VALERIE_AF

Limité en note pour cette 17re revue. Physique : 8,5. Services : 8,5. Les photos ne lui rendent pas justice. C’est suffisamment rare pour être souligné. Elle est plus jeune en réalité qu’elle ne paraît sur les photos, plus souriante, plus avenante. Lorsque la porte s’ouvre j’étais en train de me remémorer les déconvenues que j’avais eues avec cette agence qui pourtant m’avait donné quelques menues satisfactions auparavant. Son succès avait été, et est, en effet accompagné d’un aréopage de reviewers aussi complaisants que peu discrets. La girl ouvre, donc, dans une dress moulante noire, et hauts talons. J’avoue que j’en étais pas à réfléchir pour savoir si c’était la nana des photos : j’avais complètement oublié ces dernières et mâtais comme un crevard Valérie de la manière la moins beauf possible : pas facile. Pas facile de rester gentleman. Une plastique à faire craquer le slip inopinément. J’ai fait le mec civilisé, ai engagé la conversation tranquillement, comme si je n’étais pas full power et que je n’avais que ça à faire. Après avoir allongé les 250 boules de rigueur, je vais à la douche l’air détaché, et dès que je disparais à sa vue je cours-me désape-douche-resape (j’ai ma pudeur) à la vitesse d’un socialo à trahir son camp, d’un Hortefeux à dire des conneries, ou d’un journaliste à s’allonger. Et oups me revoilou, elle est toujours là…ça tombe bien on a des choses à faire…. Elle commence à danser un peu, elle me dit qu’elle fait du laps dance, doit penser que cela excite les mecs : cela doit être vrai en plus. Les cons. Moi je cherche à l’attraper pendant qu’elle danse : un match dans le match... Son sourire me fait craquer et laisse présager une bonne petite partie de ça va – ça vient. Un côté timide qui ne gâte rien. Je la déshabille tranquille, enfin pas tant que ça. Je veille à la faire monter en pression progressivement, histoire de n’avoir plus qu’à l’achever un peu plus tard. D’autant que je ne suis pas le premier de sa tournée-journée, alors va falloir jouer fin. Ses réactions de satisfaction sont plus discrètes que d’autres, plus extraverties. Un temps légèrement décontenancé (non j’déconne), déjà en train de me dire que cela allait être plus compliqué que prévu pour la faire soupirer (c’est le seul truc qui m’excite vraiment…), l’état de sa petite culotte me rassura. Les fondamentaux bien en place, 70 euros plus tard, y’avait plus qu’à dérouler. La fille est capable de se lâcher, et un paquet de fois. On se demande parfois si elle savait que ça existait… Il faut aimer diriger les ébats, donner les objectifs. Ce n’est pas elle qui va prendre la main, et prendre de folles initiatives. Non, faut pas y aller pour ça. Elle est jeune quand même. De même sa technique est perfectible (fell, fk) : pas de fausse note non, mais pas de génie non plus. De même, si vous voulez un 2nd round, faut rester sur l’objectif, car elle pourrait être un peu « lazy ». Faut pas la laisser d’endormir sur le roast-beef … faut dire que le 1er round avait été un peu mouvementé pour elle. Elle réédita une fell de qualité moyenne mais qui remplit rapidement son office tant la perspective d’un claquage de boules de bon aloi contre son cul me remplissait d’aise. Bien qu’elle n’y mit guère de conviction, pensant déjà à sa fin d’après-midi et à sa mousse au chocolat au resto de l’hôtel, la pénétration fut facile et sans artifice. Un peu sournois j’ai commencé tranquilloux-biloux confirmant dans son esprit que ce ne serait qu’un moment à passer : il s’agissait pour moi de prendre mes marques, de faire de petits essais pour voir comment ça réagissait. Et à H – 10 mn, dans un timing de folie, l’assaut final : elle qui pensait avoir le temps de prendre son café tranquille, elle s’est plutôt appliquée à bouffer son oreiller, et n’y tenant plus, lança ses vocalises dans la chambre. Cela ne m’a pas empêché de la terminer…à la fin elle a juste émis le souhait qu’il n’y avait pas de voisin. Attendrissante j’vous dis.

Les photos ne lui rendent pas justice. C’est suffisamment rare pour être souligné. Elle est plus jeune en réalité qu’elle ne paraît sur les photos, plus souriante, plus avenante. Lorsque la porte s’ouvre j’étais en train de me remémorer les déconvenues que j’avais eues avec cette agence qui pourtant m’avait donné quelques menues satisfactions auparavant. Son succès avait été, et est, en effet accompagné d’un aréopage de reviewers aussi complaisants que peu discrets. La girl ouvre, donc, dans une dress moulante noire, et hauts talons. J’avoue que j’en étais pas à réfléchir pour savoir si c’était la nana des photos : j’avais complètement oublié ces dernières et mâtait comme un crevard Valérie de la manière la moins beauf possible : pas facile. Pas facile de rester gentleman. Une plastique à faire craquer le slip inopinément. J’ai fait le mec civilisé, ai engagé la conversation tranquillement, comme si je n’étais pas full power et que je n’avais que ça à faire. Après avoir allongé les 250 bouls de rigueur, je vais à la douche l’air détaché, et dès que je disparais à sa vue je cours-me désape-douche-resape (j’ai ma pudeur) à la vitesse d’un socialo bobo (pléonasme à Paris ?) à trahir son camp, d’un Hortefeux à dire des conneries, ou d’un journaliste à s’allonger. Et oups me revoilou, elle est toujours là…ça tombe bien on a des choses à faire…. Elle commence à danser un peu, elle me dit qu’elle fait du laps dance, doit penser que cela excite les mecs : cela doit être vrai en plus. Les cons. Moi je cherche à l’attraper pendant qu’elle danse : un match dans le match... Son sourire me fait craquer et laisse présager une bonne petite partie de ça va – ça vient. Un côté timide qui ne gâte rien. Je la déshabille tranquille, enfin pas tant que ça. Je veille à la faire monter en pression progressivement, histoire de n’avoir plus qu’à l’achever un peu plus tard. D’autant que je ne suis pas le premier de sa tournée-journée, alors va falloir jouer fin. Ses réactions de satisfaction sont plus discrètes que d’autres, plus extraverties. Un temps légèrement décontenancé (non j’déconne), déjà en train de me dire que cela allait être plus compliqué que prévu pour la faire soupirer (c’est le seul truc qui m’excite vraiment…), l’état de sa petite culotte me rassura. Les fondamentaux bien en place, 70 euros plus tard, y’avait plus qu’à dérouler. La fille est capable de se lâcher, et un paquet de fois. On se demande parfois si elle savait que ça existait… Il faut aimer diriger les ébats, donner les objectifs. Ce n’est pas elle qui va prendre la main, et prendre de folles initiatives. Non, faut pas y aller pour ça. Elle est jeune quand même. De même sa technique est perfectible (fell, fk) : pas de fausse note non, mais pas de génie non plus. De même, si vous voulez un 2nd round, faut rester sur l’objectif, car elle pourrait être un peu « lazy ». Faut pas la laisser d’endormir sur le roast-beef … faut dire que le 1er round avait été un peu mouvementé pour elle. Elle réédita une fell de qualité moyenne mais qui remplit rapidement son office tant la perspective d’un claquage de boules de bon aloi contre son cul me remplissait d’aise. Bien qu’elle n’y mit guère de conviction, pensant déjà à sa fin d’après-midi et à sa mousse au chocolat au resto de l’hôtel, la pénétration fut facile et sans artifice. Un peu sournois j’ai commencé tranquilloux-biloux confirmant dans son esprit que ce ne serait qu’un moment à passer : il s’agissait pour moi de prendre mes marques, de faire de petits essais pour voir comment ça réagissait. Et à H – 10 mn, dans un timing de folie, l’assaut final : elle qui pensait avoir le temps de prendre son café tranquille, elle s’est plutôt appliquée à bouffer son oreiller, et n’y tenant plus, lança ses vocalises dans la chambre. Cela ne m’a pas empêché de la terminer…à la fin elle a juste émis le souhait qu’il n’y avait pas de voisin. Attendrissante j’vous dis.

Un peu déprimé et au gré d’une visite sur le site d’Escort Aphrodite, je vois cette Valérie qui semble nouvelle. Booking rapide avec l’agence. Je la vois le lendemain de son arrivée, tout au début de sa tournée. Je la retrouve dans un hotel bien connu du 15e. Elle m’ouvre la porte : c’est une jeune-fille blonde, grande, mince, belle et très élégante. Très naturelle, style (très) jolie voisine : rien de faux ! Les photos ne lui rendent pas justice. Elle me reçoit toute timite dans une belle robe courte. Cette jeune russe débute, elle est souriante et elle est encore un peu timide : j’adore ! Un peu timide mais elle se dégèle et finit par se donner quand elle est en confiance. Séance de sexe très jouissif. Je passe sur les détails ... et j’ai passé un moment très très agréable. Très GFE. Vous pouvez la brusquer un peu mais pas trop. Les bourrins ou qui cherchent du hyper hard, faut mieux passer votre chemin! Traitez-la bien !