JULI_AF

Je devais voir quelques numéros qui ne se sont jamais pointés pour je ne sais quelle raison. Le mois de décembre est, sans conteste, le mois le plus pourri niveau roster. Je contacte l’agence pour réserver le premier meeting de Juli, blonde, plutôt bien fichue, j’aime. Le rendez-vous a lieu le lendemain du réveillon, en après-midi, ça motive. Premier meeting de client. Elle prétend que c’est son premier tour. Je rajouterais "en France". Je pense qu’elle a visité pas mal de pays, l’inverse passe. Le job, elle connaît et pas qu’un peu. Accueil dans la tenue de la dernière photo du site avec quelques fanfreluches noires et la bougeotte sur le lit. Je règle mon temps et me tire dans la salle de bain, en refermant la porte, je la vois en train de virer sa sape, je lui demande d’arrêter, c’est mon taffe, ça. Je reviens, elle se rapproche, je tente le kiss soft, elle m’explique d’entrée qu’elle n’est pas fan. Dommage, j’aime l’exercice, passons. Elle enchaine direct avec une fellation sans que j’aie mon mot à dire. Ça dure...et elle assure méchamment. Sa technique est au point. Elle est joueuse et continue tant que vous ne l’arrêtez pas. Je décide de passer au cunni, elle n’est pas entièrement épilée, je n’insisterai donc pas. On passe à la valdingue. Encore une fois, elle assure, participe efficacement et...fin du premier round. Au bout de 40-45 minutes, j’en étais à deux rounds et j’ai réglé pour deux heures. Que faire ? Je refuse son massage mais je lui en propose un qui ne durera pas plus de 15 minutes. Elle vient se lover et me raconte deux-trois trucs imaginaires. Au bout d’un moment, elle entame une fellation et c’est reparti pour un troisième round qui durera un certain temps. Il me reste 25 minutes. Douche et je me tire. Juli est endurante, a de la technique et joue le jeu. Derrière ses airs de femme docile, elle gère le déroulement du meeting. Physique 8/10 peau douce, physique correct même si marqué. Un peu moins classe que sur les photos. Service 9/10 une PSE qui n’a que peu de limites. Elle encaisse et ça n’a pas l’air de lui déplaire ! PS : il serait temps d’incrémenter le compteur d’années. Je l’ai rencontrée en janvier 2011.