Layla_SE

Layla est ni GFE, ni PSE, mais "ME" (model experience, "mannequin experience" si vous préférez). Elle n’a cependant rien d’une beauté froide : au contraire, dotée d’un bon sens de la psychologie, elle sait plonger son client dans un océan de plaisir et s’avère une redoutable sexperformeuse (quand elle le veut bien) et qui n’a, alors, pas l’inconvénient décrit par René. Ne tenez pas compte de ses photos, ce n’est qu’une devanture, l’arrière-boutique est autre et plus intéressante. C’est une fille raffinée et subtile, ordonnée et méthodique, très soucieuse de son apparence et de son corps qui semble tiré à 4 épingles. Inutile d’aller la voir si vous êtes un inconditionnel du MacDo et avez le fantasme de la grosse cochonne. Layla est plutôt une saveur délicate qui ne sera pas du goût de tout le monde. C’est difficile en fait de la décrire avec des mots. Tout est hors-norme, le physique, la personnalité, la qualité de ce qu’elle fait. Elle est géniale, oui géniale. Mais les gens géniaux sont des êtres capricieux. J’espère qu’elle comprendra que - malheureusement - le jugement extrêment positif que l’on peut avoir sur elle n’est pas définitivement acquis et qu’elle devra toujours s’occuper de son client avec ce style particulier et si fébrile qu’est le sien. I would like this to last forever... I love you.

Très jolie Ukrainienne, qui fait vraisemblablement partie de l’écurie de course du ‘’ grand requin blanc’’ (Kostya, vous connaissez ? Il y a des accords d’échange entre les deux agences. Pour l’Italie et la province française, c’est YDG. Pour Paris, c’est SE) Layla est tout à fait conforme à ses photos, sur lesquelles j’avais deviné une pratique prolongée de la danse. Brune aux yeux bleus intenses, élancée, dotée d’une musculature fine mais sculptée par le sport, et de petite fesses absolument divines (à apprécier sous un autre angle.. ). Pour le reste, fellation excellente, elle lèche les boules, mais, hélas, pas l’anus ! Groose déception de mon côté, car le clitoris de Layla est totalement aréactif. Elle me l’avoue d’ailleurs assez vite : ‘’Arrêtes de ramer, t’attaques la falaise’’. Bref, une fille frigide du clito… Par la suite, j’ai vu qu’elle aimait baiser, mais l’absence de lubrification spontanée est préjudiciable, avec une gabardine. Finalement, elle a entrepris de me terminer dans sa bouche, mais l’animal, solidement érigé, a pourtant refusé obstinément de cracher… Seules les grosses salopes qui lèchent l’anus arrivent à me faire tirer… Devant cet échec , Layla déçue a fait un diagnostic : ‘’It’s time to you to stop the girls’’. Car j’avais omis de le dire, Layla parle couramment anglais, et le meilleur moment de la rencontre, pendant qu’elle me transperçait avec ses yeux bleux, seule agressivité dans son charme discret, fût, une fois n’est pas coutume, le social time !