MUST4NG Reviews
MUST4NG
28 Jul '14
Kiss:
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Sex:
Enthusiastic
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CIM:
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Anal sex:
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Bareback
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No social time at all
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Paris
Half an hour - €150
Looks
Service
Je suis d’un naturel rationnel mais je vais finir par croire à la pseudoscience des prénoms. Comme l’Anastasia de la maison d’en face, celle-ci sert de la soupe à la grimace. Moi j’avais plutôt envie de fricassée de museau. Oui, parce qu’elle est superbe. Son carré plongeant asymétrique lui va à ravir, et son porte-jarretelles lui donne des allures de femme fatale. J’adore ce look, irrésistible. Mais no french kiss, et elle est doublée d’une tête à claques qui n’en fait qu’à sa tête. Une question simple pour briser la glace, elle me regarde avec une condescendance inouïe "qu’est-ce que ça peut te foutre ?". Elle se dédouane illico de tout effort de communication en annonçant fièrement qu’elle ne parle ni français ni anglais, le prétexte est tout trouvé pour foncer sur le PC au salon à la moindre occasion. Et moi je compte pour du beurre. Pas comme-ci, pas comme ça. Mémère râle à tour de bras. Le client est tout sauf un roi. Elle veut me sucer accroupie et pas autrement. Elle ne veut pas enlever ses chaussures - ni son bustier qu’elle garde retroussé à la taille - ni sa culotte qu’elle met sur le côté. Dommage moi qui voulait lui tâter le petit. Elle grommelle en Russe. Un caractère de cochon, mais au pieu elle hurle comme un veau, ça on ne peut pas le lui enlever. C’est assez hallucinant ! Au début c’était sans raison, alors je lui en ai donné une en me mettant au pilon (« oh good, better than rene! »). J’en ai bien profité de sa grosse chatte. Par contre dès qu’on veut changer, elle se remet à grogner. Et ho mémé, tu commences à me brouter ! Deux lits jumeaux pas pratique du tout, du coup on est forcé de s’amuser debout. Je l’ai prise en m’accrochant au radiateur. Ouf, c’est bon. Elle commençait à me courir sur le haricot, 30 minutes c’était presque trop !
MUST4NG
21 Jul '14
Kiss:
With tongue
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Une petite poupée haute comme trois pommes déambule jusqu’à moi. Dans sa belle robe immaculée, on la dirait toute droite sortie d’un manga. Une jouvencelle qui a endossé un costume de femme. Déconcertant quelque part, mais tellement charmant.
Petit ange au visage enjôleur et à la voix enfantine. Sa beauté eurasienne est celle des contrastes, chevelure châtain, yeux en amandes d’émeraude. Le mélange inédit d’Elyse c’est mon voyage de Bougainville, exotique et lointain.
Elle n’a sans doute pas des milliers d’heures de vol au compteur (et c’est tant mieux), pourtant elle sait déjà bien y faire avec les hommes! Elle accroche vos vêtements sur un cintre, se jette à vous d’elle qu’elle peut. Elle pousse des petits gémissements mignons tout plein, elle se blottit contre vous, s’agrippe comme un petit animal tendre, une petite boule d’affection ! Elle aime bien qu’on prenne soin de sa poitrine et de ses longs tétons, alors forcément, elle et moi on s’est bien entendu ! En Andromaque, des coups légers, puis des profonds. Mais celle qu’elle préfère Elyse, c’est le Lotus !
Elle fait l’effort de se souvenir de votre prénom, propose un rafraichissement avant le départ, vous montre toute fière Notre-Dame de son balcon ("Ohh..j’avais jamais vu"), un dernier gros câlin avant de partir. Et puis un autre.
Séance de calinothérapie particulièrement réussie. Paris était rose, je voulais m’habiller en Hello Kitty. Je pense à tous ces gros queutards et ces hommes mariés qui ont dû sortir en titubant, le cœur tout chamboulé. Je ris.
MUST4NG
20 Jul '14
Kiss:
With tongue
Sex:
Enthusiastic
Real Pics?
Yes
CIM:
Not asked
Anal sex:
Not asked
Blowjob:
Bareback
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Paris
Half an hour - €150
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Elle m’attend sur le palier, vêtue d’un petit haut bouffant rentré dans un mini-short noir taille haute, un look de fashionata pour cette toute petite rouquine. Elle me regarde la bouche tirée, un brin tourmentée, sans aura sexuel ni volupté pourtant je suis séduit. Ses yeux bleus-gris sont exquis, sa fossette toute mimi, les traits angulaires mais si fins. Entre mes mains je retiens ce tout petit gabarit, une taille de guêpe à peine croyable, la sensation est jubilatoire.
Merci pour le verre d’eau avec glaçons. Petite musique d’ascenseur faite de 3 accords de piano hésitants. Je l’installe entre mes jambes, je la regarde, je la caresse. Je voudrais qu’elle se détende, mais ça ne prend pas. On converse, et toute nerveuse qu’elle soit, c’est une personne délicieuse, à la discussion fluide, si bien que je ne m’étais même pas aperçu que son anglais était excellent.
Vint l’instant de vérité. Celui durant lequel je l’ai dégrafé. Je suis resté bouche-bée, trente secondes de flottement, mon esprit s’est absenté.
Sa lingerie ôtée sa poitrine est restée en sustentation. Elle se maintient avec constance et grâce dans les airs, narguant Newton avec une impertinence assumée. Qu’importe la suite, c’est déjà une victoire. Des décennies à errer dans le vide comme une âme esseulée, à la recherche d’un trésor improbable. Rude et frugal destin du chasseur d’or, essaimé de frustrations et faux-espoirs, désillusions quant à tous ces oasis qui n’étaient que mirages… " Ô poitrine parfaite, je vous ai tant rêvé, sublimé, prié, j’ai toujours su que vous existiez !"
Son orifice n’est pas bordé de lèvres roses et ne se sécrète pas en abondance, comme je l’aurais souhaité. Olivia fuit mes baisers, reste impassible et détachée. Mais quel bonheur de la voir se dilater, s’ouvrir comme une belle fleure, comme si malgré-elle sa petite chatte voulait me happer et se faire remplir de mon sexe tout entier.
Je décide d’abréger sa sucette, dévouée mais anecdotique. Je vais plutôt la prendre en levrette sur le bord du lit. Elle m’offre son cul bien cambré, ma bite est ravie. Elle aime se faire niquer toniquement par une grosse trique. En andromaque, je la redresse, et lui attache les bras derrière le dos, l’obligeant à bomber le buste et sortir un peu plus sa poitrine divine. Elle prend goût à rester dans cette position, comme soumise, esclave de mes mouvements de bassins. Je lui tends mon doigt qu’elle s’est mise à sucer avec une perversité insoupçonnée, tellement bon que je jouis sur son ventre.
Olivia est vraiment une jeune fille remarquable, intelligente et éduquée, soucieuse de bien faire pour sa première semaine comme une écolière modèle le jour de la rentrée. Vite, vite, on déborde, elle s’affole, elle se presse, mille-et-une choses à faire avant le prochain client, le taulier est un gérant exigeant.
Je la quitte en lui faisant part de ma joie de l’avoir rencontré, dans ma tête je la remercie d’exister.
MUST4NG
14 Jul '14
Kiss:
With tongue
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Paris
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Onze juillet deux mille quatorze. Au retour de la douche je m’immobilise net. Belynda est allongée sur le lit, elle se prélasse, libidineuse, jouant avec la bretelle de sa nuisette et découvrant sa poitrine. Surpris, je n’ose plus bouger de peur de troubler la scène. Incrédule et fasciné, je la fixe avec intensité, comme un félin qui guetterait sa proie. Le temps d’une fraction de seconde, elle accroche mon regard. Largement suffisant pour qu’elle devine l’emprise que son petit jeu a sur moi. Son autre main se dérobe, glisse le long de sa silhouette et s’arrête au niveau de son entre-jambe. Elle respire profondément, elle ferme les yeux, elle se caresse. Le spectacle d’une femme impudente s’adonnant ouvertement aux plaisirs solitaires a toujours été un puissant fantasme, alors c’est à peine si j’arrive à croire ce qui se déroule sous mes yeux. La beauté de cette petite moscovite, à la belle chevelure d’or, est une métaphore baudelairienne, celle de la rêverie exotique, de la jouissance des sens qui se fondent dans une expérience mystique et hallucinatoire. Sa cambrure est d’une sensualité irréelle. Sa moue et son petit nez mutin sont d’un charme indicible. Sans un mot je me rapproche et recouvre ses yeux lui signifiant qu’il ne lui est plus possible de regarder. J’insère dans sa bouche un doigt pervers qu’elle suce comme une petite salope, pendant qu’elle continue de caresser son intimité. De mes mains je parcours ses courbes délirantes. Elle se contorsionne pour offrir son sein à ma bouche. Je la masse, je l’empoigne, je l’électrise, je la griffe, j’arrive jusqu’à sa petite chatte. De mémoire de punter, je ne me souviens pas avoir vu une chatte aussi mouillée. L’intérieur de ses cuisses était poissé de sa liqueur. Elle dégoulinait de toute part, elle en avait foutu partout jusqu’à souiller les draps. La pointe de ma langue partit à l’assaut de son bouton et déclencha des cascades de frissons. Je lape sa fente pendant qu’elle n’en finissait plus de déverser son jus dans ma bouche. Le bonheur dans la cramouille.
Je poste à ses lèvres mon sexe gonflé comme un ballon de baudruche, les veines saillantes, presque sur le point d’éclater. Elle m’enserre par les fesses et avale ma queue. Ma verge est devenue folle, je vibrionne dans sa bouche. Des bruits salasses et moites envahissent la chambre. Elle écarte les cuisses pour que je continue à la masturber. « Suce-moi à quatre pattes !» A genou sur la couche, son postérieur surplombe le reste de son corps, tout entier dévoué à choyer ma virilité. Quelle belle croupe ! Elle est à moi, je peux tout faire, je veux la doigter encore et encore, un, deux puis trois, lécher sa petite rondelle…
On s’emmêle, on se tord, on s’embrasse, on roule sur le lit… « vite je veux baiser ta chatte ! »
Elle se donne à moi en cuillère, son corps forme un « S » dont seul l’orifice dépasse. Je lui enfourne sèchement mon sexe jusqu’à la garde. Oh Dieu que c’est bon, mais c’est que je vais la prendre dans tous les sens ! Je galope, je galope, j’invente des positions de circonstance, pourvu que je continue de galoper dans sa chatte. L’étalon sauvage rencontre une tigresse de Sibérie, elle me griffe, elle rugit, elle halète. Je dis « very good » à son oreille, elle se raccroche à cette phrase et la répète en boucle, comme si elle avait perdu la tête. Elle s’agrippe aux draps et va hurler dans l’oreiller. On perd tous les deux notre souffle, et je repars de plus bel, avec des fessées polissonnes à la clé pour la punir d’être aussi cochonne. Elle gémit, se débat sur moi, des mots que je ne comprends pas. Le téléphone sonne « time ». « 2 minutes » lui répondis-je, elle me fit un beau clin d’œil. On se masturbe tous les deux, et j’enfourche à nouveau sa petite chatte d’escorte russe, l’extase est proche, je redoute que le recul du premier jet ne me projette 2 mètres en arrière, et puis c’est une jouissance sourde qui vient me mette KO. Le calme après la tempête. Elle s’est changée en petite créature tendre, se blottissant à moi, me caressant. Comment pourrais-je résister à ses compliments et ses yeux noisette si craquants ?
On toque à la porte, qui cela peut-il bien être ? C’est Nicole, qui s’est improvisée mère maquerelle ! Puisque les meilleures choses ont une fin je me rhabille, pendant que Belynda continue de prendre des poses lascives et aguicheuses, comme s’il restait encore une partie de moi à séduire !
Je repars en m’interrogeant : personne ne lui avais dit qu’être escort-girl c’était jouer la comédie et s’économiser ? Elle est peut-être très douée pour la première partie, mais alors pour la seconde, c’est complétement raté !
MUST4NG
30 Jun '14
Kiss:
With tongue
Sex:
Average
Real Pics?
Yes
CIM:
No
Anal sex:
Not asked
Blowjob:
Bareback
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Good
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Paris
Half an hour - €150
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Deux revues dithyrambique, une revue assassine, la mienne sera plus ambiguë. Et pour cause, je suis sorti sans savoir sur quel pied danser.
- L’accueil inexistant ("your shoes please", "the money")
- Pas souriante, méfiante et tendue, pas bavarde
- Visage quelconque, pas si "mimi" en réalité
- Requêtes non respectées (cheveux détachés, chambre pas sombre : c’était pas compliqué !)
- FK avec beaucoup de retenue
- Énormément de gel
- Pipe trop légère
- Anglais d’une pauvreté extrême
+ Petit poids-plume, maniable
+ Cul & seins divins
+ Plutôt impliquée
+ Accepte d’être doigtée (pas dans l’anus)
+ Bouge bien en cow-girl
+ Plus détendue à la fin
Superbe petit corps, mais il m’a manqué un truc. Il s’en serait fallu de peu pour que je dise qu’elle est géniale comme pour que je dise qu’elle était nulle. Je ne suis pas vraiment arrivé à la cerner et ça me chiffonne ! Allez, je lui accorde le bénéfice du doute, 7.5.
MUST4NG
26 Jun '14
Kiss:
Without tongue
Sex:
Average
Real Pics?
Yes
CIM:
Not asked
Anal sex:
Not asked
Blowjob:
Bareback
Extraball:
Only once allowed
Anal rimming:
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Hygiene:
Excellent
Dress code:
Not asked
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City
Paris
Half an hour - €150
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Service
Je commence à connaître les filles de cette maison et malgré leurs limites je les apprécie beaucoup. Ce ne fût pas le cas de cette Malina, le ticket perdant de cette année. Bien sûr comme toutes les autres Malina est belle. Elle a un corps remarquablement taillé, sculptural, et une poitrine à la fermeté incroyable, qui est pour le coup parmi les plus belles de l’année. Juste quelques cicatrices rougeoyantes et boursouflées sur l’épaule. Plus de coupe taillée au sécateur et je n’ai même pas remarqué son dentier de cheval. Sûrement parce qu’elle n’a jamais sourit !! C’est miss glaçon. Elle ne parle pas anglais mais se fiche éperdument de faire le moindre effort. Elle passe son temps rivée sur son iPhone : injurieux. La baignoire fait office de WC (...). Elle a barricadé la chambre dans l’obscurité alors qu’il fait grand beau (GRrrr). Une soixantaine de capotes sur la table de chevet, ça fait peur. Elle passe son temps à tout désinfecter - pschitt pschitt partout - bonjour l’ambiance. Et la tendresse ? B*** ! Aucune, nada. Zéro complicité. Ne regarde jamais dans les yeux, stratégie de l’évitement. Les FK il faut les arracher. Elle bloque toutes ses issues. Finalement le seul moment où c’est correct c’est le pilon - c’est une bonne simulatrice. Je pensais avoir le privilège d’être son 1er visiteur, finalement je n’ai été pour elle qu’une pénible marche vers une lointaine cible monétaire qu’elle s’est fixée. Quelle désagréable sensation ! Je suis partie dès que j’ai pu.
Pour moi ça confirme que - en général - les amours-russe ne valent que lors du 1er tour. Après elles perdent leur envie de bien faire, elles deviennent plus pro sans devenir meilleurs techniciennes, en gros elles perdent tout ce qui faisait leur intérêt.
Pas de soucis cette fois avec l’opérateur, par contre c’est chose courante avec cette agence. Exemple d’un échange, hier, avec ce petit merdeux arrogant de 665 :evil: :
http://i.imgur.com/IKHrOSK.png
Ce n’est pas de ma faute s’ils n’étaient pas fichus d’activer le profil de la bonne Marina !
MUST4NG
09 May '14
Kiss:
With tongue
Sex:
Enthusiastic
Real Pics?
Yes
CIM:
Not asked
Anal sex:
Not asked
Blowjob:
Bareback
Extraball:
Only once allowed
Anal rimming:
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Hygiene:
Excellent
Dress code:
Not asked
Social Time:
Excellent
City
Paris
Half an hour - €150
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Huit mai deux mille quatorze. Je ne suis pas du genre à attendre ce mois pour « faire ce qu’il me plait », mais entre plusieurs charmantes créatures ma bite balance. Il faut bien se décider et au petit jeu de l’erection-O-meter, c’est Tanya qui remporte la mise. Alors go, chauffe Marcel.
Malgré le dicton populaire des cordes s’abattent sur la capitale, je remonte la rue Montorgueil pressant le pas, c’est donc en rat mouillé et essoufflé que je me poste au pied de l’austère portail dressé devant moi.
Le mot de passe ne tarde pas, mes sens s’activent dans l’instant. Je contiens mon excitation et, méthodiquement, je traverse une sinistre grille puis emprunte un lugubre ascenseur, ma petite russe à l’esprit : elle est là, à portée de main, et déjà je la sais tout à moi, ses orifices prêts à recevoir mon sexe dégoulinant.
La porte s’ouvre, mon imagination laisse alors place à la réalité, celle d’une nymphe irréelle au sourire fripon. Je suis comme assailli par sa beauté angélique et la grâce solaire qui en émane, étourdissement niais, mais bénis soit-il. Diantre, ce doit être mon jour de chance.
Dans la pièce centrale j’aperçois des pieds nus statiques qui dépassent du rideau, c’est Nadia qui se dissimule derrière. Discrétion pour ne pas indisposer le client, certes, mais cache-cache puérile et idiot. Je la moque à chacun de mes passages - « Hello Nadia ! », et je retrouve accessoirement mes moyens vis-à-vis de Tanya qui s’en amuse. Délicieuse diablotine, enfant espiègle et rieuse, je me suis tout de suite senti bien avec elle. Elle m’explique doctement que la douche ne fonctionne plus, ce dont je me fiche éperdument, j’observe ces petits airs désolé et je me dis qu’elle est belle. Vraiment très belle. D’admirables yeux en amande et bordés de longs cils recourbés, l’iris verte et limpide. Les traits doux et réguliers, autour desquels s’organisent un petit nez mutin et une bouche de galopine, délicate et impudente.
Impudique, je me dévêts sous ses yeux, la verge qu’elle voit soudainement s’extirper du pantalon attire son attention, elle est déjà ardente et gorgée de plaisir. Je réclame à Tanya un fond sonore, qui toute contente s’emploie à nous sélectionner la musique la plus adéquate. J’en profite pour ôter ce qui lui reste de vêtements, découvrant ainsi ses superbes seins finement ciselés. Sous mes mains ils roulent, gonflent, durcissent. Je me régale sans même prêter attention aux imperfections cutanées de son dos. Notre disc-jockey a envoyé le son, je peux maintenant l’embrasser. Nos lèvres s’effleurent et se mêlent, nos langues se caressent et se mêlent, se cherchent et se trouvent, s’enlacent et se relâchent.
Ma bouche la quitte pour prendre possession de son entre-jambe. Dans rite un licencieux, j’invoque son intimité par de furtives caresses, les incantations de mon souffle chaud aiguillonne son désir. Sa petite chatte est encore refermée. J’entame alors une longue et infernale spirale autour de son sexe. Elle reste très calme, muette, mais lorsque je parcours la commissure des grandes lèvres, sa fleur s’ouvre et se dilate, laissant échapper un jus intime au goût exquis. Un doigt glissé dans son fruit juteux fait couler davantage de nectar.
Les rôles s’inversent, Tanya pose en toute hâte son sourire sur mon sexe. Elle me happe de sa bouche gourmande et mouillée. Son geste est simple et répétitif, mais elle envoie des coups de tête appuyés qui font virevolter sa chevelure en tous sens. Je la savais fan de Deftones, la voilà en pleine séance de headbanging. Prévoyante, elle dégage ses cheveux afin de m’offrir le spectacle grandeur nature de sa bouche de petite salope glissant sur ma queue. A genoux devant elle, je suis énergiquement pompé, elle m’aspire goulûment. Mes mains courent le long de son dos pour se saisir de sa croupe, je la ramène ainsi par va-et-vient à mon phallus qu’elle continue de sucer glorieusement.
Sur son invitation, coquine comme elle seule en a le secret, elle me chausse de latex et se saisit de son gel - dommage le sans faute s’est joué à peu. Elle s’allonge et prends soin de trouver la position assurant le maximum de confort pour la prendre. Mon gland à l’orée de ses lèvres, son bassin se met à onduler d’impatience. Je rentre tout en douceur en elle, ses jambes et bras m’enlacent et s’agrippent, elle se roule à moi comme une liane. Mon sexe est tendu à l’extrême et pourfend cette petite chatte, mon esprit rassemble ses plus ennuyeuses pensées : je ne dois pas jouir, pas maintenant ! Tanya ne m’y aide pas puisqu’elle halète et sort quelques gémissements plaintifs. Qu’elle simule ou force le trait cela n’a guère d’importance car je sais trouver mon plaisir, faisant varier la profondeur, alternant la cadence, et je vois bien que mes coups de queue appliqués font leurs effets.
Elle s’empale maintenant avec emballement. La précision et la maîtrise lui font défaut, mais elle se donne à fond et sautille, légère et frivole, comme jouant à une perverse marelle sur ma bite.
On bascule sur le côté et m’agrippant à ses seins je lui torpille la chatte et la punis de quelques fessées. Elle s’active toujours plus jusqu’à ce que son iPhone sonne la fin du « fun time ». Dieu que je hais ce cruel appareil. Coupé dans mon élan, Tanya vient se porter volontaire – avec la même réactivité et le sourire – pour une séance de masturbation mutuelle. Je jouis à l’intérieur de ses superbes petits seins.
J’ai bien mal géré mon temps cette fois, mais Tanya ne m’en tient pas rigueur et se dit « happy » de cette fin. Elle est vraiment craquante. Toujours le même sourire aux lèvres, jusqu’aux oreilles, sincère et généreux il rayonne. Le regard aimant et pétillant, l’attitude douce et câline. Elle est vive et maline, son enthousiasme et sa fraîcheur rejaillissent sur moi me donnant des allures de vieux con. Je fonds lorsqu’elle lève les yeux je fonds, je me liquéfie entre ses soupirs, qu’elle est attachante ! Gros coup de cœur.
MUST4NG
20 Apr '14
Kiss:
With tongue
Sex:
Enthusiastic
Real Pics?
Yes
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Paris
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Douze avril deux mille quatorze. Ça y’est ça me reprend. Je sens une tension venir se loger dans mon entre-jambe pour devenir de plus en plus vivace. La voilà qui me picote, puis me chatouille, jusqu’à remonter progressivement. Elle m’oppresse et me hâte, syncopant mon souffle par convulsions. Perte de contrôle, premiers symptômes physiques. Ma conscience se trouble à son tour. Je cherche à me dérober de mon propre esprit. Cette dualité intérieure m’épouvante, fuite en avant mais aucune échappatoire, tout m’y ramène. La jouissance lubrique est à portée de mains et sans effort. Chronique d’une défaite annoncée, ma raison rend les armes, je me résous frapper aux portes du vice la main tremblante.
Alors que l’objet de ma convoitise n’est pas même disponible, c’est une nouvelle humiliation que de voir mon désir se reporter le plus naturellement du monde sur une créature qui ne recueille que mollement mes faveurs. Mais puisque cet autre en moi ne me laisse pas le choix, va donc pour Anna sur ce meeting revolver.
Le Paris nocturne de la rue Montorgueil s’éveille sans que je n’aie trouvé le temps de manger un morceau. Qu’importe, Anna, alertée par l’agence, m’a préparé une assiette fruitée du meilleur effet : raisins, ananas, mûres, mangues, une opulence digne des orgies romaines.
Elle est fière de sa composition et moi j’en suis enchanté. Vêtue d’une robe jaune légère, elle dégage un charme estival et pétillant. Vingt-trois printemps, une allure juvénile mais une peau du visage abîmée et les cheveux secs.
Très décontractée et bonne vivante, elle papillonne un peu partout dans le loft accompagnée d’une inséparable coupe de champagne. Elle connait bien la prostitution et ses ficelles, il faut dire qu’elle l’a déjà pratiquée du Dniepr jusqu’à la Neva.
Ironiquement, il suffit que je formule préalablement mon exigence d’un éclairage satisfaisant pour que mon hôte se révèle être resquilleuse – je dois avoir un sixième sens pour les renifler. Elle éteint, donc. Je rallume. Cinq minutes plus tard elle nous replonge dans l’obscurité. Mais fini la rigolade, elle jouera aux ombres chinoises avec un autre pékin.
Par une sorte d’incroyable déterminisme, les premières minutes d’une rencontre préjugent de son issue, on est donc bien mal parti. Je privilégie alors une approche en douceur, quelques baisers pour l’apprivoiser. Ni sauvage ni farouche, elle garde prise. Ses vêtements cachaient une peau douce et hâlée, une poitrine ferme et un fessier d’une classe internationale.
Elle se présente devant mon sexe rutilant d’excitation, silence religieux avant de me prendre en bouche. Cet instant c’est un peu comme la première gorgée de bière, un plaisir qui démarre avant-même de sentir son sexe au fond d’une bouche de petite suceuse, puis un bien-être immédiat qui ouvre à l’infini. Elle me pompe à quatre pattes, je vois sa croupe qui relève de l’arrière et devant moi ses courbes m’affolent : je me dois de la doigter expressément. L’appétit charnel vient en s’ébattant, et dans une sorte de régression animale l’envie me prend d’aller dévorer sa petite chatte à grands coups de langue avec une avidité salace.
Elle ne mouille pas vraiment et elle m’évite du regard. En temps normal mes ardeurs s’en seraient trouvées sèchement réfrénées mais mon instinct primaire a tellement pris le dessus que tout cela n’a guère d’importance, je n’ai qu’en tête de jouir et posséder chaque centimètre carré de son anatomie. Tout ce qui peut être mis en bouche je le gobe et suce ; tout ce qui peut être saisi je le presse et masturbe.
Je me suis agité à l’intérieur de son sexe vingt bonnes minutes durant, il m’a d’ailleurs semblé que c’est ça qu’elle préfère, les gros coups de queue qui la ramone en profondeur. Lorsque je sentais les sensations me gagner, je venais battre la musique deux fois plus vite, jusqu’à ne plus sentir mon membre.
En fin de compte, la gêne testiculaire que je ressentais n’était pas simplement psychique puisque la quantité de sperme dont je l’arrose est proprement phénoménale.
Douche duo très sympathique. C’est la première fois qu’elle vient en Europe. Il est des motifs plus avouables, certes, mais Paris, elle s’en fiche. Elle « veut juste boire, dormir et rencontrer de beaux hommes ». En fais-je partie ? Non. Je m’en serais douté. Elle préfère même la compagnie de son téléphone à la mienne, mieux vaut la quitter.
Jamais je ne la reverrai, je n’ai été dans sa vie qu’un phallus anonyme qui l’a parcouru égoïstement, un de plus.
MUST4NG
03 Apr '14
Kiss:
With tongue
Sex:
Enthusiastic
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Bareback
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Paris
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Service
Trente mars deux mille quatorze. Aujourd’hui on vote. Enfin dans l’état de décomposition avancée de notre démocratie, plus grand monde. L’image journalistique que nos rédactions se plaisent à commenter pour caractériser la nonchalance du déserteur des urnes est qu’il a préféré « une partie de pêche à la ligne ». Moi je suis plutôt du genre à pécho une escorte russe pour me faire sucer une burne.
Dans les eaux troubles de Paris, l’exercice vire souvent à la pêche miraculeuse. Mais j’avais repéré trois jours auparavant le petit poisson Ariane, trop rapidement la proie de hameçonneurs lève-tôt. Ils l’ont remise à l’eau et moi j’ai mis sous enveloppe quelques appâts dont son engeance est si friande.
Arrivé avec quelques quatre mignonettes minutes d’avance, je suis enjoint à patienter. L’heure c’est l’heure et cette agence ne saurait badiner avec. Je préfère me satisfaire de la courtoisie retrouvée.
Je sonne. Petit élan d’agitation derrière la porte, ça se presse et ça s’affaire, lorsque soudain un fort charmant minois vient illuminer la pénombre du couloir. Soulagement intérieur.
Elle me dirige jusqu’à sa chambre qui par malchance est celle que je n’aime pas, celle avec cette satanée douche plafond sans eau chaude. M’étant préalablement récuré les parties je n’aurai qu’à faire mine en m’arrosant sommairement le sexe.
Dans la chambre elle m’observe religieusement et calmement comme pour mieux cerner celui à qui elle avoir à faire, gestes et mouvements sont scrutés dans leurs moindres recoins.
C’est alors qu’elle lâche contre toute attente un « I like you ». Une remarque qui me prend au dépourvu autant qu’elle me ravi. Surtout quand c’est dit par un charmant visage, rond, harmonieux et doux. Une bouille de poupon qui ne s’est point encore débarrassée des stigmates de la jeunesse, arborant encore pommettes rebondies et fossettes. Les hostilités démarrent sous les meilleurs hospices.
Conformément à mon souhait, elle est nue sous son t-shirt. Je vois poindre ses gros seins à travers le textile, et déjà je sens que ça s’agite au niveau de mon entre-jambe. Elle est là, à côté de moi, et je peux jouer avec comme bon me semble ! Tel le petit garçon de Hegel jetant des pierres dans le torrent pour admirer les ronds qui se forment, je frotte, tire, puis tend son vêtement et me délecte des variations exercées sur sa poitrine.
Libérons donc ces généreux obus de leur emballage. À peine sont-ils sortis que je les reprends à la volée dans ma bouche, tout en les malaxant à pleine poignée.
Elle me laisse faire, curieuse et attentive, mais ne vibre pas. Round d’observation ou attentisme, je ne peux pas encore le dire.
En partance pour son minou, moment de vérité, je croise chemin faisant son papillon monochrome à l’aine, « une erreur de jeunesse » selon ses dires, à 16 ans et ivre. Sa petite chatte rose mouille timidement et est à croquer. Je m’y emploie, elle me prend les cheveux et se caresse les seins.
Le deuxième test, celui du pompage de bite, sera plus concluant. Sa pipe est pleine de bonnes idées. Elle tourne autour de l’objet avec respect et fait glisser sa langue sur le côté. Debout, elle me permet quelques va-et-vient dans sa bouche pulpeuse et juvénile. Quelle sensation délirante que de baiser cet orifice, devenu pour l’occasion un vulgaire trou à plaisir. Je tente tant bien que mal de contenir l’excitation qui me gagne par soubresauts.
Ma femelle est nue à quatre pattes et remue du derrière. On s’emboîte parfaitement tous les deux. Dieu que c’est bon, je pourrais passer ma vie à baiser cette chatte. Son cul est doux et parfaitement uniforme, sans la moindre imperfection, il m’excite. Je lui griffe les fesses, ça l’électrise, elle se tend.
Je comprends alors qu’il faut mettre du tempo. Toujours aux commandes de la salle des machines à l’arrière, j’augmente la pression. J’y mets tout mon œuvre. Je l’enserre par le buste et la ramène en arrière. Prise comme une chienne elle ouvre spontanément la bouche pour que je lui fourre ma langue.
Sur le flan je lui laisse prendre du répit pendant que je suce ses seins.
Elle saute désormais sur mon sexe d’un efficace mouvement de bassin. C’est parfait, je voudrais savourer encore et toujours le coulissement humide de son sexe sur le miens, mais je redoute qu’un rappel du temps ne me fasse déchanter. Et puis la voyant s’activer en toute hâte, belle artisane de ma jouissance, je laisse le plaisir me submerger et ma semence couler à flot.
Tout s’est bien passé, elle me le confirme. C’est incroyable comme le sexe réussi à la capacité de rendre deux individus légers. Elle ne presse pas mon départ. On cause automobile. Elle n’a pas son permis mais veut l’acheter à son retour. Ah la Russie, quel beau et étonnant pays. Les femmes, les autorisations, etc. ce qu’on ne peut pas y acheter avec de l’argent, on peut toujours l’acheter avec beaucoup d’argent.
MUST4NG
29 Mar '14
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Mercredi vingt-six mars deux mille quatorze. Cramponné à mon espresso, je me lance dans un tour d’horizon des forces en présence sur 6A. J’arpente les dédales du portail comme perdu en village Potemkine : la foire au factice. Silhouettes postiches, attributs improbables et créatures chimériques s’exhibent dans ce Brocéliande fantastique. Rompu à leurs simulacres, je suis devenu sourd au Chant des sirènes, seule me la reste nostalgie de notre belle ville qui fût jadis pays de cocagne des beautés vénales de toutes les contrées.
Il faut bien dire que l’arbre Amour-Russe qui cachait la forêt de l’escorting Parisien s’est dégarni révélant ainsi une flore déboisée et moribonde. Malgré tout c’est une fois encore cette agence qui me sauve la mise, son ramage se remplume et laisse entrevoir de jeunes pousses intéressantes : Lily, Ariane et Marina.
Il est 10h du matin et toutes trois sont déjà complètes pour la journée. Parti pour me la mettre derrière l’oreille, je suis informé dans la journée d’un créneau immédiat et dans un mouchoir de poche. Suis-je bien en position de faire le difficile ? Ni une ni deux je m’en vais quérir quelques roses pour ravir Dame… Marina.
Elle m’a reçu dans un appartement cossu à parquet grinçant, orné de gravures Belle Époque et de portraits au fusain avec moulures en toc. Une décoration un peu vieillotte et kitsch dans laquelle notre Moscovite ne doit pas trop être dépaysée.
Je regrette qu’elle n’ait pas fait davantage usage d’artifices. Elle est habillée d’un débardeur rose quelconque, pas de maquillage, et les cheveux noués d’une banale couette. Sans formalité ni protocole elle me mène à la chambre, où sont donc les airs candides et innocents des photos ? Quatre jours de stage intensif à Punterland ça vous change une femme.
En fait à y voir de plus près, si, elle a bien ce teint blâme de porcelaine, ses charmants sourcils roux, et ses petits yeux clairs enfoncés. Elle me plait beaucoup.
Assise sur le lit, je me glisse derrière elle telle une ombre. Elle entend mon souffle et en sent la chaleur descendre le long de sa nuque. Elle devine ma présence mais ne voit point. Qui est donc cet inconnu qui, cavalier, foule son jardin secret sans considération pour sa pudeur ? Déstabilisée par mon assurance, elle comprend que son corps ne lui appartient plus, elle s’abandonne, et vient chercher ma bouche.
Son haleine est alcoolisée. Babouchka au rhum. Sa langue est nerveuse et brouillonne, parfum de jeunesse.
Quelle séduisante jeune fille. L’allure frêle et légère, un brin maigrelette, au sortir de l’adolescence, des petits seins neufs et roses qui viennent tout juste de bourgeonner… De la fraîcheur de ses dix-neuf ans je vais me repaître, il n’y aura plus rien que ce petit corps entièrement tourné vers mon plaisir.
Quoique. Ma petite renarde lubrifie en abondance dans sa culotte, elle est toute mouillée ! Excité par l’odeur de la cyprine je pars à la découverte de sa petite chatte qui n’est pas rose comme je m’y attendais, mais bicolore. Je lui l’ai donc mâchée et sucée comme un malabar bi-goût.
Elle a sucé ma queue comme une vraie femme, volontaire et audacieuse. Je sens mon sexe se gonfler, se gorger et se tendre, jusqu’à devenir énorme dans sa petite bouche, sueurs froides… elle a bien failli me faire jouir avant l’heure !
Pas question de ne pas la sauter, et elle l’a bien compris, c’est pour cela qu’elle vient me chevaucher. Timidement d’abord, laissant mon sexe s’enfoncer toujours un peu plus en elle. Cette petite brindille enfourchée sur mon plaisir, je deviens un animal en rut, et je remue en elle extatique, ivresse inespérée de la savoir tout à moi.
Elle me répond en s’offrant intégralement et sans retenue. Elle va là où je l’emmène, elle me laisse lui caresser l’anus jusqu’à immiscer une phalange, pendant qu’elle m’étreint, m’embrasse, et vient se lover le long de mon torse.
Je décharge mon éjaculat qui se loge dans son nombril, transformé pour l’occasion en marmite à spermatozoïdes.
Je la nargue avec la lingette faisant mine de ne pas lui donner. Sourires. La logique des rapports entre deux êtres humains voudrait qu’on fasse mine de converser, mais rapidement nous nous trouvons moins doués pour la communication verbale que corporelle. Elle bredouille laborieusement quelques mots puis éclate de rire.
Que peut-elle bien penser de moi ? Qui est-elle ? Comment est-elle arrivée jusqu’ici ? Quels sont ses rêves ? Jamais je ne le saurai. Paradoxe perturbant et fascinant d’avoir goûté à ce qu’il y a de plus intime en elle sans même la connaître.
MUST4NG
12 Mar '14
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Quelle bonne idée a eu l’agence de créer un nouveau profil pour Izabella. Cette fois je vais pouvoir m’affranchir de la limitation d’EGTV à une revue par fille et de la censure a priori dont ma 2ème revue avait été victime sur l’autre site ! Elle croupissait jusqu’ici dans les commentaires de ma 1ère revue.
On lit souvent sur ce site les confidences déçus des punters "elle à chopé la grosse tête", "désormais elle se prend pas pour de la merde", etc.
S’il y en a bien une qui m’évoque cette description c’est Lina, alias Izabella. Non seulement elle pète plus haut que son cul, mais, tellement elle se kiffe, je la soupçonne de renifler ses propres pets.
Non je ne dis pas cela suite au visionnage de sa vidéo, où elle arbore des postures et mouvements extravagants qui rappellent bien son côté un peu chtarbé.
Pas non plus de ses nouveaux clichés qui sont quelque peu décevants, alors qu’elle incarnait pour moi la perfection (mon seul "10") :
- Sans sa frange on réalise très nettement qu’elle se rase les sourcils ce qui lui donne un style "sharpie eyebrows" façon latina vulgaire. - Elle s’est légèrement empâtée au niveau des hanches, et sa culotte trop petite vient lui faire un "muffin top" ridicule. - Elle arbore désormais son petit tatouage con "angel"..super. - Elle s’est tellement fait charger la gueule de botox qu’elle a désormais un "lazy eye" (cf. pics avec sweatshirt drapeau US). - Par respect pour Izabella, je ne parlerai pas de ses lèvres, dont la quantité hallucinante de chirurgie vide les réserves naturelles de collagène de la Russie.
Que voulez-vous, la jeunesse n’est pas éternel… La beauté d’Izabella, dont l’éclat jadis brillait de mille feux, se fane :(
Allez, je suis un peu de mauvaise foi, je vous le concède. Mais c’est à peu près la chose qu’il m’est resté après mon meeting (09/06/2013) avec elle ! Payer pour se faire baiser !
----Revue :----
J’étais ressorti quelque peu frustré de mon meeting avec Izabella. En dépit de mes autres rencontres et de mes bonnes résolutions, ce meeting m’avait trotté dans la tête toute la semaine durant. Il n’était pas à la hauteur de ce que j’attendais et de ce que j’avais pu entendre, et je m’en sentais responsable. Par orgueil, défi, prétention masculine j’ai voulu y retourner. Bien mal m’en pris !
Alors qu’elle ouvre la porte, je constate agréablement qu’Izabella a troqué son visage neutre de la dernière fois pour un sourire.
Arrivé dans la chambre, je constate toujours agréablement qu’Izabella se montre plus sympathique et ouverte à mon encontre lors du « social-time ».
Une fois dévêtue, je constate toujours qu’Izabella a ce corps parfait hallucinant, devenu pour moi l’étalon de la beauté.
Vient le sexe, et je constate agréablement qu’Izabella est plus expressive et active que la dernière fois.
Je suis tellement excité et en forme que j’aurais pu terminer à ce moment en plein bonheur mais je me retiens car il reste plus de 10 minutes.
C’est à ce moment, en passe de réussir mon pari, celui de transformer la déception de la fois dernière en réussite, que je change de position et perte de la capote au passage.
Je lui demande d’y remédier, mais non pas possible, elle n’a plus de stock ! Elle ne veut même pas demander à sa copine ! J’ai eu droit au coup de « je parle russe » et « je comprends pas ce que tu dis. » LAMENTABLE !!
Mais c’est vrai qu’elle ne comprend rien, sauf les "bad girl!” que je lui lance et qui la font râler.
Elle me regardait comme une sale gosse qui veut pas finir sa soupe (ou sa quenelle), le même regard effronté et mutin de celle qui sait qu’elle a fait quelque chose de pas bien mais se contente d’attendre que l’orage passe. « Cause toujours, dans 15 minutes t’es plus là :lol: !».
Une véritable tête à bifles ! :evil: :evil: :evil: :evil: :evil:
Je lui ai demandé si elle va revenir, répond “peut être”. Elle me demande “et toi ?”. Hallucinant totalement je lui retourne la question, “tu aimerais ?”. Elle dit “oui” avec un grand sourire genre “jusqu’où puis-je aller comme ça en le prenant pour le dernier des cons ? hihi”.
Mais qu’est-ce qu’elle imagine ?? Je crois que personne jusqu’à ce jour ne m’a pris pour pareil pigeon !
Enfin si si j’y retournerai bien, mais juste pour lui faire un CIF à 50€ !
J’ai signalé cette attitude à Amour Russe qui s’en est excusé et m’a avoué qu’elle est coutumière du fait. "Izabella does such things sometimes".
Moi j’avais été me finir avec Zhanna, qui a été super, mais avec un geste de l’agence : n’y pensez pas !!
Conclusion :
Avis aux fans : attention à la douche froide.
Izabella est un avion de chasse que je regrette de ne pas avoir connu à ses débuts.
Mais voilà, grandeur et décadence de ses services. Princesse jadis de l’escorting devenue reine fainéante.
MUST4NG
27 Feb '14
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Vingt-trois février deux mille quatorze. Une hirondelle ne fait pas le printemps, mais on aimerait le penser. Une légère brise se fait caressante et murmure à l’oreille de Paris. Une lumière vive peint la ville de son joyeux visage retrouvé. Quelques passants sont venus dans les rues s’emplir le cœur de ces moments de grâce si chers à Nathalie. Il flotte un parfum de matinée parfaite.
Moi je l’ai passée avec la plus douce des compagnies qui me soit en ce bas monde. Je me sens tout chose. Mais le Diable ne pouvait me laisser lui échapper ainsi, il est venu charrier mon âme. Une tentation tordue a fait irruption dans mon esprit. L’immoralité de sa proposition me fascine et me séduit. Happé par le vertige du vice, je m’interroge : malgré cette matinée, serais-je capable d’aller au bout de cette possibilité ? J’en frissonne mais je pense que oui. La preuve, je suis déjà en train de réserver…
J’en doutais encore, j’en suis désormais convaincu : je suis foutu.
C’est donc à l’heure de la messe dominicale mes biens chers frères que je pris rendez-vous avec sœur Mary, la petite dernière entrée dans les Ordres.
Retrouvailles avec ces appartements des Ternes qui commencent à avoir l’habitude de mes péchés puisque c’est la 4ème brebis que je viendrai sauter.
Celle du jour est surprenante en ce qu’il n’y a aucune surprise, conforme en tout point aux photographies, la même beauté un peu crispée.
Elle est nerveuse. Elle pique un fard dès que j’ouvre la bouche et prie pour que ça ne soit pas une question, auquel cas chaque mot est accouché dans la douleur.
Plutôt que d’avoir à parler, elle se réfugie derrière les consignes de l’agence qu’elle applique à la lettre. Le client est roi. Elle me tend solennellement des deux mains une serviette bien pliée, elle se précipite à la cuisine pour me rapporter ce verre d’eau demandé comme si ma vie en dépendait. Un dévouement qui prêterait à sourire s’il ne me renvoyait pas une image de moi-même en nabab courroucé.
Je reviens de la douche et la retrouve dévêtue, assise en bord du lit. Elle est sage comme une image. Je lui donnerais bien une pièce pour qu’elle aille s’acheter des bonbons, mais je préfère lui donner quelques billets pour qu’elle suce ma queue.
Gibier de potence, elle est ma proie. Je tourne autour, je la jauge, je l’appréhende, tout cela pour mieux la savourer. Le loup est dans la bergerie, il ne va faire qu’une bouchée de cet innocent agneau égaré !
Je lâche me mains qui partent à l’abordage, la parcourant de toute part, lentes mais imprévisibles. Elle frémit. Déjà, elle ne se fait plus trop d’idées quant à la fin certaine qui l’attend. Allongée sur moi, je goûte ses lèvres, elle capitule. Elle se laisse aller aux embrassades avec une générosité qui invite à se ranger par déférence.
Une fois que j’ai eu ses petits seins fermes et doux en bouche, je suis devenu autiste et je les ai léché et sucé d’autant de combinaisons que l’esprit humain puisse concevoir. La perversité du miens l’a surprise et peut-être excitée. Je n’aurais osé y croire si je ne m’étais aperçu qu’elle mouillait en cachette. Elle a dû me prendre pour un obsédé, et elle n’aura pas tout à fait tort.
A son tour d’avoir quelque chose dans la bouche. Élève Mary au tableau. Appliquée et consciencieuse, je la sens néanmoins tendue par le regard du professeur qui l’épie. Je rends donc la séance interactive en lui donnant la réplique, sa retenue s’estompe. Son petit anus velu ne donne guère envie d’être becté. Mais son sexe rose est délicieux. Je finirai par m’y introduire, me libérant ainsi d’une tension qui devenait trop pesante.
Que dire de cette petite chatte qui avait dû mener une paisible existence jusqu’ici, celle d’une jeune fille en fleurs, et qui se retrouve subitement être la cible des assauts de la fine fleure des pervers parisiens ?
Il n’empêche qu’elle me l’a totalement offert son trou. Quelle que soit la position, elle m’a laissé m’amuser à l’intérieur à ma guise, et non sans répondant. Elle en ignore très certainement la signification, mais elle est très GFE.
C’était en revanche une erreur de la penser bonne cavalière, elle m’a rappelé mes jeunes petites amies un peu maladroites qui ne savaient que se frotter. L’intensité redescend alors. C’est d’ailleurs à ce moment qu’elle glisse un « sorry, 5 minutes ».
Qu’à cela ne tienne. Je la couche et me lance dans un longue salve progressive. Vigoureusement assaillie, ses gémissements s’intensifient, je laisse alors la jouissance qui me gagne faire le reste, mon sexe collé contre ses fesses l’enduit par soubresauts.
Elle viendra me pendre le visage et m’étreindre, délicate mais curieuse affection après ma bénédiction qui n’était pas des plus tendres.
Serviette sur l’épaule, elle s’affole de ce que, dilettante inconscient, je me dirige dans le plus simple appareil jusqu’à la salle de bain.
Moi, j’aimerais me montrer agréable autant qu’elle a pu se montrer généreuse. J’aimerais lui montrer que ce type qui l’a sauté durant 30 minutes lui porte une attention bienveillante. Mais je réalise que mes efforts la mettent mal à l’aise et que la meilleure des choses à faire est de déguerpir au plus vite. Insondable créature.
Compte-rendu succinct à l’opérateur, qui répond affable et rivalise de politesses « see you soon ». Du jamais vu, je peux me faire moine. Enfin après avoir piqué une petite sieste tout de même.
MUST4NG
17 Feb '14
Kiss:
With tongue
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Real Pics?
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Anal sex:
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Blowjob:
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Quinze février deux mille quatorze. Potron-minet, un rayon de soleil me chatouille la figure. Paupières collées, goliwok en vrac, le réveil est difficile. Pas pour mon outil qui ne m’a pas attendu pour faire ses étirements matinaux.
Pourquoi cet état au juste ? Ah oui, la soirée d’hier. Arrosée et bredouille. Bourré la veille, je suis désormais bourru. Je peste à tout-va, la frustration est patente et je porte mon taux de testostérone comme un fardeau. Mais pas grave, pour ces choses-là il y a Mastercard.
« Computer, le menu de jour s’il vous plait. » Pas envie de jouer la fine bouche à m’humecter les babines pour grumer. Il me faut gouleyer à pleines gorgées, croquer un physique opulent à pleines dents.
Tiens, elle, Anastasia, avec ses gros seins, ses courbes provocantes et sa tête de cochonne, ça fera très bien l’affaire.
Coiffé, chaussé, ganté, enveloppé préparée : le petit rituel est bouclé, me voilà fin prêt pour aller sauter ma Russe.
Ma Portugaise de gardienne s’affaire dans la cour, elle me salue d’un sourire bienveillant. Je le lui retourne malicieusement, amusé de ce qu’elle ignore tout de cette double vie au-dessus de tout soupçon.
Auto rangée, j’observe toutes ces silhouettes qui défilent et se glissent jusqu’au numéro-dit, des alter ego prostitueurs ? Le signal reçu, une excitation perverse me gagne. Je m’enfile dans l’ascenseur goguenard, sensation d’aller s’encanailler à bon compte. Pendant ce temps-là, un couple s’enthousiasme niaisement de l’heureuse annonce qu’ils s’apprêtent à faire leurs amis. Moi je me frotte les mains de ma basse besogne.
« Hello ! ». Non, j’ai l’impression de ne pas être le type qu’elle attendait. Elle me reluque de la tête aux pieds, sans-gêne, et me donne l’impression que tout cloche chez moi : ma gueule, mon style, mon physique. Ben faudra faire avec ma vieille !
Je dépose sur son étendage mon blouson dont le cuir touche l’éponge de sa serviette qui pendouille. Mais on fait pas ce qu’on veut chez elle. Mémère rouspète. Elle m’a fait le coup du « Kundelitch », un remake dans l’air du temps.
Une coupe de champagne traine sur la table, « the guy before you ». Paye ton romantisme glauque. Mais j’espère que ce fût bon parce que moi je ne suis pas venu ici jouer les Richard Gere. Et à vrai dire, elle non-plus ne force pas la comédie, elle est plutôt grincheuse. Elle a du caractère la miss.
Elle me dirige jusqu’au plumard qui trône au milieu de la pièce. Ici on pénètre dans son antre. Son côté rustre laissé aux vestiaires, elle se fait plus câline, se collant à moi.
C’est un bien drôle de petit bout de femme qui se présente à moi, mi danseuse de balai - mi cheval de trait. Une apparence de fer mais souple. Une chair ferme enveloppée d’une peau de velours.
Elle se dégrafe, je retiens ma respiration. L’ennui avec les gros seins c’est qu’on ne sait jamais quelle surprise ils nous réservent une fois le décolleté affriolant débarrassé. Une roulette russe avec trois balles dans le barillet en somme. Cette fois-là, le chien ne percute pas l’amorce d’une cartouche, je suis sauf. C’est même une heureuse surprise qui me ragaillardi. Contre cette opulence exhibé sous mon nez, je ne résiste pas : je me jette tête première dedans et disparais enseveli sous ses généreux volumes mammaires.
La voilà maintenant qui gigote et se prélasse telle une succube vengeresse. Elle me prend en bouche tout entier d’un coup d’un seul. Y’a pas à dire elle sait y faire. Pipe gargantuesque, tout y passe.
Elle se retourne et déploie lentement ses deux guiboles de toute son ouverture, seul son sexe dégoulinant pointe. Ici c’est elle la reine des abeilles et je n’ai d’autre choix que de la butiner. J’honore son offrande en léchant toute son intimité.
Sa gestuelle sexuelle est une sorte de parade animale. Elle se cabre puis plonge la tête en avant, elle s’étire, elle se cambre, et fait ressortir son arrière-train. Elle remue sa croupe comme une chienne en chaleur qui chercherait désespérant à être remplie. La gredine. Mon cerveau reptilien m’ordonne de venir baiser cette chatte. Je m’introduis en elle par secousses de son cul sur ma queue. Reconnaissante elle m’étreint et m’enlace. Je la sens plus apaisée. Je la prends, je la lève, je la tords, la fais rouler sous ses gémissement orgiaques. Elle pratique la baise totale et maîtrise parfaitement l’espace du lit, son aire de jeu. Et quel beau trou du cul. Mais bon faut pas pousser mémé dans les orties, je n’insiste pas. Pas plus pour le reste d’ailleurs. Ce corps outrageux est taillé pour la luxure et cette chatte serrée prévue pour faire jouir les hommes. Je lui demanderais bien de me chevaucher de toute sa débauche, mais c’est une grande professionnel, elle ne fera pas de cadeau et m’expédiera en moins de deux.
Non je préfère profiter une nouvelle fois de cette bouche, qui sait donner tant de plaisir. Un délice. Je me répands de tout ce que j’ai dans cet orifice si accueillant et humide.
J’ai terminé mon affaire, on a plus rien à se dire. Elle s’affale sur son sofa en tenue d’Eve, et me toise avec dédain de sa posture d’Alice Sapritch.
C’est fini, elle est contente, moi aussi. Bisous poulette.
MUST4NG
26 Jan '14
Kiss:
With tongue
Sex:
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Introduction
L’année a laborieusement démarré chez Amour Russe, après une pause déroutante, et dont est ressorti un premier cru 2014 un brin décevant. Seule la petite Pelageya se distinguait, tous mes espoirs étaient donc placés sur elle.
J’ai rapidement constaté qu’elle avait déjà son petit succès puisque « fully booked » à la première demande, et rendez-vous tardif uniquement le lendemain. Au final peut-être un moindre mal parce que je n’ai pas eu la même mésaventure que wiliam00, pourtant rencontrée le même jour. C’est même tout le contraire ! (note : je ne l’ai rencontré que 30 minutes).
Social-time
Reçoit dans un appartement à Saint-Georges, difficilement accessible (pas « ground floor » comme ils disent. Passé le portail et la porte après la cour intérieure, il faut emprunter les escaliers en bout de couloir).
La chambre est correcte, lit à baldaquin deux places. Pelageya m’y a reçu comme un prince. Elle avait pris son shooting agence avec grand sérieux, jouant à fond – et avec brio – le jeu du photo model, ce qui ne laissait pas deviner une jeune fille aussi exquise qu’agréable. De bonne humeur, affable, elle plait par sa bonne grâce. Elle m’a rappelé Karmen dans sa manière d’être aux petits soins et de regorger d’attentions en tout genre.
Reste que malgré tout la communication est difficile, car même si elle est avenante on se rend vite compte qu’elle ne dispose que de bien médiocres bases d’anglais.
Physique
C’est une bombe. Ce superlatif sonne même creux eu égard au choc que j’ai eu en la voyant.
Harmonie, symétrie, finesse : son corps est absolument parfait. Sa poitrine est impeccablement dessinée, la peau est douce, la chair est ferme, sa cambrure est naturelle. J’ai eu énormément de plaisir à la regarder, je me mettais à distance pour mieux le faire, ce qui la flattait visiblement.
Je regrette juste le tatouage « God Save the Queen » qui lui prend tout le haut du dos. Une faute de goût que ce « tuning » apposé à une carrosserie d’origine épurée et racée.
Je m’interrogeais concernant le visage, mais là encore je l’ai trouvé magnifique. Longue crinière de feu descendant jusqu’aux fesses, je me suis demandé si je préférais vraiment les brunes. Lèvres au collagène je présume, mais ça ne m’a pas dérangé. Ses pommettes saillantes lui donnent d’irrésistibles airs de devochka adorable.
Quelle belle fille !!
Meeting
Alors que je lui parlais, elle défait légèrement son cardigan, laissant entrevoir l’intérieur de ses seins. Diversion impudique et malicieuse. Il me faut alors recourir à des prouesses de concentration afin de poursuivre. D’ailleurs je ne poursuis pas.
Je l’embrasse, et je ne m’arrête plus parce qu’elle sait très bien y faire. Je l’allonge et après avoir fait passer mes mains sur chaque centimètre carré de sa peau, je m’en vais à l’encontre de sa petite chatte rose et découvre - non sans plaisir - qu’elle a bien commencé à lubrifier. Je ballade désormais ma langue le long des commissures de son vagin. Passage du témoin au doigt, qui la pénètre ardemment au milieu de ses gesticulations.
Je lui tends ma quenelle d’amour, la polémique est inutile : c’est une excellente suceuse. Elle s’exécute dans un style goulu et baveux, et propose un imposant bagage technique : léchouilles multiples, récurage des valseuses et en prime une authentique deep-throat ! Cool, ça faisait longtemps !
La pénétration est très bien maîtrisée de bout-en-bout, bien encaissée, et avec une bonne implication. Je rejoins wiliam00, ce n’est pas une débutante effarouchée.
Elle sait très bien exécuter ma position préférée du moment : le booty shake on top.
Bon elle exagère un peu les gémissements, mais rien de méchant. Cela n’a pas empêché le temps de filer à toute vitesse. Ni elle ni moi ne regardions la montre, je me suis donc retrouvé pris au dépourvu devant l’obligation de juter en 3 minutes. Une précipitation peu propice à l’extase, mais Pelageya s’y est pourtant employée de toute sa personne, elle m’a sucé de tout son art. Je me branlais gland dans sa bouche pendant qu’elle faisait de son mieux pour me titiller et m’aspirer la bite. COB ambiance film du cul.
Conclusion
Pelageya est un bien drôle de prénom. Mais il est devenu synonyme pour moi d’une perfection physique hallucinante au service de séquences limite PSE et entrecoupées de transitions bien GFE. Une escort-girl de haute qualité, complète, qui connait les hommes et sait incontestablement leur donner du plaisir. Un corps aphrodisiaque et une personnalité anxiolytique.
J’interpelle ces successeuses : mesdemoiselles il va falloir vous ménager car Palegeya a d’ores et déjà mis la barre très haut ! Nul doute qu’on retrouvera cette petite perle en bonne place de mon top 2014 ! Merci !
MUST4NG
06 Jan '14
Kiss:
With tongue
Sex:
Average
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Yes, spits it out
Anal sex:
Not asked
Blowjob:
Bareback
Extraball:
Only once allowed
Anal rimming:
Not asked
Hygiene:
Good
Dress code:
Not asked
Social Time:
Excellent
City
Paris
Half an hour - €130
Looks
Service
Intro
Bec dans l’eau et fesses à l’air suite à cinglante déconvenue avec cette vilaine LORENA_BG (sur l’autre site), je consulte d’urgence ma to-do list, dans laquelle Chanel figurait en bonne place depuis un moment déjà : évaluations flatteuses et recommandations privés à l’appui. Ses photos devant jardin en friche si caractéristique des maisons Roumaines me la rendait sympathique.
Tributaire de mon arnaqueuse, je n’avais pas tout à fait la somme demandée à lui offrir. Je suis honteux mais elle accepte, super, sans plus attendre je file dans la nuit la rejoindre.
Social-time
Le théâtre des opérations consiste en la banquette clic-clac dépliée, d’un salon enveloppé par la pénombre. En effet elle trouve cela plus « romantique ». Je n’ai pas manqué d’ironiser sur le prétendu romantisme d’une relation tarifé avec un parfait inconnu, elle a intensifié l’éclairage sans difficulté.
Mais autant le dire de suite, à cause du capital sympathie de Chanel je crains que mon objectivité n’en soit affectée.
Chanel est une fille simple, les pieds sur terre, ouverte. Elle a la conversation facile, bavarde, et l’intérêt qu’elle porte à son hôte à quelque chose de valorisant.
Physique
Chanel a un visage rond et ma foi fort mignon. Des yeux d’agate bien écarquillés et malicieux. Elle a un peu plus de formes que sur ses photos, un petit bidon pointe désormais. Son corps reste jeune et frais. Ses seins sont tubéreux et très fermes. J’espère qu’elle a revu l’épilation de chatte qui n’était pas impeccable.
Sexe
Aucun souci avec les french kisses. Lorsque j’approchais mes doigts de son intimité elle s’éloignait, mais je ne peux pas confirmer qu’elle refuse le doigtage car je n’ai pas vraiment essayé.
S’en est suivi une excellente fellation ! Appliquée, endurante, progressive et appuyée.
A la vue des évaluations sur EGTV je l’imaginais plus PSE. Il faut dire qu’il était tard et qu’en ce qui me concernait j’étais dans une forme olympique, à croire que j’étais déjà à Sotchi.
On est progressivement monté dans les tours, je l’ai bien fait valser. Parfois je cassais le rythme, elle réagissait rapidement se faisant plus douce, preuve qu’elle est attentive et sait s’adapter.
Finish génialissime en CIM de l’espace . Je me suis bien branlé dans sa bouche, elle mettait ses petites mains dessus pour pas trop tâcher le matelas tout en buvant le calice jusqu’à la lie.
Re-social time, et franchement pas chrono car on bien papoté à la fin sur l’escorting en général, toujours avec le même enthousiasme : bavarde, vive, les idées bien en place et donc intéressante.
Conclusion
J’avais fait de Chanel un plan B, ce que je trouve rétrospectivement un peu déshonorant car elle s’est avérée être une escorte de premier choix.
19 ans seulement mais déjà pas mal d’expérience, de la technicité, de l’implication, et beaucoup de gentillesse : comme ceux qui l’ont vu avant moi je ne peux que la recommander, c’est l’assurance d’un excellent meeting.
ps : elle m’a dit revenir en février