Esenia

Embrasse bien, baise sympathique, rencontre charmante mais j’en espérais davantage. Un peu distance, il faut la décoincer, ce qui n’est pas normal vu qu’on paie. gfe, elle est souriante, j’en espérais plus au vu des ev.

Vu que la dernière fois, l’agence m’avait filler "Anna", une vrai cochonne patentée, j’ai demandé à la bookeuse si elle avait une fille du même genre mais en blonde... Allons donc grimper Esenia et lui faire gouter de la pine gorgée de sirop. Elle est pas mal avec des jambes et un superbe cul. Du coup, après la mise en bouche, passage en levrette au bord du lit pour un bourrage de cul en règle. Suffit de commencer doucement et elle s’excite toute seule de plus en plus fort sur votre pieu. Finition alternée en CIM-CIM, une giclée dans la bouche, la suivante sur la tronche et on recommence jusqu’à vidange totale. Ca lui plait, qu’elle truie ! Suite en reverse cow-girl ou elle va réussir à me faire rater l’arrosage car je viens trop vite dans la capote pendant que je lui triture le fion. Trop de coup de cul sur mon chibre aura raison de ma retenue et je rempli la capote au lieu de lui remplir la pompe à foutre. Merde, moi, j’aime trop gicler sur leur tronche hahaha. A conseiller aux actifs qui ont une bonne bite entre les jambes et pas un « agace-cul » à deux balles. Bonne à bourrer, bonne à labourer, bonne à asperger. 8) 8) 8)

Esenia une bonne blonde bien chaude inepuisable c’est comme ca que je qualifierais ce lot russe. A peine sorti de la douche, elle me prodigue une fellation. Mouvement de langue de mains deep throat lechage de boules je me retrouve allongé sur le lit elle devant a genoux en train de me lecher tel un cone du haut en bas. Comprenez du gland au trou du petit. Une affamée. Resultat elle me fait venir et se fait d’elle meme un CIF digne d’un bon marc dorcel. Je m’etais reposé et me voila parti pour un second round que j’esperais a mon tour prendre en main. Ok je l’ai fait gemir mais purée j’ai du en mettre des coups de butoirs. Les jambes repliées su sur les epaules je l’ai pilonnée de fond en comble. Je la retourne et idem en levrette. Croyez moi ou pas j’en suis ressorti avec un mail a la bite tellement j’ai pilonné. Vidé j’etais vidé. Un veritable challenge a relever pour ceux qui veulent tester leur capacités. C’est une vraie femme une chaude messieurs a vous de jouer..:)

Moment agréable avec une femme sympathique. Esenia ne ment pas sur son âge et c’est tout à son honneur. Il est vrai que je préfère les femmes plus jeunes, donc je ne renouvelerai pas l’expérience, mais ça tient à moi pas à elle. Pour ceux qui aiment les femmes matures ils ne seront pas déçus d’autant qu’elle est sympathique. Sa fellation est bonne, et elle bouge bien quand on la pénètre.

beaucoup de choses ont été dites donc je ne reviendrais pas sur sa démarche sexuelle volontariste mais je tiens à ajouter une remarque sur son age et son physique elle est annoncée a 27 ans, elle en fait plus on ne voit jamais ses seins sur les photos ; pour cause, ils ne sont pas terribles

J’ai rencontré Esénia, un soir ou Agata, n était pas disponible...Il se trouve qu’elle est dans le même hôtel que ma Marina chérie, mais aussi, chose que j ignorai, qu’elles sont très copine …Et c est donc morte de rire que Marina m’accueillit, lorsque je frappai à la porte d’Esénia. Fut ce début de meeting amusant, fut la présentation flatteuse que fit Marina de moi à sa copine ou simplement le caractère joueur d’Esénia, qui fit que ce début de meeting fût un enchantement... Marina était en jean, ce n était pas son meeting, mais Esénia était vêtue d un long tee-shirt, au moins, jusqu’ en dessous des fesses, qui laissait découvrir des jambes musclées, très longues et parfaitement fuselées... un jolie sourire, de beaux yeux bleus... Et bien sûr, un accueil des plus chaleureux. Il est très rare qu’un tel début de meeting débouche sur une déception, et là encore, ce ne fût pas les cas, puisqu’après quelques palabres, et plaisanteries en tout genre, Marina quitta la chambre, promettant de revenir après le meeting... A partir de là, le seule ombre de ce merveilleux meeting est le vocabulaire en anglais de la miss .inexistant. Curieusement, je n avais pas l impression d être dans un meeting, mais avec une fille qui me draguait, qui voulait que je la baise ; et pour cela, elle s y prend très bien, des flatteries, des bisous, des baisers, des caresses, des léchouilles tout ce qui rend un mec fou de désir. Puis vint le moment ou raide comme un cierge, je me laissai enfiler le chapeau, of course, seule et avec la bouche, et qu’elle me chevaucha...humm, un délice de la sentir si bien, un délice de la voir mener la partie, un délice de se sentir indispensable...lol Vous avez l impression de ne lui faire que du bien... vous vous mettez à rêver que vous êtes l homme de sa vie...elle vous fait comprendre qu’il faut la brusquer, qu’il faut la penetrer plus profond... elle se tend, s’agrippe aux draps, se crispe...puis se détend et ne bouge plus, ferme les yeux et vous caresse tendrement, tandis que tout doucement, vous bougez encore en elle... Tout doucement, vous la pénétrez, vous la laissez se reposer ; puis elle rembouge un peu, comme si vous réveilliez la belle au bois dormant, elle revient à la vie ; elle gémit un peu, elle ondule, elle tend ses fesses vers vous, elle imprime un rythme crescendo, elle impose un rythme violent, elle va vous casser la bite !!!! Non, non, elle est si mouillée que vous ne sentez que le fond de son vagin... elle vous agrippe, se crispe à nouveau... ce n’est pas vrai !!! De nouveau elle s’endort, elle vous embrasse, elle vous laisse en elle …………….. Elle se love dans mes bras, s aperçoit que je n ai pas encore joui, retire le chapeau et reprend ses adorable caresses buccales, tendre et douces... Jusqu’à l extinction des feus … adorable Esenia, comme il doit être doux de s’endormir dans ta bouche ….

Je me rends au rendez vous pris le matin, dans un Grand hotel Accor . On m’indique rendez vous au 1er étage ! je demande le Numéro de chambre qui arrive enfin . devant la porte un planton et la sécurité à l’étage .... je redescends et on me propose une autre escorte dans le même hotel. je refuse . Tout cela n’est pas clair et sent le surbooking, d’ailleurs je pense avoir reconnu Esenia qui prenait un drink avec une autre escorte à l’étage . Les agences et les escortes ont maintenant la détestable habitude de vous communiquer le code ou le N° de chambre à la dernière minute . Ainsi on se retrouve selon leur bon plaisir .Je ne suis plus décidé à accepter des rendez-vous hypothétiques . Avis aux amateurs :evil:

Esenia est une rencontre trés sexe, trés PSE.Elle aime le sexe et se faire prendre pendant longtemp. J’ai aimé son beau cul et sa belle chatte bien ouverte.Elle aime le plaisir du sexe mais aussi avec les doigts.Elle accepte vraiment avec furie de se faire prendre avec des gémissement pendant l’acte et bouge bien son beau cul, vous avez intéret à avoir le sexe bien dure car elle bouge comme une furie.Par contre moi qui aime aussi les beaux seins...sans commentaires. A voir pour sa trés bonne fellation et son cul car elle aime le sexe de l’homme, les vrais !

Esenia est une très belle femme d’une trentaine d’années avec un corps de danseuse. Elle a de petits seins et des vestiges d’une césarienne sur le bas ventre. Elle ne parle malheureusement pas anglais mais compense ce manque par des attitudes très conviviales. Accueil chaleureux avec sourire. Concernant la partie de c…. , c’est du haut de gamme, je l’ai senti dès la publication des photos annonçant l’arrivée de la belle. Comme René j’ai reçu un SMS dimanche en fin de matinée m’annonçant la présence d’Esenia sur Paris mais étant en Picardie je n’ai pu répondre à l’appel de la luxure sur le champ, et ai réservé cette sublime russo-polonaise 2 jours pour ce mardi soir. Je confirme que les photos de Sweet-Pusssicat sont les plus conformes à la réalité en ce moment sur la place de Paris. Esenia embrasse comme votre maîtresse de longue date. Sur les conseils du Roi René j’ai honoré buccalement la « lady moscovite » et elle est vraiment clitoridienne et vaginale. Si elle simule, elle le fait sacrément bien (20 minutes de broutage non-stop, pour la faire sauter au plafond !), un vrai délice. Pour me remercier : fellation de rêve avec aspiration des boules et timide anal rimming. 69 bien hard avec gémissements appropriés et final sur ses petits seins. Douche chacun son tour sur fond de Radio Jazz dans une petite chambre au coin d’un couloir au 3ème étage du Greenwich au bord du Périphérique (pour authentification de mon témoignage). Re-roulage de pelle, re-broutage de minou cette fois-ci avec mouvements de langue cumulés avec introduction en même temps de 3 doigts dans son vagin ce qui l’a rendue proche de l’hystérie. Remerciements immédiats de sa part en se précipitant sur mon sexe avec vigueur, puis sur mes couilles tout en me caressant l’entre 2 fesses, tout en me regardant avec un air coquin et en fermant les yeux de temps en temps comme une fille amoureuse de sa proie. Vraiment 55 minutes de bonheur avec une jolie femme très classe, très polie, gentille, et très pro.

Esenia à la scène, Evelina à la ville, vivant à Moscou, elle est issue de la semence d’un mâle russe enfantée par une femelle polonaise de Cracovie. Fine, élancée, légèrement musclée, elle m’apparut telle Aphrodite vous troublant la raison. Je ne vous en dirais pas plus sur son pedigree malgré de grands efforts pour communiquer ; elle ne pratique que la langue de Pouchkine. Comme lui, elle est sensible à notre culture ; elle vous le témoigne dès l’accueil avec quelques mots de français. Rencontrée pendant la pause déjeuner, les formalités d’usage accomplies, elle m’offre un verre de champagne qu’elle dit apprécier. Puis, debout, en petite tenue, bouche contre bouche, langues entrelacées, poitrine contre poitrine, bas ventre contre bas ventre, cuisse contre cuisse nous commençons à nous découvrir. La chaleur progressant, sans desserrer notre étreinte, elle enlève son string pour que je puisse mieux promener mes mains sur ses parties charnues et intimes. Elle commence à bien s’humidifier, je l’allonge sur le lit, elle ôte ses chaussures sans que je lui demande (j’ai horreur de ces nanas qui les garde) et lui sert un cuni à petite lampée. Elle apprécie sans retenue et après quelques minutes et nombre contorsions, les bras en V repliés au-dessus de sa tête, les mains agrippant les oreillers, me remercie d’une abondante liqueur légèrement salée (Si Renée l’a trouvée moins sensible je recommande d’adopter une technique douce à son écoute ; je n’est pas de mérite, tout au long, elle a guidé ma dégustation variée par des soupirs expressifs). Par réciprocité elle m’absorbe l’égo, caresse ses fondements avant que je reprenne son contrôle pour une chevauchée fantastique. Et là, en levrette, nouvelles contorsions mais sur le ventre cette fois, les bras allongés, relevé, tendus, pliés , tête en l’air, sur l’oreiller, cuisses agenouillées, relevées, bassin à gauche, à droite, en avant, en arrière. Puis tel Bellérophon chevauchant Pegase à la conquête de l’Olympe je monte aux cieux rencontrer les dieux. La délicatesse de son approche conjuguée à l’abandon débridé de son corps dégage une sensation d’ingénuité naturelle qui comme un air pur a chassé pour quelque temps la grisaille de mes pensées. Merci à Alice de sa réactivité exemplaire par sms pour le bouclage de ce meeting. Merci également à celui de mes prédécesseurs d’avoir apporté une ½ bouteille de Laurent Perrier (ce n’est qu’un juste retour des choses ; il y a quelques mois j’avais laissé une ½ Ruinart à Beata qui ne l’avait pas ouverte). Ainsi que ne le disait pas Guillaume d’Orange ; en la matière « il est nécessaire d’espérer pour entreprendre et de réussir pour persévérer ». P.S. Seul petit point négatif pour ma sensibilité, elle doit fumer occasionnellement.

Bravo à la politique commerciale volontariste de l’agence : j’ai été tiré de ma sieste dominicale par un sms m’informant qu’une moscovite dont le cul était susceptible de m’intéresser, venait de poser ses fesses prés de la porte Maillot. Très bonne initiative : outre le fait que cela me plaçait dans une situation avantageuse pour négocier, quoi de mieux à faire effectivement un dimanche après-midi que de manger la culotte d’une Russe ! Esenia est une très belle femme. Elle a sans doute un peu plus d’heures de vol qu’annoncé, mais elle compense cela par une technique hors pair. On peut dire que c’est carrément une folle de bite ! Nous avons commencé par une course-poursuite en 69. J’aime bien cette épreuve, mais Esenia suçait tellement bien que je n’étais pas sur d’avoir le dernier mot. En fait personne n’a gagné car, au bout d’un moment j’ai compris que je ne la ferais pas venir dans cette position, malgré ses gémissements croissants. Inversion de position. Elle en profite pour me lécher les couilles et le trou de balle, et moi je m’excite sur son bourgeon. C’est une super clitoridienne, mais elle est très difficile à faire jouir. Excellent terrain d’entraînement pour débutants : s’ils arrivent à la faire décoller, ils ne sont plus débutants ! Je la conseille donc à tous ceux qui me demandent sans arrêt des conseils techniques ! Après avoir accompagné la détumescence, et avoir constaté l’installation progressive de la période réfractaire, j’ai mis fin à l’exercice. Esenia a pris une minute pour récupérer, puis elle m’a enlacé tendrement, me gratifiant d’un ‘’spasiba’’, la meilleure récompense possible. Mais Esenia est aussi une super vaginale, et j’ai eu droit à un deuxième ‘’spasiba’’. Il m’a fallu limer fort et longtemps, ce qui, avec ma prémédication habituelle, est très faisable. Bref, dans le classique, un coup exceptionnel…