Asya

Cela fait un moment que j’avais des vues sur Asya, sans qu’elle soit pour autant mon choix numéro un, si l’on considère le nombre élevé de filles en tour actuellement. Au moment de mon choix, toutes celles que j’avais en tête étaient déjà en mode fully booked, et j’ai donc fini par me rabattre sur Asya. Une fois sur place, Asya est tout conforme à ce à quoi je m’attendais. Grande, bien foutue, naturellement charpentée, une tête de vicieuse, loin du style innocent de mes dernières rencontres. Asya est sexy et aime naturellement séduire. De plus, cette jeune ukrainienne est également très sympathique. La rencontre en elle-même sera très érotique, sur fond de musique langoureuse (Sade). Cela ne l’empêche pas d’aimer les jeux et les claques sur les fesses. On peut facilement aller loin dans le salace avec elle, ce que m’avaient d’ailleurs suggéré ses photos. Une bonne rencontre, donc, avec une jeune fille pas prise de tête du tout, et à la philosophie épicurienne. Sinon, désolé pour Asya, mais je profite de cette revue et du fait qu’Escortguide soit le seul site sur la scène parisienne où l’on peut encore s’exprimer publiquement en bien ou en mal sur notre hobby préféré, sans qu’il n’y ait censure, pour passer à un sujet parallèle. En effet, RDV4U ne recense plus aujourd’hui que des « indépendantes » et a même changé de nom. Ok, pourquoi pas… Mais ce qui faisait la force de son ancien site était qu’elle proposait des vidéos de ses modèles et de vraies photos, même si visages masqués dernièrement. On avait tout de même une bonne idée de la fille qu’on allait rencontrer en vrai, ce qui diminuait les risques de désillusion. Aujourd’hui, le nouveau look du site fait penser à un Naiad bis, c’est-à-dire que sur les dernières filles arrivées, on se retrouve avec des doubles profils pour certaines nanas, mais également des photos pas conformes. Enfin, ce ne sont plus forcément des filles typées RDV, telles qu’on les aimait. Les informations entre pseudo de la fille, location, services, durée du tour sont devenues brouillonnes, et pour couronner le tout, plus de profils sur les bannières traditionnelles comme EGTV. On est obligé de créer soi-même le profil de la fille si on veut parler d’une fille. En mode Youppie pour ceux qui connaissent. Je ne sais pas si c’est intentionnel ou temporaire, mais toujours est-il que pour choisir une fille, c’est devenu costaud. Il faut multiplier les points de contrôle et prendre plus de précaution pour éviter au maximum toute mauvaise surprise. Certes l’opérateur en face répond parfaitement et donne toutes les informations, mais on perd en spontanéité, lorsqu’avant, aux plus belles heures, on était tout émoustillé de voir un nouveau profil sur le site de l’agence, et de cliquer sur la vidéo. Heureusement, on y retrouve encore certaines filles d’Avant », top, mais qu’en sera-t-il avec les filles d’« Après », aux profils douteux ? Gérants ou proprios de RDV2Indy, filtrez mieux au moins les profils des nouvelles venues pour ne pas perdre en crédibilité, car si il n’y a plus la possibilité d’écrire des revues sans créer un profil sur la fille par les membres (ce que peu de clients font), que certains profils sont doublés ou que des photos soient truqués, le client lambda n’aura aucun critère pour choisir une fille si ce n’est de jouer aux dés. A moins que l’idée soit que tout se passe le plus discrètement possible, ou en plus élitiste, infos et meetings réservés aux réguliers, dont le nombre est suffisamment conséquent pour se passer de revues publiques, et pas de place pour les nouveaux venus, ce qui est déjà le cas depuis un certain temps, cela dit. Peut-être aussi une nouvelle politique d’EGTV, vu que seuls Naiad et SF annoncent dessus apparemment. Une chose est sûre, cette nouvelle décennie annonce un nouveau visage sur notre hobby préféré. Pour ma part, si rien ne change, pas d’autre choix malheureusement que de faire avec ce qui est proposé dans notre douce France. Je prends mon mal en patience, la fin de la pandémie, et le retour aux affaires dans d’autres contrées où tout est beaucoup plus transparent. Encore une fois, désolé pour l’aparté de ce qui était censé n’être qu’une revue au départ.