Diana

Egalement rencontrée lors de mon escapade parisienne, la russe Diana. J’avais été attiré par ses jolies clichés, qu’elle présentait comme réels, et force est de constater qu’il ne s’agissait pas d’un mensonge. Diana est une blonde aux yeux verts et au corps superbe (1,67m pour 49 kg) et elle sait bien l’utiliser dans les diverses positions. Elle accepte l’anal sans problème (moyennant un petit supplément de 100 euros quand même !) et l’ensemble de ses prestations manifeste une technique sûre (fellation très pro). Elle paraît adorer le cunni et est entièrement rasée, mais pas moyen de la doigter : elle m’a opposé un sévère "no, OK ?" quand j’ai tenté de glisser un doigt dans sa chatte ; par contre aucun problème pour introduire sa langue partout. Curieux... J’ai été un peu refroidi par quelques autres détails : pendant les dix premières minutes de notre rencontre, son téléphone n’arrêtait pas de sonner, elle a heureusement fini par le ranger dans son sac. Ces interruptions incessantes m’ont valu une petite baisse de régime qui a été vite corrigée. En outre, son visage paraît moins naturel en certaines parties (pommettes, lèvres), même si le corps me semble à 100% non retouché. Je ne mettrais pas ma main à couper qu’elle a exactement 23 ans, mais on ne peut pas dire qu’elle ne soit pas belle et qu’elle n’ait pas une certaine allure. La suite de nos amusettes s’est déroulée classiquement, et elle propose une gamme variée de positions. Sans fioritures. Diana a deux tatouages pas très discrets (un lézard dans le haut du dos et un autre moins identifiable à la chaville gauche). Elle est aussi très élégante : je crois pouvoir dire sans risque de me tromper que c’est l’escort la mieux habillée de celles que j’ai rencontrées. On sent la fashion victim dans le meilleur sens du terme, même si d’autres pourront parler de sophistication excessive. Dernier point à souligner : ce n’est pas une grande rigolote. J’ai essayé deux ou trois plaisanteries pendant le social time, mais en vain : ce doit être la pauvreté de mon anglais... Après l’anal, elle m’a dit qu’elle ne comprenait pas pourquoi faire de l’anal avec elle, vu que son autre orifice est super étroit ; quand j’ai répondu que, pour avoir testé les deux côtés, je ne trouvais pas sa chatte si étroite, elle m’a regardé d’un air offensé. Elle a une certaine fierté ou elle n’aime pas qu’on la contredise, je ne sais pas. Peut-être un rdv de deux heures aurait-il permis de corriger cette impression mitigée du social time. Bref, une rencontre qui, sans être inoubliable, m’a permis de passer un bon moment. Je ne suis pas sûr que je ferai figurer Diana sur la short list des filles à revoir, mais je dois être un peu difficile. Ou alors je la reverrai plus d’une heure.