Katherine

Booking Rien à signaler. L’appartement ce situe à Passy et donne sur la tour Eiffel. Il est très confortable, les volumes aérés, des paravents dissimulent un très douillet lit deux places. Social-time Son anglais est correct et qu’importe, Katherine a le contact facile. Souriante, rieuse, décomplexée, « pas prise de tête », je vois mal comment on pourrait ne pas apprécier cette petite. Physiquement Je sais pertinemment que le visage de Katherine ne fait pas l’unanimité, voire pire. Et je peux le comprendre puisque sur les clichés on remarque son grand front, ses yeux écartés, la base du nez large, et tout cela dans une apparence générale sévère et dure, proche du gothique. Pour autant, j’y ai trouvé dès le début un je-ne-sais-quoi d’irrésistible à mon goût. Une sorte de force d’attraction obscure et indéfinissable. Bon, la gravité de ses deux magnifiques globes y est pour beaucoup c’est sûr , mais pas que. Alors qu’en est-il en réalité ? La surprise fût bonne. A peine avais-je aperçu Katherine descendue me chercher au pied de l’immeuble que j’étais rassuré. Le visage est plus doux, il est illuminé en permanence par un beau et généreux sourire, qui laisse entrevoir ses dents du bonheur. Katherine correspond à l’un de ces morphotypes qui m’est cher : des formes fermes, un ventre plat, et un buste sur lequel est greffée une superbe poitrine. Sinon c’est vrai qu’elle est large des hanches et qu’elle a quelques petits boutons en haut du dos, mais rien de gênant. Sexuellement D’emblée elle me propose un massage du dos : ALTERTE ROUGE ! Sur 30 minutes, soit elle me prenait pour le pigeon du jour, soit c’était une grande feignasse. Dans tous les cas, rien de bon. Seule autre à avoir ouvert un meeting par cette proposition en bois : Olia, pour des services tout aussi en bois. Plutôt que de m’insurger verbalement, je choisi plutôt de la mettre au diapason de mes envies en lui sautant brutalement dessus. Les french kiss infernaux s’enchaînent, elle se change en succube ivre de vice. Je déroule ma panoplie complète de jeux mammaires ; soldes d’hiver : elle a droit à une deuxième fournée gratuite. Je dois bien que ses seins me rendent hystérique. S’en suit une grande Olympiade de pipe vs. Cunni où l’on fera du tort à De Coubertin puisque "l’important n’était pas de participer" mais d’avoir le dernier mot. On a bien dû faire 4 fois le tour du lit. Mais attention mademoiselle est une tricheuse : elle a profité d’une seconde d’inattention alors que j’ouvrais la capote pour me resucer ! L’adversaire fait mine de ne pas avoir vu et ne réclame pas le hors-jeu Je me dresse désormais au-dessus de sa féminité, elle bombe bien le torse ce qui fait ressortir sa poitrine. Petite inspiration, je m’élance et vient fendre d’un coup d’un seul dans cette petite chatte gorgée de mouille. Quelle sensation de glisse charnelle, j’avais l’impression de taper un tube parfait ! Dieu merci nous étions seuls et les cloisons épaisses car Katherine hurle comme une petite sauvageonne ! Elle surjoue certes, mais je lui ai donné une bonne raison : je l’ai secoué comme un cocotier ! De haut en bas façon shaker, je lui appuyais dessus pour la faire rebondir comme un ballon de basket. Du sport de haut niveau, je vous le dis. COBoobs de rigueur. Je m’invite sous la douche pour lui savonner une partie de son anatomie que je n’ai pas besoin de préciser. J’aurais pu faire trainer le meeting et ma présence, elle était loin de me chasser, mais pas mon genre et post-coïtum, animal affamé, je devais me remplir la panse dare-dare. Conclusion Excellente surprise dominicale avec cette petite Katherine. Elle est adorable, fraîche, nature : un bain de jouvence à elle seule. Elle n’est pas là pour faire la précieuse, pas de chichi chez cette Ukrainienne qui plaisante non-stop. Ces filles-là, de ma génération, portaient de salopettes et des Kickers. C’était les filles rigolotes de la classe, les bonnes potes, celle à qui on peut faire des blagues de « garçon », pas moches mais qu’on ne regardait pas vraiment. Jusqu’au jour où elles laissent s’échapper une touche de féminité, et là tout bascule. On se met à y trouver un attrait insoupçonné et grandissant. On saute le pas, c’est en fin de compte géniale, et on se demande bien ce qu’on a pu se faire chier à courir après des chieuses pimbêches pendant tout ce temps-là. C’est donc comme ça que ça a commencé, un peu par dépit, avec beaucoup d’interrogations, pour finalement se sentir un peu bête et honteux d’avoir mésestimer cette fille talentueuse et généreuse. Moi je fais le pari que beaucoup de ses clients sont devenus accros !