Jany_rg4

Je dois commencer par faire un coup de gueule à cette agence qui est de loin la moins professionnelle à qui j’ai pu avoir à faire. Je m’explique. J’ai pris rdv avec Marina pour 13h, l’agence m’envoie l’adresse de l’hôtel (proche de la gare de l’est), à 12h55 j’envoie le SMS pour demander le numéro de chambre que je reçois. Je tape à la porte et là, personne. 5 minutes de silence radio plus tard, je reçois un SMS : "sorry I sent you to the wrong hotel, Marina is at Saint-Michel". Et c’est pas fini. Ayant d’autres choses à faire que de traverser Paris pour une jolie blonde, j’accepte de voir Jany avec un discount pour la perte de temps (230 AR inclus, 70 euro d’économie, ça ne se refuse pas vu qu’ils facturent tout en option chez RGFM, de la langue au doigtage). Je tape donc à sa porte. Et c’est Amélie qui m’ouvre. Réponse de l’agence : "sorry I sent you at the wrong room." Une heure après mon arrivée, je rencontre enfin Jany. Qui est moins jolie que sur ses photos. Beaux yeux gris/ bleus / verts, une superbe chevelure brune, un corps mince mais des dents énormes, jaunes et assez laides, une peau du visage qui a du connaître la varicelle et une musculature inexistante, ce qui fait de Jany une fille menue mais molle. Je pense qu’elle a eu un enfant et n’a pas refait de sport. Et elle a 27 ans, pas 22. Pour compenser tout ça, elle m’accueille complètement nue en m’expliquant d’une voix forte qu’elle est arrivée hier soir à Paris, qu’on a perdu sa valise -sujet qui reviendra un eu trop souvent, même pendant le massage, pas très relaxant. Mais elle est très très câline. Pour commencer, elle m’a serré très fort dans ses bras, m’a couvert de baisers. Je fonce à la douche et on passe aux choses sérieuses. Sans être vraiment attiré par elle, avec mon heure de frustration dans les pattes, j’ai les baballes pleines et la bête prend le dessus. Ce qui tombe bien, c’est que Jany est une vraie cochonne. DT, AR insistant et dévoué, elle a lutté contre l’assèchement de mon fion pendant quinze minutes. J’ai eu la véhémence de vouloir en faire de même pour constater qu’elle n’était pas propre. Je lui ai demandé d’aller se laver. Et Jany est très compréhensive, voire un peu soumise, elle est donc parti se laver, me demandant de frotter afin qu’elle soit "aussi propre que je le désire". Les ébats ont repris, j’ai pu lui glisser deux doigts dans le petit et trois dans sa chatte qui a du en voir pas mal. Elle n’a aucune sensibilité clitoridienne qu’on se le dise. Et pour ceux qui se disent que je ne sais pas m’y prendre j’ai un petit palmarès qui se mesure en hectolitres de mouille et en draps souillés depuis que je suis en âge de prodiguer des frissons interdits aux femelles qui s’abandonnent à mes soins. La pipe en DT commençait à fatiguer et après avoir varié les positions pour le sexe oral, je n’arrivais pas à venir (comme dit le dicton : "quand on sent les dents, le gland se repent"). J’ai terminé en missionnaire, elle me léchant l’oreille et le cou. J’ai joui dans le plastique. Discussion riche, elle assure en anglais. Normal, elle est journaliste. Métier qui ne paie pas bien en Ukraine, son pays d’origine. D’ailleurs on est en droit de se demander ce qui paie en Ukraine. Petit massage piraté par le sujet récurrent de sa valise paumée. Et là, c’est le drame. Bip bip. L’agence envoie un SMS à Jany pour lui dire que mon temps est écoulé. Je regarde l’heure : avec leurs conneries d’erreur de numéro de chambre, je n’ai passé qu’une demie heure avec la petite. Je négocie 20 minutes de plus dans la mesure où 60 minutes, c’est 3600 secondes. 15 me sont accordées, du genre "on y va mais magne-toi." Avec le sourire de Jany, cela dit. Et forcément, ça m’a saoulé. Jany n’est pas une beauté, elle a eu beau me sauter dessus en amazone, me léchouiller et me faire enfoncer mes doigts dans son petit cul (très cochonne je vous dis), je n’y étais plus. J’ai lâché l’affaire. Bizarrement, le social time de l’after a été plus agréable. En me rhabillant on a parlé cinéma, littérature, spiritualité. Elle est loin d’être stupide, Jany. Elle m’a dit "au revoir" en anglais. J’ai répondu "ou pas" en français.