Maya

Une revue faite avec retard pour cause d’emploi surchargé. Désolé. Bon, c’est parti au pas de charge et au triple galop… Première chose : pas de revues pour cette petite et on peut se poser la question de savoir le pourquoi du comment… Pas de clients ? Beaucoup de clients et pas de revues pour la garder confidentielle ? Mystère et boule de chewing gum. Par contre la première conclusion qui me vient à l’esprit (si, si, j’en ai un… !!!) c’est que cette agence ne semble pas employer des fakers ou des spécialistes du publi-reportage, dont le plus digne représentant reste bien sa majesté Franklin, président du syndicat des fakers et des reviewers de complaisance. Un bon point pour cette agence. Bon c’est bien tout ça, mais elle ressemble à quoi et elle se comporte comment en présence d’une bite ? Bah faut avouer, qu’au final elle sait y faire. Pas la meilleure ouvrière de France mais un bonne technicienne qui a une énorme envie de bien faire et comme le planning est light ça aide pas mal. Pour vous faire une idée les photos sont assez utiles car pas trop éloignées de la vérité. Une silhouette de femme plus que celle d’un top model, mais elle n’est ni grosse, ni maigre plutôt dans une bonne moyenne avec ce qu’il faut de forme là où il faut. Poitrine 100% naturelle, dans une bonne moyenne et qui dans quelques années aura subi la gravité. Un derrière rond et bombé qui fait plus envie que pitié. Plus proche des 28 ans que des 24. Le visage n’est pas d’une beauté à couper le souffle mais elle a un vrai charme, plein de douceur dans les yeux et une gentillesse à fleur de peau. Ca va, est elle attirante et m’a bien donné envie de la bousculer. Mesdames et messieurs veuillez bouclez votre ceinture de sécurité, nous allons décoller. Un mot en ce qui concerne Maya pour caractériser la session de pattes en l’air : crescendo. Ca commence en douceur et ça va crescendo tout du long. C’est comme ça pour touts les compartiments du jeu et avec elle on peut alterner le jeu au ras, le jeu au large, le pick and go, le jeu au pied et le jeu de trois quart. Open, la fille est open et partante pour la bagatelle si on sait amener le truc avec douceur. Pêle mêle : galoches profondes, double cuni baveux et ultra apprécié, 69 épique conclu par un CIM tenu longtemps, mais longtemps… Et la pipe, monsieur, s’il vous plait, c’est comment la pipe ? Crescendo, mon petit bonhomme, crescendo. Ca commence tendre, doux et lent et ça finit par être baveux profond et langue planté dans l’anus. Elle cache bien son jeu la coquine… Petite fantaisie en levrette, je lui ai saisi la crinière main gauche et lui flagellait les fesses main droite, et la pouliche loin d’être rétive appréciait et cherchait à prendre la bite au plus profond du profond. Vous reprendrez bien un petit CIM pour la route ?? Alors que dire ? Oui, ce n’est pas la playmate du mois, mais la demoiselle est mignonne, pas farouche et assez open en matière de bagatelle. Mais c’est surtout un énorme feeling qui est passé entre nous et qui nous a permis cette très grosse session de cul. Au final je préfère des filles moins canon que celles qu’on voit sur les 4X3, car 10 fois plus cochonnes et ouvertes sur la chose et qui savent s’y prendre quand on leur propose un bonne bite bien dure. Ça tombe bien j’avais la dalle. A noter le tarif imbattable.