est une femme avec des formes et des courbes, cela dit pas de gras. Un beau corps voluptueux. * Sexe : DFK a pleine bouche, langue bien au fond. D’entrée de jeu elle se place dans un registre PSE, bougeant beaucoup, masturbant mes tétons avec avidité (je suis pas fan), etc. Sa pipe également est vigoureuse, et bien maîtrisée. Pendant le sexe j’ai constaté que le feeling n’était vraiment de mise, d’ailleurs elle utilisait sa main au niveau du vagin pour appuyer. Ce qui ne l’empêchait pas de se montrer très active pendant le sexe. Au temps pour moi, je me suis en mode pilonnage. Ses réactions m’ont laissé penser qu’il y avait du champ libre et qu’elle incitait à monter dans les tours. Au terme d’un sprint final effréné, je termine sur son visage. Je m’étais assuré qu’elle était OK, elle a quand même tenté de l’éviter un peu mais le compte était bon :) Mais que ne fût pas ma surprise lorsqu’elle m’a dit que j’y avais été comme un bourrin ! "Trop énergique". Je me demande bien pourquoi elle ne me l’avait pas dit avant... :oops: * Conclusion : Pas un mauvais plan, mais pas génial non plus. On peut tout lui faire, pas de restriction, mais elle n’est pas là pour jouir avec vous.

* Booking Réservation sans problème. En même temps sur la mer d’huile que constitue le weekend du 15 août, un nouveau naufrage aurait été honteux. J’avais envoyé ce SMS : - "Can you ask the girl to make sure the room is not too dark ? Thanks. (If it’s Katrin’s room, she had to put additional candles)". Non honoré : je ne pouvais même pas voir mes pieds (et je mesure pas 3 mètres). Une seule lampe et planquée derrière un rideau. Je n’ai pas l’impression d’être le client le plus chiant et extravagant, c’est la seule chose qu’il m’arrive de demander ! Si je peux pas voir la fille, c’est bon je reste chez moi avec un fleshlight ! Post-meeting : - Moi : "[…] Room was dark and girl reluctant to put more light" - AMR : "I’m very sorry, she said there wasn’t additional light there" - Moi : "Yes lol, she was hiding the only light behind the curtains. […]" Pour moi ça reflète tout de la personnalité d’Angelina : une petite maline qui prend de grandes libertés avec la vérité ! * Physique Une petite déception d’abord, puisqu’elle a les cheveux très bouclés et secs. Ça lui donne un côté « latin » beaucoup plus marqué et que je ne pensais pas trouver. D’autant plus qu’elle avait un maquillage foncé et les avant-bras velus. Épilation au rasoir et maillot large et dru, pas top pour un début de tour. Pas que des mauvaises surprises, loin de là, elle a un regard vif et tranchant, sûre d’elle et de son pouvoir de séduction. Une jolie poitrine, ferme. Un tatouage sur la tranche très esthétique, une nuée d’oiseaux qui se transforme en citation, c’est donc sous la forme d’un ornement, plus esthétique à mon goût que les figuratifs. Si je sais bien que certaines Russes sont typées ainsi, elle évoquera d’abord à tout le monde une Brésilienne. D’ailleurs sa prestation va dans ce sens. * Social-time (part 1) 2 jours qu’elle est là et manifestement très à l’aise. Trop, ai-je envie de m’interroger ? 2 jours justement et elle ajoute que c’est son premier tour. Ouai c’est ça prend moi pour une cloche ! Hop, elle attrape une branche et pirouette, « well, 1st in this place ». Je lui dis que si elle est revenue c’est que le boulot ne doit pas être si horrible, elle grimace... pas encourageant pour la suite. Je vais sous la douche. Serviette mouillée, elle va vite m’en chercher une autre. La tuyauterie (inversée) est archaïque et insaisissable. J’attends l’eau chaude, mais pas frileux je passe outre. Je l’entends qui rigole et fini par venir d’elle-même me montrer l’astuce pour la faire fonctionner. Elle s’amuse mais elle semble à la fois surprise que je ne me sois pas manifesté. En clair je suis persuadé qu’elle avait sciemment oublié de me prévenir, soit pour faire une blague, soit pour gagner du temps, je n’en sais rien. Je choisi de faire le dupe, le prenant à la rigolade et la charriant. D’ailleurs on a bien plaisanté dans l’ensemble. A d’autres moments beaucoup plus sèche et désintéressée (j’y reviendrai)... assez ambivalente. * Sexe Quand je pense au débat Amour Russe, de pauvres et innocentes jeunes filles arrachées à leur douce Russie et débarquées dans cet univers impitoyable… ne vous faites pas de soucis pour Angelina, elle va très bien. Ça serait même plutôt aux punters de se méfier de cette roublarde. Une jeunette capable d’autant de roueries qu’une pute rombière. Au début j’ai cru qu’Angelina ne savait pas embrasser. Mais j’ai fini par comprendre qu’elle était très habile et rusée. Essayer de faire un DFK à Angelina c’est comme poursuivre l’horizon. C’est là, devant, sous nos yeux, on a l’impression de se rapprocher pourtant ça dérobe sans qu’on sache pourquoi et malgré tous nos efforts. Il y a eu toutefois beaucoup de caresses excitantes et j’ai constaté avec surprise qu’elle mouillait bien. Elle se munie d’une capote avant même de sucer. Je pensais donc que c’était pour le faire couvert et non, ce fût nature. Mais j’y ai eu droit 92 secondes (avant qu’elle ne s’empale). J’en déduis donc qu’elle avait prévue de faire ça en mode express. Pénétration sans gel, et je dirais que c’est son point fort car elle est assez active et expressive (ce qui ne surprendra personne vu ce que j’ai décrit précédemment). Elle bouge bien, avec efficacité, et de marnière « torride ». Je la retourne pour de la levrette et là qu’entends-je… un prout ! MORT DE RIRE ! Elle prétend que c’est un gargouillis, ouai c’est ça prend-moi pour une buse ! Est-ce le fait de ne plus me voir (faire l’autruche) ou sa fuite de gaz, je n’en sais trop rien mais dans cette position elle est devenue inerte (et moi je guette un éventuel pet pleine face ). Un coup du lard, un coup du cochon, je me dis qu’un peu de pilonnage ne fera pas de mal. Dans un premier temps elle évite clairement mettant sa main. Et puis au final elle se laisse faire. Changement de position, elle me regarde comme pour me dire « c’était top !». J’imagine que c’est sans doute la féerie du moment qui lui fait ajouter « 5 minutes !» (et faux, restait 10 minutes). Elle a râlé vite fait pour le COB pourtant c’est sur sa fiche, là encore, peut-être aurait-elle préférée autre chose car elle était en mode « in love », mouarf !! * Social time (part 2) Elle m’attend au sortir de la douche pour m’embrasser. J’avoue franchement que sur ce coup elle m’en a bouché un coin, c’était du meilleur effet. J’avais l’impression d’avoir un bonus, un remerciement… mais avec ses FK mirages ça rime à quoi ? « I want to see you [again] ». Je lui ai répondu que je partais en vacances (pas tout à fait exact, mais ça permet de ne pas rentrer dans un jeu que j’aime pas), à cet instant je n’existais plus. Deux secondes auparavant elle me demandait mon avis sur le Queen, et désormais plus rien à foutre du bar branché à 2 pas de chez elle que je lui recommandais. Je ne servais plus à rien. Preuve supplémentaire qu’Angelina maîtrise déjà ce métier à tous les niveaux. * Conclusion Si je m’étais interrogé avec bon espoir concernant Katrin, le doute n’est pas permis avec Angelina : la part de sincérité est inexistante et ce malgré tous les effets qu’elle déploie. Angelina c’est un concentré de fougue et de cabotinage. Dans la vie de tous les jours je ne lui ferais pas confiance 30 secondes. C’est la chipie du collège experte en yeux doux et têtes de Calimero lorsqu’elle a quelque chose à réclamer, sûre d’elle et de la faiblesse masculine, et se moque éperdument de vous. J’ai conscience de ne pas avoir été tendre avec elle dans cette revue, ayant mis en avant essentiellement le négatif, alors que dans le fond ce n’était pas du tout un mauvais meeting. Elle a des qualités certaines, nombreux seront ceux qui s’en satisferont, je pourrais même la recommander car elle ne fait pas d’anti-jeu et c’est loin d’être une étoile de mer. Mais je l’ai trouvé trop joueuse, et s’il y a eu feeling, il était trop artificiel. Au final on ne pourra pas reprocher à Angelina de faire illusion qu’elle apprécie la relation. Moi on ne pourra pas me reprocher d’y regretter davantage de sincérité.

* Booking : Rapide et efficace. Une fois n’est pas coutume, Amour-Russe sort de sa rigidité pour envoyer le SMS 2 minutes avant, hourra ! Il faut bien ça d’ailleurs parce que l’accès à l’appartement n’est pas immédiat. * Social-time : Arrivée la veille au soir à Paris, c’était le jour de sa grande première. Elle me dit que oui, elle était un peu inquiète. Normal. Mais elle trouve bon d’ajouter que pour moi ça se voit que ce n’est pas une première ! Sympa ça d’avoir une tête de gars qui va aux putes ! Je lui parle de sa ressemblance avec Vanessa Demouy (le visage), photos à l’appui, mais elle n’est pas convaincue. Le contraire m’aurait étonné, et moi je n’en démords pas. * Physiquement : Aucune surprise, c’est elle trait pour trait, comme si les photos avaient été prises 10 minutes avant ma venue. Elle avait ce même bustier blanc d’ailleurs. A la vie comme en photo, Katrin ne surjoue pas sa pose. Pas de "femme fatal attitude", elle se permet des rires même, ce qui ne l’empêche en rien d’avoir un charme fou. Je commence à avoir l’impression de tourner en rond dans mes descriptions… mais oui, elle est très très belle. Pas les plus beaux seins (évidemment pas un bonnet "C", lol AMR) et fesses du monde, mais elle est superbe. Et puis un mot quand même pour les cheveux, sans coloration, incroyables, je pourrais me branler rien qu’à regarder la photo où elle est de dos ! Un tatouage en haut du dos en français (!), mais j’ai oublié, et il semble me souvenir que la syntaxe n’est pas correcte. En tout cas pour moi c’est toujours le même émerveillement retrouvé, le même plaisir immense et virginal de me retrouver face à une telle beauté. * Sexuellement : On s’est d’abord autorisé, sur le rythme de la musique, quelques pas de danses langoureux et sensuels, avant qu’elle ne juge venu le moment de m’offrir d’elle-même sa bouche. Irrésistible. Des lèvres généreuses et une langue qui viennent au contact. Elle est beaucoup détendue qu’à mon arrivée, elle me regarde, sourit, prend son temps. Je l’emmène sur le lit, elle me suit avec un sourire complice. Caresses, baisers, body-body… elle semble agréablement surprise de voir que ça se passe ainsi, sans que je lui saute dessus. Une main rapide et furtive en bas me confirme qu’elle apprécie. Je l’invite à se diriger vers mon sexe pour fellation nature. C’est simple, mais très régulier et appliqué. Elle poursuit en me couvrant, sans doute perturbée par la quantité de liquide séminale que je sens se déverser, pour une pipe très mouillée. Mais je n’ai pas à rougir, car une fois en 69 j’ai constaté qu’elle mouillait abondamment. Nullement besoin de gel, j’ai l’impression de patauger. Dès les premiers va et vient, elle réagit et de manière plutôt expressive. Elle frétille aux ondulations de bassins. S’en suit une levrette magique, avec toutes les variations possibles, tête contre matelas, tête contre moi, etc. Elle fouette sa chevelure à gauche, à droite, ce qui a pour effet de me rendre proprement hystérique. Le rebond de son fessier sur mon sexe est divin, je sens partir ma jouissance de très loin. Une très longue progression crescendo qui débouche sur un intense orgasme dans lequel tout COB/CIF/CIM aurait été mal-venu. * Conclusion : Je ne saurais dire si Katrin à apprécié le meeting, mais j’aime quand même à penser que oui, au moins un peu. Sourire constant, dévore du regard, câline, affectueuse, ronronne, rugit. Il y a une élégance féline chez elle. Une allure naturelle enrobée par une méfiance toute fauve. En un mot de la classe. Je me délecte de ses ambiguïtés et subtilités, je fonds rien qu’à la voir. Alors plaisir ou pas, elle m’a réservé le même traitement que si j’étais son boyfriend. Aucune interdiction et une douceur constante, qui peut se faire plus sauvage. En somme j’y ai vraiment cru, le genre de meeting qui transporte, Katrin fût l’espace d’un instant the perfect girlfriend.

* Booking : Simple et rapide. Quelques minutes de retards, mais lorsque j’ai répondu « OK but meeting ends 30 minutes after access SMS », on m’a répondu « Of course ». * Rencontre : L’appartement se trouve en périphérie de Paris XVI, pas très bien desservi par les transports en commun, mais j’ai pu me garer sans problème aux alentours. La chambre est très simple : un lit, une commode, une table de nuit, des décorations à l’image de Paris, on dirait vraiment celle d’une adolescente. * Social-time : Loli ne parle pas vraiment anglais, mais elle essaye. On voit bien qu’elle est de nature réservée, mais qu’à force de visites et de défilés elle s’est ouverte. Son nom me faisant fortement penser à la chanson, j’étais allé lui acheter une grosse boite de bonbons. Ben mon vieux… c’est à croire qu’on ne lui avait pas tendu autre chose qu’une bite depuis des mois. Elle s’est jetée dessus pour les dévorer ! J’espère quand même qu’elles se nourrissent d’autre chose que de semence masculine ces petites ! En tout cas c’était du meilleur effet. * Physique : Elle m’a dit 21 ans, mais je dois dire que les 18 annoncés sur sa fiche (de l’autre site) seraient parfaitement crédibles tant elle fait jouvencelle. Bien plus que sur les photos. Un point important puisque pendant toute la durée du meeting j’ai oscillé entre excitation et malaise par rapport à ça. Vous en déduisez par là même son physique : mince, doux et ferme. Ça respire la fraîcheur chez Loli. Un physique de post-adolescente certes, mais avec des formes... un super corps. Sa poitrine est de taille normale (« B ») et très belle. Tétons ombiliqués ultra érectiles et à la réactivité extrême. Un arrière train somptueux et impeccable : c’est du tout neuf, ça sort de l’emballage ! * Sexe : Quelques embrassades, kiss, french kiss mais du bout de langue, pas de DFK. Pas grave, de toute façon c’est ceux-là que je trouve le plus excitant, et puis Loli les fait très bien. Moi j’avais pris quelques bonnes résolutions d’été : plus de pipe bareback et de cunni. Prise en bouche couverte donc. Loli se débrouille bien avec sa sucette à l’anis. Elle est douce, longue et savoureuse. Mais voyant sa belle croupe se dandiner en rythme, je ne résiste plus. Ahhh ces bonnes résolutions improvisées de pacotille… En bonne sex doll, je soulève le poids plume Loli et la relâche juste sous mon nez : me voilà nez à nez avec son entre-jambe. Quel spectacle magnifique ! Sa chatte est toute petite et discrète, ça donne faim ! La voilà qui ronronne en même temps qu’elle suce. Chacun de plus en plus fort de notre côté. Pénétration sans gel bien qu’elle ne mouille pas spécialement. Et là, deuxième point marquant du meeting, je découvre une chatte ultra serrée ! On leur met des cockring dans la chatte chez escort4u ? Je crois qu’il y a plus de pression dans la chatte à Loli que je n’en mets lorsque je m’adonne aux plaisirs solitaires. Mais c’est là que le bas blesse pour moi, car si les préliminaires étaient délicieux, la pénétration est resté bridée. C’était le début de soirée, alors journée à cadence stakhanoviste ou un âne m’avait précédé, je n’en sais rien, mais je voyais bien qu’elle avait mal, et elle était devenue bien plus passive. Je lui ai demandé plusieurs fois « karacho ? » elle répond par l’affirmative en souriant mais il m’est clairement apparu qu’elle était à la lutte. En amazone alors, histoire qu’elle y aille à son rythme, et en effet c’est beaucoup plus lent. Mais elle fait ça très bien, avec un bon mouvement de bassin. Levrette… la coquine donne des coups de tête discrets en direction de la glace pour se matter A croire qu’elle aime bien voir qu’on la saute puisqu’elle amplifie le mouvement ! C’est à ce moment que je suis envahi de flashs lubriques et de réminiscences charnelles : me voir à la lueur de cette lampe de chevet dans cette chambre d’étudiante, me démener dans ce petit cul frais, la douceur de son odeur... je ne tiens pas plus. Finish en CIF ? Elle est OK. J’enlève la capote pour quelques petits allers-retours bareback dans sa bouche... décidément les principes c’est pas pour moi. Aussi hypocrite que les pornos qui se la jouent « responsable » avec un hardeur qui va sodomiser la fille pendant 45 minutes avec capote… pour au final se vider dans son trou béant. Bref, les cumshots pleine poire ça a passe comme une lettre à la poste chez Loli. * Conclusion : Je n’avais lu aucune revue avant d’aller la voir, préférant me laisser la surprise. Au final j’ai découvert une fille plutôt GFE, mais qu’il faut savoir tout de même apprivoiser avec des compliments et des sourires, car sans eux je l’imagine sans problème rester plus distante. D’humeur joueuse, j’aurais souhaité me défouler davantage. Mais je garde au sens figuré les préliminaires en tête, très bons. Au sens propre j’ai longuement gardé après le meeting la chaleur et l’étroitesse de son sexe sur mon membre.