Carmen

Un diner d’affaires ennuyeux à mourir, heureusement en terrasse ce vendredi soit... Un défilé incessant de touristes et de belles parisiennes ... Mon sang n’a fait qu’un tour :D Et hop un SMS pour revoir Daria, une 4e fois....pas de chance elle est en off :( l’agence me propose Carmen ... Pour un rdv à 00:30. Agence: RAS, polie, rapide, sympa organisée pour une heure... Tardive Hotel: 1ère fois, dans le 2e, beaucoup de touristes, pas de carte La miss: Les traits du visage sont moins lisses mais c’est bien elle, jolie, GND et très GFE et enthousiaste malgré ce rdv fixé sur le vif. Elle s’est apprêté: maquillée , robe moulante noir, escarpins, grand sourire. Physiquement: pas un gramme de graisse, des formes là ù il faut, un gabarit plus massif que Daria ... Ça me change. Elle a deux grands tatouages dans le dos, motifs tribaux. Services: Les +: des baisers profonds et langoureux, elle bouge bien, adore le cunni et doigtage en douceur. Fellation classique. Les -: n’aime pas lécher les orphelines... En résumé: Une fille très sympathique, un échange agréable malgré un anglais basique, elle s’adapte GFE/PSE, un rdv tonique pour ma part. A tcho les punters :D :D :D

Hôtel de quartier, bon niveau, ascenseur tout droit, au bout sur la droite, sourire au mec de l’accueil, l’air dégagé Plan vraiment sympa GFE/PSE avec une GND pleine de charme, un brun timide, un côté sauvage, brut, qui se laisse apprivoiser une fois en confiance. Et alors là, c’est le jackpot, car la belle, côté services, se surpasse. Pour peu que vous sachiez ce que vous voulez, et que vous prenez le temps de lui expliquer, elle comprend vite et son expérience fait le reste. D’après ce que j’ai compris, son passé d’escort est très court, mais elle a l’expérience (acquise avec ses boyfriends sans doute) qui lui permet de s’adapter à de nombreux profils. Par exemple, dans mon cas, j’avais envie d’une bonne fellation Celle de Carmen fut d’anthologie. Cela commençait à contretemps pourtant, en tous les cas à mon goût, car elle m’a pris la bite et l’a engouffrée jusqu’à la garde pour entamer des va et vient onctueux, tout confort, rapides, efficaces, mais qui auraient abrégé la partie rapidement… Non moi j’avais envie de prendre mon temps, de récupérer mes moyens, car j’étais au bord de l’explosion pour l’avoir butinée pendant un gros paquet d’euros, Lorsque j’ai ouvert la porte, je vis avec plaisir que le dress code était respecté en fonction des moyens du bord. On sentait l’effort. Physiquement elle est assez proche des photos, une poitrine plue menue que celle qui est suggérée par Photoshop (la photo 3 est la plus ressemblante), des très beaux yeux comme sur la photo 8 de couleur changeante d’ailleurs. La photo 8 est pour son visage assez fidèle je trouve. Elle est un peu moins élancée que sur les photos, très brune, mate de peau. « Hi ! », j’te mate tu ‘mates, « where are u from ? », pépètes, “towel ?”, douche, dernier rinçage de bouche, je sors, je rentre le ventre, sourire commercial. La belle, étendue, est tendue. Difficile de briser la glace avec quelques boutades zou pirouettes, son anglais est rudimentaire. On va y aller au toucher, lui faire sentir que je ne suis pas qu’une brute épaisse. La montée de température aidant, elle se relâche. Elle ne se comporte pas en caricature d’escort pro du genre « t’es trop mignon mon chou ! » ou « fais moi voir ton gros paquet ». Non, elle, elle fait dans le sobre, le dépouillé, le cistercien, Pas de marketing. L’avantage, j’me dis, c’est qu’au moins elle simulera pas (j’avais raison), qu’elle balancera pas des compliments bidons (j’avais raison), … que peut-être elle ne se laisserait jamais aller (j’avais tort). Je la prépare tranquillement, la fais languir. Son corps commence à causer, bien meilleur que son englishe. La fille se concentre sur ses sensations, se laisse faire, profite de son plaisir, me réclame avec autorité un doigt (j’me suis laissé faire…), puis se lâche complètement, pour enfin demander grâce. J’ai fait semblant de ne pas comprendre J, histoire de la voir se tordre encore un chouïa. Je continue à m’occuper d’elle, on expérimente, elle me guide. Tout est respectueux. Mon tour vient : c’est la fel sus dessinée…. Puis je la prends, comme un soulagement pour elle…pour moi aussi. Pas d’artifice, que de la sensation, du don. Là aussi elle a bien compris ce que je voulais, elle accompagne intelligemment. La plaisanterie avait duré quand même 1h20, et encore j’avais abrégé la fell à grands regrets (ce qui est rare à ce point). Douche, puis discute. Plus facile, cette fois, on avait plus de temps, Ses yeux avaient viré du noir au modoré.. Elle raconte sa vie, à petites touches, Faut que j’y aille…Douche froide du métro… Images de sa bouche dans le métro … Mon voisin d’en face m’adresse un regard torve … Back to earth...