MERILIN

Les services annoncés ne sont pas au rendez-vous. Seins refaits. Et elle cause aussi bien anglais que mon clebard. Bouffe de l’ibuprofene toute les deux heures : "mein Kopf". Oui, finalement on a parlé allemand. C’est con je cause anglais italien espagnol mais j’avais eu 6 au bac en allemand il y 9 ans et n’ai jamais repris des cours ni pratiqué la langue depuis. Bref, pas folichon et je suis partis après 90 minutes. Mais peut être que la belle était fatiguée ? En tout cas le courant n’est pas passé.

J’avais raté son tour organisé par un certain F. Sinatra en 1961, rapport à un problème d’allumage du coté de chez mes géniteurs. Du coup, elle avait fini en meeting avec un certain John John. Donc meme crevé, il n’était pas question que je rate son passage à Paris. D’ou un meeting organisé à domicile. Les mystères du samsara étant impénétrables, la nouvelle incarnation de Marylin a perdu l’usage de la langue anglaise. Mon niveau n’étant pas brillant non plus, la conversation s’en est forcément trouvée limitée. Je confirme que le cunilingus demande une vraie attention... je n’irais pas jusqu’à dire que cette fois ci j’ai fait un bide, mais c’est pas loin. La fellation est...comment dire...vigoureuse. Un peu plus de douceur dans la chose me plait bien, mais ce ne fut pas désagréable non plus ! Pour la partie plus sérieuse des ébats, là encore, la vigueur semble de mise sauf si, effectivement, vous craignez de voir débarquer le room service ou les voisins. Concernant sa pratique du coté obscur, étant plutot du genre "l’occasion fait le larron", la nécessité de payer un droit de passage supplémentaire m’a dissuadé de m’aventurer dans cette voie. En résumé, un meeting très agréable, meme si les difficultés à échanger m’ont laissé un petit gout d’inachevé, comme si la glace ne s’était pas brisée. Je crois que je n’ai pas fini de me réincarner...

Marelin, qui a emprunté son pseudo à l’Amérique des années 60, est déjà venu en tour pour Arwen Club. Même qu’un gentil membre qui l’a rencontré à cette occasion, a signalé qu’elle lui paraissait très enculable. Lorsque je lui demande si elle est déjà venue à Paris, Marelin me prétend que non. Marelin est une petite cachottière ! Marelin est mieux que ne le laissent penser ses photos. Ses photos, je m’en foutais, d’ailleurs : j’étais venu pour l’enculer ! Mais je dois dire que, j’ai été agréablement surpris. Marelin adore qu’on la broute. Elle y prend du plaisir tout de suite, et bruyamment. Par contre, lui déclencher un vrai orgasme est plus difficile. Mais j’y suis finalement arrivé, en complétant l’action de ma langue par une séance de masturbation anale en profondeur…La suite se présentait bien… Marelin mouille beaucoup. Malheureusement, et ça c’est vraiment dommage, sa jute sent un peu la crevette. Après avoir tourné quelque temps autour du pot, en limant la chatte de Marelin dans diverses positions, j’ai entrepris de l’enculer…Refus…Non, ça elle ne fait pas…Mon œil ! Et avec un petit supplément ? Ma proposition semble aplanir les difficultés. Mais Marelin ne parle pas du tout anglais : en comptant sur ses doigts, elle me demande 500e. Avec un crayon et un papier, j’ai vite fait de lui faire comprendre sa bévue ! Marelin est confuse : on peut retirer un 0 ! Je raque. Marelin sort alors un flacon d’huile spéciale, bien planqué. Décidemment, Marelin est même une grosse cachottière ! Je passe à l’action. Le cul de Marelin est parfait pour cet exercice. Pas encore trop fréquenté. Marelin m’a demandé d’y aller doucement (en allemand : ‘’langsam’’) . Mais à partir du moment où le service est tarifé, je pense être autorisé à lâcher les chevaux. Marelin crie, elle appelle sa maman…. Arrivée du ‘’room service’’, qui pénètre avec son passe !!…Mais non, ce n’est pas lui que Marelin appelle ! Et puis il voit bien qu’il dérange, ce garçon ! Repli stratégique du ‘’room service’’… Où est-ce qu’on en était ? Malgré cette interruption, j’ai toujours la trique. Merci Pfizer. J’encule à nouveau Marelin, toujours en levrette. Au bout d’un moment, sans la quitter, je la pousse pour qu’elle s’allonge sur le ventre, et je lui demande de serrer les cuisses. Excellente contention pour ma bite, qui peut prendre ainsi tout l’élan arrière souhaité. Je lance alors le sprint final. Le sphincter de Marelin en prend pour son grade, et moi j’éjacule ! Effectivement, Marelin est très bonne à enculer… A la station Trocadéro, mon ami saxophoniste était là, avec son bob à carreaux, sa courte barbe grisonnante, et ses petits yeux malicieux, qui brillaient derrière ses verres cerclés d’argent. La ballade sentimentale, qui montait de son alto, à définitivement chassé l’odeur de crevette…