lnezzi Reviews

Katherine est très jolie, beaucoup plus que ce à quoi je m’attendais, mais ce n’est clairement pas le coup du siècle. Son accueil est très chaleureux, ce qui laisse présager de grandes choses pour la suite, mais hélas, on reste dans la moyenne basse au niveau des services. Cela fait longtemps que cela ne m’était pas arrivé chez cette « agence », ou plutôt « portail d’indépendantes »… Et heureusement également qu’une fois n’est pas coutume, je n’avais booké que pour 30 minutes, journées compressées par les restrictions oblige. Si Katherine peut paraitre sympa et souriante, voire volubile, ses prestations sont du niveau RLD de Bruxelles FK hyper light, pipe du bout des lèvres, ultra courte comme si elle avait peur qu’on lui gicle dessus, baise en missionnaire pour le principe, et basta. Dommage que le travail soit aussi bâclé, ou alors je ne suis pas tombé sur un bon jour, car physiquement elle est mon type de nana, surtout au niveau du visage. C’est comme ça, il n’y a pas mort d’homme non plus. D’autres auront peut-être eu plus de chance avec cette jeune femme aux origines ukrainiennes et géorgiennes.

J’avais déjà rencontré Olivia lorsqu’elle était encore chez RDV ou peu importe le nouveau nom. J’en avais gardé un excellent souvenir. Aujourd’hui, la belle est désormais indépendante, contente d’avoir quittée son appartement « Darth Vader ». Réservation par sms (impossible par Whatsapp), et me voilà dans le quartier du Marais. Son accueil est toujours aussi friendly. Olivia est sexy et ravissante avec ses dessous chic, sa peau douce et son teint diaphane. Grande, longiligne, de petites fesses fermes, il n’y a pas un pet de graisse. Les préliminaires sont un must pour tous ceux qui sont à la recherche d’érotisme et de jeux sensuels. Pour autant, elle ne ménage pas ses efforts pour tout ce qui suit, alternant le chaud et le froid, le GFE et le PSE. Elle a de l’énergie à revendre et fait preuve de beaucoup d’implication, tout en étant très joueuse et imaginative. Autant dire que je suis loin de me lasser de cette jeune ukrainienne qui place la barre haute parmi ses consœurs.

Cela fait un moment que j’avais des vues sur Asya, sans qu’elle soit pour autant mon choix numéro un, si l’on considère le nombre élevé de filles en tour actuellement. Au moment de mon choix, toutes celles que j’avais en tête étaient déjà en mode fully booked, et j’ai donc fini par me rabattre sur Asya. Une fois sur place, Asya est tout conforme à ce à quoi je m’attendais. Grande, bien foutue, naturellement charpentée, une tête de vicieuse, loin du style innocent de mes dernières rencontres. Asya est sexy et aime naturellement séduire. De plus, cette jeune ukrainienne est également très sympathique. La rencontre en elle-même sera très érotique, sur fond de musique langoureuse (Sade). Cela ne l’empêche pas d’aimer les jeux et les claques sur les fesses. On peut facilement aller loin dans le salace avec elle, ce que m’avaient d’ailleurs suggéré ses photos. Une bonne rencontre, donc, avec une jeune fille pas prise de tête du tout, et à la philosophie épicurienne. Sinon, désolé pour Asya, mais je profite de cette revue et du fait qu’Escortguide soit le seul site sur la scène parisienne où l’on peut encore s’exprimer publiquement en bien ou en mal sur notre hobby préféré, sans qu’il n’y ait censure, pour passer à un sujet parallèle. En effet, RDV4U ne recense plus aujourd’hui que des « indépendantes » et a même changé de nom. Ok, pourquoi pas… Mais ce qui faisait la force de son ancien site était qu’elle proposait des vidéos de ses modèles et de vraies photos, même si visages masqués dernièrement. On avait tout de même une bonne idée de la fille qu’on allait rencontrer en vrai, ce qui diminuait les risques de désillusion. Aujourd’hui, le nouveau look du site fait penser à un Naiad bis, c’est-à-dire que sur les dernières filles arrivées, on se retrouve avec des doubles profils pour certaines nanas, mais également des photos pas conformes. Enfin, ce ne sont plus forcément des filles typées RDV, telles qu’on les aimait. Les informations entre pseudo de la fille, location, services, durée du tour sont devenues brouillonnes, et pour couronner le tout, plus de profils sur les bannières traditionnelles comme EGTV. On est obligé de créer soi-même le profil de la fille si on veut parler d’une fille. En mode Youppie pour ceux qui connaissent. Je ne sais pas si c’est intentionnel ou temporaire, mais toujours est-il que pour choisir une fille, c’est devenu costaud. Il faut multiplier les points de contrôle et prendre plus de précaution pour éviter au maximum toute mauvaise surprise. Certes l’opérateur en face répond parfaitement et donne toutes les informations, mais on perd en spontanéité, lorsqu’avant, aux plus belles heures, on était tout émoustillé de voir un nouveau profil sur le site de l’agence, et de cliquer sur la vidéo. Heureusement, on y retrouve encore certaines filles d’Avant », top, mais qu’en sera-t-il avec les filles d’« Après », aux profils douteux ? Gérants ou proprios de RDV2Indy, filtrez mieux au moins les profils des nouvelles venues pour ne pas perdre en crédibilité, car si il n’y a plus la possibilité d’écrire des revues sans créer un profil sur la fille par les membres (ce que peu de clients font), que certains profils sont doublés ou que des photos soient truqués, le client lambda n’aura aucun critère pour choisir une fille si ce n’est de jouer aux dés. A moins que l’idée soit que tout se passe le plus discrètement possible, ou en plus élitiste, infos et meetings réservés aux réguliers, dont le nombre est suffisamment conséquent pour se passer de revues publiques, et pas de place pour les nouveaux venus, ce qui est déjà le cas depuis un certain temps, cela dit. Peut-être aussi une nouvelle politique d’EGTV, vu que seuls Naiad et SF annoncent dessus apparemment. Une chose est sûre, cette nouvelle décennie annonce un nouveau visage sur notre hobby préféré. Pour ma part, si rien ne change, pas d’autre choix malheureusement que de faire avec ce qui est proposé dans notre douce France. Je prends mon mal en patience, la fin de la pandémie, et le retour aux affaires dans d’autres contrées où tout est beaucoup plus transparent. Encore une fois, désolé pour l’aparté de ce qui était censé n’être qu’une revue au départ.

Olivia, c’est ma sensation du moment ! Que ce soit au niveau du physique, de sa personnalité, de la partie baise, tout a merveilleusement bien matché ! Elle m’a reçu dans un quartier populaire de Paris, mais l’appartement en lui-même est très design et bien agencé. Un baby-foot à l’entrée, et une décoration sur le thème de Star Wars, avec du Dark Vador un peu partout dans les différentes pièces. Malheureusement pour elle, Olivia déteste la saga de G. Lucas. Un conseil quand vous arrivez devant la porte. Frappez assez fort car l’appartement est bien isolé. Olivia sait recevoir. Elle propose thé, café, boissons, ce qui est très rare chez les filles de cette agence. Vêtue des dessous noirs que l’on voit sur certaines photos. Je l’ai trouvée très élégante. Elle est naturelle dans son attitude, cherchant la conversation, ce qui fait qu’avant même de prendre la douche, on sait qu’on va passer un très bon moment. En fait, ce n’est pas un très bon moment que j’ai passé, mais un moment fabuleux ! Quand une telle alchimie arrive, je me dis que je ne suis pas prêt ni près de prendre ma retraite de punter. Il y a un tel engagement chez elle, que ce soit dans la manière de sucer, pomper plutôt, avec léchage de boules, deep throat et tout et tout, ou dans sa façon d’embrasser, où elle s’avère très gourmande Sa chatte mouille facilement pendant le cuni, et j’ai adoré son goût légèrement salé. Au pieu, elle déborde d’énergie, c’est un volcan. Et en plus elle est joueuse. Elle a monté le niveau à un point tel qui fait que ma rencontre qui a suivi avec sa colocataire m’a semblé bien fade. Et je ne pense pas qu’elle ait de limites particulières une fois mise en confiance. Olivia a très bien compris ce que c’est que d’être escorte, car même sur la fin du meeting, elle n’est pas chrono du tout, ni pressante. On continuait à discuter et rigoler pendant que je me rhabillais. Et dire que je l’ai repérée par hasard sur un autre site, car celui de l’agence est en cours de modernisation, et Olivia n’y figurait pas encore. En attendant ce fameux nouveau site chez RDV, il faut donc prendre son mal en patience et jongler de site en site, c’est un peu le bordel, car leurs filles sont éparpillées un peu partout, et idem, les numéros de téléphone sont en cour de mise à jour. Pour s’y retrouver, c’est un peu compliqué. Je vais forcément revoir avec plaisir Olivia, d’autant plus que cette ukrainienne de Lviv va bientôt partager son appartement avec une de ses copines, Alisa, qui me parait également fort désirable. Je n’ose imaginer ce que pourrait donner un duo avec ces deux-là

J’ai rencontré Monica par excès de gourmandise… En effet, je venais de finir mon meeting avec sa colocataire, et il me restait assez d’énergie à revendre pour continuer sur ma lancée. Monica fait physiquement très jeune et est plus petite que les 1.65 m annoncés sur le site. Elle n’est pas forcément mon type physique de fille, un peu trop teen à mon goût, mais elle a un certain charme. Cette jeune ukrainienne ne parle pas anglais, et il faut user du traducteur électronique pour se comprendre. Au lit, on est en mode « love story ». Certains clients adorent, je préfère quand il y a un peu plus de piment. Elle embrasse sans retenue, léchouille tout le corps de son partenaire, s’attardant sur ses tétons, et puis vient la pénétration, où en missionnaire, elle est constamment à la recherche de ma bouche. Au final, rien à lui reprocher. Monica est naturellement souriante et sympathique. Elle ne ménage pas ses efforts pour faire plaisir à son client, le tout dans la bonne humeur. Mais pour moi, du fait qu’il y ait la barrière de la langue d’une part, et que je l’ai trouvée trop jeune (y compris dans sa tête) à mon goût, il aura manqué un peu de cette magie qui fait que certaines rencontres sont exceptionnelles. Je la conseillerais à ceux qui sont à la recherche de teens pour des plans ultra GFE en mode Hélène et les garçons. A noter qu’elle adore Paris, mais bon, vu la crise sanitaire du moment, c’est un peu râpé pour les ballades dans notre capitale.

Je l’avais déjà repérée, alors qu’elle bossait pour une autre agence, mais je n’avais pas eu le temps de concrétiser. C’est désormais chose faite. Mikki reçoit dans un appartement d’un quartier populaire de Paris. Facile d’accès, mais l’immeuble en soi est plutôt vieillot et sombre, pas glamour pour un sou. Il n’y a pas de lumière pour monter les escaliers par exemple. Bien sûr, on ne va pas à ce type de rencontre pour revisiter nos standards dans l’immobilier, l’essentiel après tout étant de se retrouver dans un endroit safe pour retrouver nos amies préférées. Je reçois le code d’entrée à peine arrivé sur les lieux, très bon point de la part de l’agence, et Mikki m’ouvre la porte. Elle est beaucoup plus jolie que sur les photos ratées du site. Une beauté fragile, représentatif de ce que l’on pourrait imaginer d’une héroïne romantique du 19ème siècle, telle la Tess de Polanski par exemple. En revanche, concernant le dress code demandé, il n’est pas respecté. Elle était en pantoufles Disney… Soit elle s’en bat les couilles de ce que l’agence lui a dit, soit l’information sur mes préférences ne lui a pas été transmise… Mikki me demande de laisser mes chaussures à l’entrée, classique, puis on se dirige vers sa chambre en passant par la cuisine américaine, où s’entassent poêles et vaisselles non effectuées. Cela fait un peu négligé, et je comprends tout de suite que l’appartement est occupé par plusieurs filles. Quant à Mikki, elle a une attitude détachée, ni amicale, ni antipathique. Pendant que je me déshabille pour aller à la douche, elle pianote sur son smartphone comme si je n’étais pas là. En parlant de douche, la petite salle de bain est remplie de serviettes en train de sécher sur les différents étendards… Décidément, ces demoiselles devraient oublier qu’elles ne sont pas dans un squat d’étudiants à préparer la prochaine biture. Bon, à leur décharge, il faut avouer qu’une cohabitation à plusieurs, avec des colocataires que l’on n’apprécie pas plus que ça, ce n’est pas toujours évident. Vient enfin le moment où ce pourquoi je suis allé visiter Mikki : la tringler comme il se doit. D’emblée, elle m’explique qu’elle n’embrassera pas car elle a des aphtes en ce moment, et propose donc de commencer directement par la fellation, sur un ton très médical. Alors oui docteur, commençons par la fellation. Celle-ci est d’ailleurs très efficace : douce, bien appuyée, bien qu’étant un peu trop sur le même rythme. J’ai cependant bien apprécié les bienfaits de sa pipe, au point que j’ai failli finir plusieurs fois dans sa bouche, chose interdite, m’avait-elle prévenu. Il faut avouer que voir cette jeune ukrainienne d’Odessa à l’œuvre est terriblement excitant en soi. Concernant le cuni, elle semble affectionner cet exercice, mais il est recommandé d’y aller très doucement car elle est très sensible du clito. Manifestement, elle veut rester sous contrôle et ne pas se lâcher. Cowgirl ensuite pour une finition en levrette, sa position préférée. Visiblement, elle apprécie de se faire pilonner en rythme. Et la vue de ce corps splendide, fesses remontées bien haut sur de longues jambes magnifiques, son air soumis, a eu raison de moi assez rapidement. Dans tout ça, il aurait fallu plus de sensualité et d’interaction pour que ce soit vraiment top. Mikki est très jeune, et n’assume pas forcément encore son statut d’escorte à Paris. Ou alors les jours passées confinée dans notre capitale à l’approche des fêtes commencent à avoir raison de son moral. Dans sa tête, elle est encore étudiante à Odessa. On voit qu’elle essaye de se mettre en mode automatique quand il y a un meeting, pour que ce soit le moins douloureux psychologiquement pour elle, surtout en terre inconnue, loin de son pays natal. Elle évite ainsi la discussion, n’essaye pas d’en savoir plus sur son partenaire, reste distante mais polie. Il y a peut-être également de la timidité, je ne sais pas. En choisissant une escorte aussi jeune, je savais les risques que je prenais, et j’assume. A voir comment elle évoluera dans le temps, et si elle est dans les meilleures conditions pour ce job plus difficile qu’elle n’aurait pensé, sans aucun doute. Mikki a potentiellement tous les atouts pour tirer son épingle du jeu, sa beauté en 1er lieu, mais ça passera difficilement tant qu’elle ne se lâchera pas plus.

Koketka_69, voila un pseudo original pour une fille de cette agence, mais qui montre que cette jeune ukrainienne a une personnalité bien affirmée. Elle sait ce qu’elle veut, mais cela ne l’empêche pas de soigner son client aux petits oignons Dès l’ouverture de la porte déjà, où elle apparait souriante et bien plus désirable que ce que laissent percevoir les photos du site. Dress code respecté, bien entendu. Elle a un physique qui correspond à ce que l’on pourrait attendre d’une jeune fille de 19 ans : frais, tonique, une peau douce de bébé, des fesses fermes et joliment dessinées. Son visage est très agréable. On se sent tout de suite à l’aise avec elle, d’autant plus qu’elle se débrouille assez bien en anglais sans que l’on ait besoin d’un traducteur automatique. Du coup, la rencontre se passera de manière naturelle et fluide. Les préliminaires sont un délice et au fur et à mesure que le feeling passe et qu’elle prend de l’assurance, Koketka ne se montre pas avare d’initiatives, notamment dans sa manière de s’occuper de ma bite, très efficace. Elle n’a pas la technique d’une pro, mais c’est ce que je préfère, quand on oublie que l’on est dans une rencontre tarifée. Cuni, caresses, embrassades, pas de problème, elle semble apprécier, et quant à la partie baise, ça a été également été top. D’une part parce que l’on se sent extrêmement bien dans sa chatte, d’autre part parce qu’elle participe elle-même avec ardeur, recherchant son plaisir. Une rencontre comme je les aime avec cette jeune ukrainienne passionnée de politique et amatrice de croissants ! Je la reverrai avec plaisir dès que l’occasion se présentera.

N’ayant pas réussir à jouir lors d’un précédent meeting ce jour, et la perspective d’un confinement national à durée indéterminée se profilant, il me fallait absolument une dernière rencontre pour me « vider » les couilles. L’heure avançant et pour éviter de tomber dans le piège du couvre-feu, ce sera donc un meeting de 30 minutes. Et l’élue, heureuse ou pas, sera Aleksa. Rendez-vous pris pour une nouvelle aventure dans l’appartement bien connu du 7ème. Dans une chambre que je connaissais déjà. Cette fois, la literie a changé, et c’est une sorte de futon qui fait désormais office d’accessoire principal pour les ébats. Je n’avais pas demandé de dress code particulier, estimant que cela n’en valait pas la peine pour une session aussi courte. Du coup, Aleksa m’a reçu en tongs. Il y en a qui aiment ce côté nature chez les demoiselles, mais pour ma part, j’estime que pour des rencontres où on une entreprise s’annonce exigeante pour signifier son côté premium, je m’attends naïvement à des tenues Pornochic façon Dorcel, histoire de rêver un peu plus. Avec le long listing que l’agence détient sur ses clients, elle devrait commencer à connaître leurs goûts ce qui optimiserait l’organisation des rencontres. Ce serait du Win Win à tous les niveaux, tant pour l’agence que pour les clients, mais également pour leurs filles. Bref, je n’en veux pas à Aleksa sur ce coup, surtout que c’est une bonne communicante malgré son anglais imparfait, et qu’elle est naturellement sympa et souriante. Le Ice Breaking est ainsi rompu dès l’ouverture de la porte. La bonne humeur est là, mais on passe tout de suite aux choses sérieuses. Très peu de préliminaires, vu le temps imparti déjà raccourci par la douche et les quelques minutes perdues à attendre le signal de l’opérateur pour avoir le code d’entrée… Aleksa est naturellement jolie, et bien foutue physiquement. C’est elle qui prend les initiatives, et ce sera de la pure baise sans chichis, pour aller au plus efficace. Dans ce format de session, je n’en attendais ni plus, ni moins. A voir ce que cela peut donner un meeting plus long avec la belle. Une bonne rencontre donc, avec une jeune fille cool et bien foutue physiquement. Sinon, côté organisation, je m’étais habitué à des échanges plus cordiaux avec l’agence. Là, j’avais l’impression de communiquer avec un robot à qui je faisais perdre son temps, ce qui est assez désagréable comme sensation. Heureusement que tous leurs managers ne sont pas tous comme ça, et que certains sont beaucoup plus aimables, et même, de très bon conseil.

Alors que j’étais sur une série de rencontres exceptionnelles avec cette agence, je me demandais quand cela allait prendre fin. Je crois bien que c’est arrivé avec Aurika. Non pas que la demoiselle n’en vaille pas la peine, bien au contraire, elle fait tout ce qui est prévu dans le « contrat ». Mais il nous aura manqué cette alchimie qui rend certaines rencontres inoubliables. Soit ma tête ne lui revenait pas, soit ce n’était pas le meilleur jour, soit je n’ai pas trouvé le mode d’emploi, mais bon, il y a des jours moins bons que d’autres et ce n’est pas la fin du monde non plus. Pour en revenir à Aurika, c’est exactement la fille des photos. Elle a comme principal atout des yeux magnifiques, avec ce bleu perçant qui pourrait foudroyer un mort. En revanche, il n’y a aucune expression sur son visage, ce qui peut être déroutant par moments. Dress code respecté, pas de problème, et après les formalités d’usage, nous commençons les hostilités. Elle embrasse, ce qui est un bon point. En revanche, en ce qui concerne le cuni, aucune réaction de sa part. Au moins elle ne fait pas semblant de simuler… Pour la suite, elle montrera beaucoup d’implication pour essayer de me satisfaire, mais n’étant pas moi-même à mon top, la séance se terminera par un chou blanc. Je dois noter cependant que sa fellation était bien effectuée. Dommage qu’Aurika ne soit pas plus expressive ou souriante, ça faciliterait beaucoup de choses dans la rencontre, surtout qu’elle ne parle que le russe, y compris à son partenaire, comme s’il pouvait comprendre. Après, j’ai trouvé que dans les échanges physiques, c’était un peu trop mécanique, même si de son côté, on voit qu’elle ne ménage pas ses efforts pour faire plaisir à son partenaire du moment.

Sans doute la plus jolie fille de l’agence actuellement en tour. J’avais déjà flashé sur son cul un brin grassouillet lors de la publication de ses photos sur le site. Et pour le coup, ces photos ne mettent pas assez Chris en valeur. Heureuse surprise, Chris a un petit cul bien ferme avec une cambrure divine. De la tête au pied, Chris est tout simplement un canon pour qui aime les beautés froides de type nordique. De froide, elle n’en a que l’apparence, car c’est une jeune fille qui s’implique avec sensualité dans son nouveau "job". Son visage angélique reflète encore l’innocence de son jeune âge, les traits sont fins. Quant à son corps, pas un pet de graisse, tout est fin et doux au toucher. Chris n’est pas seulement jolie, elle joue parfaitement le jeu niveau services. Et ce, dès l’ouverture de la porte. Après la douche, on commence les préliminaires debout. Chris est tactile, elle embrasse sans problème, histoire de nous mettre en condition pour la suite. Suite qui sera intense et où je n’aurai pas vu le temps passer. On est dans le partage avec cette jeune ukrainienne d’Odessa, car tout se déroule normalement sans prise de tête. Elle semble adorer les préliminaires, et le reste aussi d’ailleurs. Je mets une mention spéciale pour sa fellation, où elle a une technique particulière diaboliquement efficace. Nous n’avons pas beaucoup discuté lors de cette rencontre, trop occupés à nous occuper l’un de l’autre. Le langage des corps a amplement suffi. Une nouvelle superbe rencontre donc. Je touche du bois en souhaitant que cette belle série dure longtemps encore.

Kate n’était pas forcément mon 1er choix, car elle n’a pas de vidéo de présentation, et j’avais du mal à la situer avec le peu de photos publiées sur le site. J’ai tenté malgré tout le coup, et je dois dire que lorsqu’elle a ouvert la porte de son appartement, ce fut une heureuse surprise ! Kate a un visage atypique que j’ai trouvé très joli. Ses grands yeux bleus au regard profond et un tantinet mélancolique sont magnifiques. Son corps est tout en proportion avec une peau soyeuse et laiteuse de bébé. La belle nous vient de Vilnius et vit à Riga, et cela explique peut-être en partie ce physique à part mais fort désirable. Ce n’est pas la plus grande des communicantes, et d’ailleurs son anglais est assez basique, mais on n’a pas besoin de traducteur pour se comprendre. Débutante dans le métier, c’est une jeune fille qu’il faut guider. C’est à son partenaire de diriger la danse. Ceux qui sont dans le trip PSE hardcore peuvent passer leur chemin, je pense. Par contre, une fois mise en confiance, Kate c’est une cocotte-minute. Tout fait « vrai », on a l’impression d’être avec une nana qu’on a séduite à la bibliothèque de l’université et qui découvre les plaisirs charnels. Ce n’est pas elle qui va chercher les embrassades par exemple, mais une fois que son partenaire a lancé les hostilités, elle suit, timidement dans un 1er temps, puis avec entrain ensuite. Niveau cuni, elle est ultrasensible, et ses petits gémissements sont hyper excitants. Pour le reste, on est dans du classique, mais une nouvelle fois, Kate suit bien, et on a d’excellentes sensations dans sa chatte. A aucun moment Kate ne donne l’impression de simuler, ce qui est valorisant pour son partenaire du moment, en l’occurrence moi pour cette rencontre. Kate est a conseiller donc pour ceux qui sont dans le trip « je me fais une étudiante timide » ou « je me tape la baby-sitter » par exemple, avec toutes les qualités et défauts qui vont avec. Elle reste une bonne vivante et se dit gourmande, même si elle n’a pas encore eu l’occasion de goûter à nos pâtisseries locales ! Avis aux gourmets donc… Quant à l’agence, organisation top une nouvelle fois. Réactivité, horaires respectés, doléances comme le dress code transmis. On est loin de l’organisation aléatoire de feu AMR, et c’est à souligner. Pourvu que ça dure, et pourvu qu’on ait d’aussi belles filles pour encontre longtemps !

J’ai eu la chance d’être le 1er client de cette jeune demoiselle, du moins c’est ce que j’ai compris. Et Maria s’est avérée être au top pour cette grande première ! En effet, dès l’ouverture de la porte, grand sourire de sa part, bises, accolade, un accueil tout ce qu’il y a de plus chaleureux. De plus elle m’a reçu en tenue glamour et élégante, ce que j’ai apprécié car j’attache beaucoup d’importance aux jeunes femmes qui prennent soin d’elles, ce qui est bien sûr le cas de Maria. En chambre, ça a continué sur les chapeaux de roue. Maria n’a pas froid aux yeux, yeux qu’elle a d’ailleurs malicieux. Elle est très entreprenante avec ses roulages de pelle. Elle dit adorer ça. Maria est également très tactile. Impossible pour moi de résister à son enthousiasme communicatif. Elle a de l’énergie à revendre, tout en étant sensuelle. Un très bon mélange. Avant de passer aux choses plus sérieuses, nous avons pris le temps de faire un peu connaissance. Elle est ukrainienne de Kiev et est très emballée à l’idée de se retrouver à Paris. Son sourire ne la quittera pas un seul instant de toute notre rencontre et ça fait toujours du bien de se retrouver avec une personne qui dégage des ondes aussi positives. Ce qui n’empêche pas la belle d’être très ouverte d’esprit et curieuse de nouvelles expériences sexuelles. Je pense que la liste de ses services sur le site en dit beaucoup à ce propos. En ce qui concerne le cuni par exemple, Maria semble adorer. Elle se tortille de partout en poussant des jurons en russe. Je ne pense pas que ce soit de la simulation vu son visage qui rosit et rougit. Idem pour la fellation, effectuée avec entrain, service 3 pièces compris. Elle est de plus très joueuse. Dans tout ça, on oublie facilement que l’on est dans une rencontre professionnelle. Je n’ai pas tenu très longtemps dans sa chatte, tant elle était serrée et mouillée, et les sensations de fait exquises. Du coup, je n’ai pas pu essayer la levrette, et à mon avis j’ai raté quelque chose, car Maria a un fessier de compétition, ferme et doux à la fois. Maria a su me vendre du rêve, et j’espère qu’elle gardera cet état d’esprit et ce tempérament encore longtemps, car franchement, on a affaire à une pépite.

Alors que j’avais du mal à faire mon choix, l’agence m’a suggéré Ariana. Et bien bingo, avec Ariana j’ai tiré le gros lot ! Pour faire simple, j’en ai encore plein d’étoiles dans les yeux. Du traditionnel 1 heure, j’ai étendu la rencontre à 2 heures, chose que je fais de plus en plus rarement, car il faut bien essayer de se discipliner avec cet hobby couteux… Pour en revenir à Ariana, la 1ère grande surprise à l’ouverture de la porte, c’est que je l’ai trouvée beaucoup plus jolie que ce que ne me laissaient suggérer les photos du site. Son visage est un mix entre douceur et coquinerie, un mélange très subtil en tout cas. Les traits sont naturellement fins. Bien qu’elle soit originaire de l’est de la Russie, elle passerait facilement pour une de ces jeunes chanteuses coréennes de k-pop. Je pense à IU, en plus jolie, pour ceux qui connaissent. Je dois également la féliciter sur la tenue qu’elle portait quand je suis arrivé. Une jolie robe verte très élégante, des dessous classe mais suggestifs, ainsi que de magnifiques escarpins rouges. Ce sont des détails qui peuvent paraitre secondaires pour certains, mais pour moi une jeune femme bien apprêtée quand elle reçoit son partenaire, ce sont des signes d’une rencontre qui se déroulera bien. Ce que confirmera la suite du meeting. Qui s’est déroulé à la vitesse de l’éclair, tant ce fut intense. Peu de mots échangés, on a laissé la place au langage des corps. Ariana semble constamment à la recherche de son plaisir, toujours de manière discrète et subtile. Les embrassades sont sensuelles, sa fellation est magique, entre volupté, Deep Throat, léchage de boules, et le miroir du placard a bien aidé à multiplier les sensations. Sa chatte a un goût délicieux, en plus elle mouille facilement. Et que dire de sa peau ultra douce et de son fessier épanoui mais ferme. Je lui tire mon chapeau car elle a compris comment je fonctionnais. Et vraiment, avoir une telle beauté, selon mes critères bien sûr, pour soi, et bien on se dit qu’on est content d’être en vie avec toutes les mauvaises nouvelles qui nous polluent les tympans ces derniers jours. Ariana, c’est pour moi une belle surprise comme je n’en espérais plus.

Alisa n’est évidemment pas la fille des photos. De plus elle est biélorusse de Minsk,et non suédoise comme indiqué sur la fiche de 6A. Je suis resté car malgré tout elle avait un petit côté attirant. Grosse erreur de ma part. Effectivement, quand on propose des tarifs supérieurs à la moyenne parisienne, soit 300 roros, on se doit d’avoir un standing à la hauteur. Ce qui n’a pas du tout été le cas d’Alisa. Elle est restée en nuisette tout au long du meeting, s’arrangeant pour que je puisse ne jamais la toucher, et jouant avec son smartphone tout en prodiguant ses massages en parallèle. Plus détachée que ça tu meurs et difficile de rester concentré quand on a affaire à une jeune femme aussi peu concernée par ce qu’elle fait. Le genre d’« indépendante » qui nuit à la réputation des vraies indépendantes consciencieuses et qui fait que je préfère me tourner vers les escortes d’agences où j’ai moins de mauvaises surprises. Pour couronner le tout, elle utilise au moins un autre faux profil : https://www.6annonce.com/escort/ksenia-130692?from=tours_list . Même adresse à la rue de Berne dans la chambre de bonne où elle reçoit… Fausses photos, services de m… J’ai joué j’ai perdu pour cette fois..

Je suis encore sur mon nuage de ma rencontre avec Victoria. Voilà une jeune femme qui m’a véritablement conquis. A l’ouverture de la porte, je l’ai trouvée bien mieux, selon mes critères bien sûr, que ce à quoi j’espérais. Victoria a beaucoup de charme, et dégage une classe naturelle que ne peuvent retranscrire les photos du site. Pour ne rien gâcher, Victoria parle couramment français. Elle est parfaitement fluent, avec un léger accent russe qui la rend encore plus craquante. La rencontre en elle-même, c’est du très haut niveau, et ceux qui aiment les plans GFE ne seront pas déçus. D’ailleurs à ce sujet, il est marqué dans ses services qu’elle accepte les photos/vidéos avec visage sur le site de l’agence. Victoria est catégorique : pas possible de filmer « avec » visage. Mais pour le reste, on se rapproche d’un réel service d’escorte haut de gamme, tant Victoria sait donner l’illusion que son partenaire lui plaît, une fois la glace rompue. Baisers à profusion, très bonne fellation, très sensible au cuni, les diverses positions s’enchaînent naturellement. Et puis c’est un régal que de caresser sa douce peau blanche et laiteuse, parsemée de grains de beauté. A côté de tout cela, on a affaire à une jeune femme intelligente et cultivée, qui aime discuter. En clair, cette rencontre est passée à la vitesse de la lumière, tant ce fut bon. Forcément pour ma part, récidive dès que possible avec cette fan de tennis au caractère affirmé.