Katerina (inactive)

J’étais sur une série d’enfer, je commençais à avoir la pastèque, je pensais avoir le flair éternel. Je suis allé bcp trop vite : j’aurais dû écouter la petite voix qui me disait que cela ne le ferait pas. J’ai passé outre et me suis planté … D’abord l’hôtel : un 2 stars dans le nord de Paris au milieu d’un chantier important. Pour y accéder c’est l’enfer, prenez de la marge si vous avez encore envie d’y aller après ma revue. D’autant plus périlleux aujourd’hui qu’avec la tempête de neige, monter les rampes pour accéder à la forteresse relevait de l’expédition. La fille ouvre la porte. Si votre âme sensible, généreuse et incorrigiblement optimiste, a fait que vous avez trouvé du « glamour » dans les photos du site, oubliez. Je m’étais fait piéger par un truc de beauf : la 5e photo. En fait, c’était celle de la 1ère qui apparue, en plus terne, en encore plus y’a-vraiment-que-ton-fric-qui-m’intéresse Le dress code, déjà elle s’en tape. Son regard et l’animation de son visage m’ont fait comprendre rapidement qu’on ne sera pas dans le GFE. On est là pour bosser. Le problème c’est que cette fille a de beaux yeux et un corps tout à fait honnête. Alors avant de lâcher les 220 boules, vous vous dites qu’au moins vous pourriez vous la faire sur le « mode chienne ». Pourquoi pas. Ce n’est pas mon exercice favori, mais je sais faire, et j’étais tellement énervé par les emmerdes de ces derniers jours que j’étais mûr pour la défoule. Bon à la douche, ce qui devrait me laisser le temps de penser tactique. La tuile c’est qu’elle m’a rejoint. Pas eu le temps de réfléchir, juste le temps de finir de réaliser qu’on allait pas être dans les paillettes. Bon et pis moi, les touche-pipi dans la douche, je déteste. Donc je sors et l’attends dans la chambre. Merde, elle sent la clope, elle en allumera une pendant la mi-temps sans demander mon avis de consommateur : c’est vrai quoi je suis là juste pour cracher. De toute façon, pas de FK, alors. Ah au fait finalement le prix c’est 220€ pas 200€ comme dit le site (j’avais été prévenu par texto, je n’ai pas été piégé … là-dessus) … Bon elle prend la direction des opérations : pourquoi pas, je n’ai pas l’habitude mais cela pourrait me reposer. Après tout. Les préliminaires ce n’est pas son truc. Moi si. Va direct sur l’artiste pour entamer une « fel sans » correcte, sans génie (mais je n’en étais plus à ce niveau d’illusions). Ca me gonfle, alors je décide de prendre la direction des opérations. Cunni apprécié mais la fille n’est pas facile à décrypter entre ses simulations, ses rictus, ses onomatopées supposées appropriées. Elle apprécie mais semble avoir des scrupules à se laisser aller. Je décide de la prendre et là pareil. Elle s’emballe puis semble de retenir. Etrange. Là je commençais à en avoir marre. Je termine mon truc. Retour douche. Pendant que je me séchais je me suis fait le pari que la fille allait tout faire pour échapper au second. Et moi, orgueilleux et agacé d’être pris pour un benêt, je me suis promis de tout faire pour la prendre en levrette et lui en mettre en bon coup. Retour Chambre. 1ère partie du pari était gagnée : la fille s’était rhabillée, refaisait le lit d’un air de dire : « bon c pas le tout, mais faudrait p’t-être que tu penses à dégager ». Sauf que moi j’aime pas ça mais alors pas ça du tout. Coups de téléphone répétés dans la chambre : 5. Engueulades en russe. J’vous dis, super glamour la rencontre. J’ai failli flancher et abandonner la 2e partie du pari. Je me reprends. Je commence à peloter et dégager un de ses seins qu’elle a plutôt beaux. Une envie de la sauter sans bcp de cérémonie me prend. Elle me sort « Quelle heure il est ? Tu veux vraiment faire l’amour une 2e fois ? Bon alors vite, parce que moi je ne fais pas payer 250 » C’est vrai que dit comme cela, j’aurais pu remballer aussi sec avec l’envie cette fois de lui en coller une. D’abord, je ne suis pas violent. Et là non, je l’ai laissée causer, puis je l’ai retournée tranquillement et l’ai sautée à la cosaque. Elle aurait pu être réfractaire. Et ben non. Les coups de boutoirs bien rythmés l’ont dégelée et elle a changé de ton, le temps de reprendre son naturel un peu chiant après que je mette un terme à ses échanges de pur sexe … mais sans âme. Conclusion : c pas la cata, mais y’a mieux, bien mieux. J’étais sur une série d’enfer, je commençais à avoir la pastèque, je pensais avoir le flair éternel. Je suis allé bcp trop vite : j’aurais dû écouter la petite voix qui me disait que cela ne le ferait pas. J’ai passé outre et me suis planté … D’abord l’hôtel : un 2 stars dans le nord de Paris au milieu d’un chantier important. Pour y accéder c’est l’enfer, prenez de la marge si vous avez encore envie d’y aller après ma revue. D’autant plus périlleux aujourd’hui qu’avec la tempête de neige, monter les rampes pour accéder à la forteresse relevait de l’expédition. La fille ouvre la porte. Si votre âme sensible, généreuse et incorrigiblement optimiste, a fait que vous avez trouvé du « glamour » dans les photos du site, oubliez. Je m’étais fait piéger par un truc de beauf : la 5e photo. En fait, c’était celle de la 1ère qui apparue, en plus terne, en encore plus y’a-vraiment-que-ton-fric-qui-m’intéresse Le dress code, déjà elle s’en tape. Son regard et l’animation de son visage m’ont fait comprendre rapidement qu’on ne sera pas dans le GFE. On est là pour bosser. Le problème c’est que cette fille a de beaux yeux et un corps tout à fait honnête. Alors avant de lâcher les 220 boules, vous vous dites qu’au moins vous pourriez vous la faire sur le « mode chienne ». Pourquoi pas. Ce n’est pas mon exercice favori, mais je sais faire, et j’étais tellement énervé par les emmerdes de ces derniers jours que j’étais mûr pour la défoule. Bon à la douche, ce qui devrait me laisser le temps de penser tactique. La tuile c’est qu’elle m’a rejoint. Pas eu le temps de réfléchir, juste le temps de finir de réaliser qu’on allait pas être dans les paillettes. Bon et pis moi, les touche-pipi dans la douche, je déteste. Donc je sors et l’attends dans la chambre. Merde, elle sent la clope, elle en allumera une pendant la mi-temps sans demander mon avis de consommateur : c’est vrai quoi je suis là juste pour cracher. De toute façon, pas de FK, alors. Ah au fait finalement le prix c’est 220€ pas 200€ comme dit le site (j’avais été prévenu par texto, je n’ai pas été piégé … là-dessus) … Bon elle prend la direction des opérations : pourquoi pas, je n’ai pas l’habitude mais cela pourrait me reposer. Après tout. Les préliminaires ce n’est pas son truc. Moi si. Va direct sur l’artiste pour entamer une « fel sans » correcte, sans génie (mais je n’en étais plus à ce niveau d’illusions). Ca me gonfle, alors je décide de prendre la direction des opérations. Cunni apprécié mais la fille n’est pas facile à décrypter entre ses simulations, ses rictus, ses onomatopées supposées appropriées. Elle apprécie mais semble avoir des scrupules à se laisser aller. Je décide de la prendre et là pareil. Elle s’emballe puis semble de retenir. Etrange. Là je commençais à en avoir marre. Je termine mon truc. Retour douche. Pendant que je me séchais je me suis fait le pari que la fille allait tout faire pour échapper au second. Et moi, orgueilleux et agacé d’être pris pour un benêt, je me suis promis de tout faire pour la prendre en levrette et lui en mettre en bon coup. Retour Chambre. 1ère partie du pari était gagnée : la fille s’était rhabillée, refaisait le lit d’un air de dire : « bon c pas le tout, mais faudrait p’t-être que tu penses à dégager ». Sauf que moi j’aime pas ça mais alors pas ça du tout. Coups de téléphone répétés dans la chambre : 5. Engueulades en russe. J’vous dis, super glamour la rencontre. J’ai failli flancher et abandonner la 2e partie du pari. Je me reprends. Je commence à peloter et dégager un de ses seins qu’elle a plutôt beaux. Une envie de la sauter sans bcp de cérémonie me prend. Elle me sort « Quelle heure il est ? Tu veux vraiment faire l’amour une 2e fois ? Bon alors vite, parce que moi je ne fais pas payer 250 » C’est vrai que dit comme cela, j’aurais pu remballer aussi sec avec l’envie cette fois de lui en coller une. D’abord, je ne suis pas violent. Et là non, je l’ai laissée causer, puis je l’ai retournée tranquillement et l’ai sautée à la cosaque. Elle aurait pu être réfractaire. Et ben non. Les coups de boutoirs bien rythmés l’ont dégelée et elle a changé de ton, le temps de reprendre son naturel un peu chiant après que je mette un terme à ses échanges de pur sexe … mais sans âme. Conclusion : c pas la cata, mais y’a mieux, bien mieux.